Une douleur à la cuisse peut aussi être causée par un problème de circulation sanguine : on parle d'insuffisance veineuse pour désigner la stagnation du sang au niveau du membre inférieur, provoquant des douleurs et symptômes désagréables dans les jambes et les cuisses.
Une jambe tendue vers l'avant et une jambe fléchie pour que les deux cuisses fassent un angle droit, on se penche en avant pour attraper le bout de son pied avec les deux mains. On laisse ensuite la main opposée sur le pied flex et on tend l'autre bras vers l'arrière. Après 15 secondes, on jambe de jambe vers l'avant.
Il s'agit dans les deux cas d'une atteinte nerveuse ou névralgie.La sciatique provoque des douleurs sur le trajet du nerf du même nom à l'arrière de la fesse et de la cuisse, et parfois sous le pied. Dans le cas d'une cruralgie, les symptômes résultent d'une compression ou d'un étirement du nerf crural.
Au niveau des muscles, les tendons peuvent également provoquer des douleurs au niveau de la cuisse, notamment lors de tendinopathies telles que les tendinites. Pathologies vasculaires. En cas d'insuffisance veineuse au niveau de la cuisse, une sensation de jambes lourdespeut être ressentie.
La douleur nerveuse sur le devant et l'intérieur de la cuisse : la cruralgie. Le nerf crural prend son origine au niveau des lombaires et traverse le bassin. Il en ressort à l'avant en passant sous l'arcade crurale. Il descend le long de la cuisse pour se charger de l'innervation de plusieurs groupes musculaires.
L'œdème est généralement lié à un mauvais fonctionnement du système sanguin et des veines. En effet, lorsque les petits vaisseaux sanguins sont soumis à une trop forte pression ou qu'ils sont endommagés, ils peuvent laisser s'échapper des liquides, principalement de l'eau, dans les tissus environnants.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
Les scientifiques partent du principe que les distensions, les lésions musculaires, les surcharges, les gros chocs, le froid ou le stress génèrent des contractures musculaires sur le long terme. Un cercle vicieux s'ensuit: le corps libère des messagers inflammatoires et stimule ainsi les récepteurs de la douleur.
Les tensions musculaires sont le plus souvent dues à une mauvaise posture ou à une mauvaise sollicitation des muscles. Elles touchent surtout le dos, les épaules et la nuque et se manifestent par une douleur sourde et lancinante, qui peut irradier jusque dans la poitrine, l'abdomen et les reins.
Si vous souffrez de crampes récurrentes ou de contractures musculaires des mollets pendant que vous dormez, une carence en magnésium pourrait en être la cause. La constipation est un autre symptôme qui évoque la possibilité d'une carence en magnésium, tout comme les crampes menstruelles douloureuses.
Les pathologies vasculaires et nerveuses :
insuffisance veineuse : sensation de jambes lourdes. présence de varices : veines dilatées et tortueuses. une sciatique (ou inflammation du nerf sciatique) : la douleur part d'une fesse et descend dans la jambe en suivant le trajet du nerf sciatique.
« Le premier réflexe à avoir est d'appliquer du chaud sur la contracture pour détendre le muscle et avoir une bonne vascularisation », conseille Raphaële Pouret. Ensuite, il faut s'étirer dans la mesure du possible et sans forcer.
→ Le macérat huileux d'arnica : Alliée des sportifs, l'arnica est la plante relaxante par excellence. Elle s'utilise aussi bien en préparation qu'en récupération musculaire, mais aussi en cas d'ecchymoses, de déchirures musculaires, de contractures, de contusion ou encore d'entorse.
Le principe est simple : vous contractez volontairement certains muscles et les relâchez aussitôt brusquement. Après la tension, vous ressentez la détente de manière plus intense et plus consciente. Avec chaque groupe de muscles sollicité, la détente s'étend au corps tout entier.
La raideur, ou rigidité, est fréquente dans la maladie de Parkinson. Il s'agit d'une tension excessive des muscles, pouvant entraîner des douleurs musculaires (crampes) ou tendineuses et une sensation de raideur. Elle contribue à la difficulté des mouvements.
C'est un état de tension qui existe au niveau des muscles, qui impose une contrainte complémentaire à votre organisme et qui vous perturbe dans le cadre de la gestion des gestes que vous réalisez.
Dans la majorité des cas, les raideurs musculaires sont secondaires à un effort physique intensif ayant soumis les muscles à rude épreuve. Ce type de manifestations peut résulter d'un échauffement insuffisant ou d'un manque d'hydratation, avant et au cours de l'effort.
L'anxiété-état génère également des troubles physiques très palpables : tensions dans le haut et le bas du dos, tensions musculaires, crampes d'estomac, tensions dans les jambes (jambes lourdes), mictions ou diarrhées fréquentes, oppression de la poitrine et essoufflement, augmentation du rythme cardiaque et ...
Pour soulager la douleur et assouplir le muscle avant de détendre la contracture, vous pouvez étirer la zone en question. Des mouvements de rotation et de haussement des épaules, le rapprochement des omoplates, les roulades sur le dos et chaque position qui étire la zone douloureuse peuvent vous faire du bien.
Changements ou manifestations physiques : modification de la forme d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement qui ne diminue pas, quel qu'en soit l'endroit, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes ...
Cette douleur aux jambes peut avoir une cause musculaire, être le symptôme d'une maladie (phlébite) ou encore une mauvaise circulation. Elle peut aussi amplifier avec la chaleur quand on souffre d'insuffance veineuse.