La règle est la suivante : quand un participe passé est employé avec l'auxiliaire avoir, il ne s'accorde pas. On écrit, par exemple : « J'ai fait des gâteaux. » On reconnaît l'auxiliaire avoir sous la forme « ai », « fait » reste bien invariable.
On n'écrit pas « j'ai fais », parce qu'il s'agit du verbe « faire » à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ».
On écrit toujours « j'ai fait ».
Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ».
On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit.
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable. Exemples : Des cerises, j'en ai mangé (le participe passé « mangé » reste invariable parce que le pronom « en » qui remplace « des cerises » représente le COD du verbe).
« Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ».
J'ai fait une erreur et m'en excuse. Autre particularité : lors de l'utilisation d'un temps composé, le verbe s'accorde en genre et en nombre au Complément d'Objet Direct (COD) lorsque ce dernier est placé avant le verbe dans la phrase.
J'ai dit telle chose (passé composé): tu racontes ce que tu as dit à un autre moment. J'avais dit telle chose (plus-que-parfait): tu racontes ce que tu as dit dans un temps plus lointain. Il y a évidemment d'autres emplois des deux temps.
Bref, c'est une question de formalité : Si la situation est plutôt familière (comme entre des amis), on utilise tu. Si, par contre, la situation est plus formelle, ça va être vous qu'on va utiliser. Le vouvoiement crée une distance entre vous et la personne et montre du respect.
Exemple : ''C'est bien ce que j'ai dit !'' "Dit" est le participe passé du verbe "dire". On peut écrire "dis" uniquement s'il s'agit de la première personne du singulier du verbe conjugué au présent simple ou au passé simple : "je dis".
Bonjour à tous, J'ai lu dans plusieurs sites que le verbe « faire », dans une phrase avec « faire + verbe à l'infinitif », est toujours invariable.
Lorsqu'un verbe se termine en é, on parle de verbe conjugué au participe passé. 👉 Quand il y a un pronom personnel (je, tu, il, nous, vous, elles), il s'agit d'un temps composé. 👉 Quand il n'y a pas de pronom, on parle de forme passive (conjugaison impersonnelle). Le verbe s'écrit directement avec un é à la fin.
Quand emploie-t-on l'imparfait ? L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
« Tu as fait » est la conjugaison correcte du verbe « faire » à la deuxième personne du singulier au passé composé de l'indicatif. En effet, le participe passé de ce verbe du 3e groupe est « fait », et non « fais ».
De fait signifie "effectivement, en effet". Exemple : Il pense que sa fille veut se présenter à l'examen, et, de fait, elle a exprimé cette volonté devant moi hier.
Le tutoiement permet d'établir une ambiance de travail moins formelle et plus décontractée. Les échanges d'idées fusent davantage et le résultat est souvent satisfaisant. Il permet également de faire tomber la frontière des différentes générations.
Le vouvoiement a toujours été utilisé en société et au sein des familles jusqu'à la Révolution, puis a perduré dans de nombreuses familles attachées à la tradition. « Une marque de respect et de bonne manière, un principe d'éducation, une tradition familiale que l'on souhaite transmettre de génération en génération »…
Vouvoyer ou tutoyer : suivre sa belle-mère
« Il me semble qu'il vaut mieux ne pas tutoyer sa belle-mère d'emblée, estime Caroline Kruse. D'une part parce qu'on n'en a pas forcément envie. Ensuite parce que la différence d'âge implique dans un premier temps cette distance qui est aussi une marque de respect. »
« J'aurai » ou « j'aurais » : quelle différence ? Tous deux sont des conjugaisons du verbe (auxiliaire) avoir. « J'aurai » est conjugué au futur simple, et « j'aurais » au conditionnel (présent) .
L'indicatif après si représente l'hypothèse passée qu'il n'est plus possible de réaliser dans le présent. Attention, on peut se dispenser d'employer la conjonction si, on la sous-entend dans ce cas grâce à l'emploi du conditionnel. Exemples : J'aurais su, je ne serais pas venu.
Bien que parfois les deux soient grammaticalement possibles, on peut simplifier le choix de l'auxiliaire de la manière suivante : Lorsque « passer » est suivi d'un complément d'objet direct (C.O.D) , on utilise l'auxiliaire avoir. Dans les autres cas, on utilise l'auxiliaire « être ».
what have I done?
Indicatif présent : je fais, tu fais, il/elle/on fait, nous faisons, vous faites, ils font. Indicatif passé composé : j'ai fait, tu as fait, il/elle/on a fait, nous avons fait, vous avez fait, ils/elles/eux ont fait.
On peut écrire « sans faute » ou « sans fautes »
Toutefois, le sens donné à la phrase change légèrement en fonction de l'usage du singulier ou pluriel. On écrit « sans faute » : la logique veut qu'on écrive « sans faute » au singulier quand on souhaite signifier qu'il n'y a aucune faute.