Les crises économiques qui se sont abattues sur la plus grande partie de l'Afrique à la fin des années 70 et au début des années 80 n'ont fait que nuire davantage aux efforts d'intégration.
Les problèmes de l'intégration régionale de l'Afrique ne sont un secret pour personne. Le commerce intraafricain est le plus faible du monde – environ 15 % contre 54 % dans la zone de libre-échange d'Amérique du Nord, 70 % au sein de l'Union européenne et 60 % en Asie.
− Le manque de moyens financiers qui fait que les organismes atteignent rarement leurs objectifs ; − L'absence d'une monnaie commune qui freine l'intégration économique ; − Les difficultés de circulation des personnes et des biens ; − La fragilité des économies qui dépendent de l'aide des pays riches.
− Le manque de stabilité politique dans les États (tentatives de coup d'États, guerre interethniques...) − L'absence d'une monnaie forte : le non-respect et les problèmes d'application des accords régionaux sociaux. − Les problèmes de circulations des personnes et des biens Les différentes frontières entre les États.
En effet, l'inconvénient majeur à l'échelle d'un pays reste l'abandon d'une partie de ses instruments de politique économique — par exemple le taux de change dans le cadre d'une intégration monétaire, les contraintes budgétaires ou la gestion des flux migratoires dans le cadre d'une intégration économique — pour mener ...
Aujourd'hui, le continent européen est confronté à de sérieux problèmes d'intégration économique, politique, ethnique, religieuse. Ces problèmes débouchent souvent sur des conflits armés. C'est le cas de l'IRA en Irlande du nord, de l'Eta en Espagne, de la Corse en France.
L'intégration du droit est donc un processus circulaire continuel et incessant. Disposition juridique Répercussions sur les opérations Conséquences : mesures, moyens et mécanismes à adopter – aux niveaux de la doctrine, de l'éducation, de l'entraînement, de l'équipement ou des sanctions – afin de garantir le respect.
C'est un processus résultant d'une démarche volontaire de deux ou de plusieurs États différents en vue d'une mise en commun d'une partie ou de l'ensemble de leurs ressources.
Leur péché : n'être pas du nord Cameroun, n'être pas musulman. Voilà qui leur attire la foudre du rejet, les animosités d'individus qui refusent d'admettre la diversité linguistique et la liberté religieuse.
La ZLEC pourrait non seulement améliorer l'efficacité des marchés et réduire les coûts de la conduite des affaires en permettant des économies d'échelle, mais elle pourrait aussi faciliter les échanges et les investissements et redéfinir la composition et l'orientation des flux d'IDE vers l'Afrique.
L'intégration passe par l'abolition partielle ou totale des restrictions tarifaires (taxes, droits de douane) et non tarifaires sur le commerce. Béla Balassa en énumère plusieurs formes : zone de libre-échange, union douanière, marché commun, union économique, union économique et monétaire.
l'objectif d'intégration fera appel à des savoir-être et des savoir-devenir orientés vers le développement de l'autonomie. Dans le cas où toutes les caractéristiques ne peuvent être présentes, il faut qu'au moins la première d'entre elles le soit pour qu'on puisse parler d'objectif d'intégration ».
Généralement parlant, il y a cinq degrés d'intégration économique : le bloc commercial, la zone de libre-échange, l'union douanière, le marché commun et l'union économique et monétaire, qui est la forme la plus extrême d'interdépendance économique.
L'objectif de la CEA est de transformer les cinquante-trois économies africaines en une union économique et monétaire unique, avec une monnaie commune, la libre circulation des capitaux et des travailleurs.
Le commerce reste le principal outil dont l'Afrique dispose pour participer et s'in- tégrer pleinement à l'économie mondiale. Cependant, son offre est concentrée sur un nombre limité de produits de base pour lesquels sa part de marché diminue.
Les avantages de l'unité Nationale sont la tolérance, la sécurité publique, la cohésion sociale et la paix civile qui favorise et stimule le développement économique et social du pays.
Faible niveau d'échanges intracommunautaires (12 – 15 %). Les troubles sociopolitiques liés aux coups d'état, aux élections et modifications constitutionnelles anti-démocratiques affaiblissent les efforts d'intégration de la CEDEAO.
Les experts conviennent que l'intégration régionale élargit les marchés et les échanges, améliore la coopération, atténue les risques et promeut la coopération socioculturelle et la stabilité régionale.
L'Afrique subsaharienne s'impose comme acteur clé de la géopolitique énergétique mondiale. Avec 12 % des ressources prouvées de pétrole, elle en est la deuxième région exportatrice, après le Moyen-Orient.
Les deux pays les plus grands sont le Mali et le Niger, plus de 1 240 000 km2, suivis du Nigeria, avec 924 000 km2. Viennent, ensuite, 7 pays, la Côte d'Ivoire, le Burkina Faso, la Guinée, le Ghana, le Sénégal, le Bénin et le Togo, dont la superficie est comprise entre 111000 et 322 000 km2.
Le terme "intégration" est ambigu : il recouvre à la fois une politique publique concernant les immigrés et les différentes formes de participation - professionnelles, linguistiques, comportementales, civiques, etc. - de ces derniers à une société globale.
L'intégration nationale est un processus dont l'aboutissement induit le sentiment commun d'appartenance et de construction solidaire de la nation par l'ensemble de ses populations.
Le deuxième est le Programme prioritaire de redressement économique en Afrique (PPREA), adopté en 1985 par l'OUA. Et le troisième est le traité d'Abuja sur la Communauté économique africaine (CEA) datant de 1991. Ces trois projets étaient à la fois différents et interdépendants.