Les troubles du sommeil et l'agitation nocturne chez la personne âgée peuvent être simplement dus à des douleurs qui peuvent être soulagées. Dans 80% des cas de troubles du sommeil, il s'agit de problèmes urinaires, d'apnée du sommeil ou de douleurs (arthrose etc.).
Parmi les facteurs externes on peut trouver : des facteurs de stress éventuels comme un sentiment d'insécurité, des horaires de soins inappropriés aux rythmes de la personne, des stimulations environnementales excessives ou, à l'inverse, insuffisantes (crier étant une manière de créer une stimulation), des déficits ...
Les causes et conséquences des terreurs nocturnes
Elles sont toutefois facilitées par différents facteurs : une prédisposition génétique, une privation de sommeil, une activité physique intense, des éléments psychologiques comme les facteurs de stress, de la fièvre, la consommation d'excitants avant le sommeil.
Comment réagir face à un proche agressif ? La première chose est de faire preuve de patience. Ne lui renvoyez pas cette agressivité, tentez plutôt d'en comprendre les causes. N'hésitez pas également à tenter de réagir par l'humour ou à prendre du recul si cela vous semble nécessaire.
La sénilité n'est pas une maladie mais une détérioration des capacités mentales des personnes âgées. Elle est le plus souvent liée à l'âge mais elle peut également être causée par certaines pathologies vasculaires ou addictions (alcool, etc.).
Physiologie de la fin de vie
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
Laissez bouillir la banane pendant 10 minutes et versez ensuite le liquide, filtré, dans une tasse. Ajoutez une pincée de cannelle et remuez. L'idéal est de consommer cette tisane une heure avant d'aller dormir. Vous pouvez aussi manger les morceaux de banane bouillie pour accentuer les effets relaxants.
La mélatonine
Son effet régulateur des rythmes est intéressant chez les personnes âgées lorsque le sommeil est décalé trop tard dans la soirée, ou fractionné. Un nouveau médicament, une mélatonine à libération prolongée est sur le marché depuis 2008 avec pour indication l'insomnie de la personne de plus de 55 ans.
Le syndrome de glissement se caractérise par un changement brutal de comportement chez la personne âgée. Elle se désintéresse progressivement de sa vie, refuse de s'alimenter, de se laver ou encore de se déplacer. La personne âgée n'a plus goût à la vie et se laisse aller.
Avec l'avancée en âge, il arrive que le comportement d'une personne âgée change et qu'elle devienne agressive. Une agressivité qui se manifeste parfois un brusque changement d'humeur, une manière de réagir par la colère que l'entourage et l'aidant familial ne reconnaissent pas.
Évitez l'alcool, le tabac, et autres substances excitantes avant le coucher. Essayez aussi de vous coucher et vous lever à heures fixes, en évitant les nuits trop courtes (en moyenne, il faut dormir entre 7 à 9h par nuit) qui génèrent du stress.
Les terreurs nocturnes se caractérisent par des symptômes physiques observables à peu près identiques à ceux de la peur, tels que l'accélération du rythme cardiaque et la transpiration. De ce point de vue, elles ressemblent plus à des crises de panique qu'à des cauchemars, cela est à ne pas confondre.
Chez l'adulte, les terreurs nocturnes sont plus rares et il vaut mieux consulter un neurologue spécialiste des troubles du sommeil afin d'éliminer d'autres pathologies.
L'anxiété ou l'angoisse sont fréquentes en fin de vie, dans un contexte de vulnérabilité accrue, de peur et de tristesse. Les deux troubles peuvent avoir les mêmes causes (la douleur, les questions existentielles, etc.), mais elles auront une expression différente (crise d'angoisse aiguë ou anxiété persistante).
C'est un terme global qui décrit un large éventail de symptômes associés à un déclin de la mémoire ou d'autres aptitudes cognitives assez grave pour réduire la capacité d'une personne à exécuter les activités quotidiennes.
C'est souvent, après de longs détours, qu'une allusion à la fin de vie va être évoquée par le patient, de manière non explicite ou sous forme d'une interrogation, en montrant le corps touché par la maladie, soit en demandant jusqu'où cela peut aller, soit en reparlant de l'inefficacité du dernier traitement, soit, tout ...