En effet, en vieillissant, certains de nos follicules capillaires développeront une sensibilité à la dihydrotestostérone (DHT) qui est une hormone mâle produite à partir de la testostérone, cette dernière va raccourcir la durée de vie de chaque follicule affecté.
C'est parce que ton corps perd des œstrogènes. Ce déséquilibre provoque un changement dans la croissance des poils de la même manière qu'il le fait pour les hommes : cela fait pousser plus de poils sur le menton et les lèvres supérieures des femmes.
La croissance pileuse est régulée par les hormones sexuelles masculines (androgènes, dont la testostérone et la dihydrotestostérone), présentes aussi bien chez les hommes que chez les femmes, mais en quantités différentes. La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles.
Ce sont elles qui vont stimuler la pousse des poils. L'âge moyen du développement de la pilosité oscille entre 10 et 14 ans. La pilosité définitive dite adulte est atteinte vers 14 ou 15 ans.
Enfin, sous l'effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.
Cette pilosité est composée de poils épais et drus. Elle est généralement due à une production excessive d'hormones mâles (les androgènes comme la testostérone ) ou à une sensibilité augmentée de la peau à des taux normaux d'androgènes.
En tout cas, les poils au menton sont dits hormono-dépendants : ils sont directement liés à la sécrétion de testostérone, une hormone masculine (ou androgène) que produisent les hommes, mais aussi les femmes en plus petite quantité.
La pousse de poils au visage durant la ménopause est fréquente. En fait, tout cela fait du sens puisque les cheveux sont liés aux hormones et que les hormones ont la vie dure ces jours-ci.
Il n'existe aucune règle qui dicte que le poil des aisselles doit apparaître avant les menstruations, ou l'inverse. Et dans certains cas, certaines femmes ont très peu ou pas de poils sous les bras. Et c'est tout à fait normal pour elles.
Chez les femmes qui en sont atteintes, les ovaires produisent trop d'androgènes, les hormones à l'origine de caractères sexuels masculins comme la pilosité». Ces hormones, dont la plus connue est la testostérone, ne sont pas l'apanage des hommes.
Poils du nez, poils pubiens, duvet sur le visage, cheveux blancs…
Les causes de cette pathologie sont diverses:
Premièrement, il peut s'agir d'un dérèglement hormonal : les hormones mâles (les androgènes) vont alors s'exprimer en excès. Ensuite, dans le cas ou le taux d'hormones androgènes est normal, c'est en fait le follicule pileux qui est anormalement sensible à ces hormones.
Le sport ne permet pas seulement d'être beau, viril et en bonne santé. En effet, cette activité à faire au quotidien permet également une amélioration considérable de la circulation sanguine. Ceci favorise la pousse des poils, donc de la barbe.
Glabre signifie « sans poils » (et non « pâle, sans couleur »). Un visage glabre, sans barbe, rasé.
Le Zinc. Le Zinc n'est pas, à proprement parlé une vitamine, mais plutôt un nutriment essentiel. Il est composé de plusieurs centaines d'enzymes et autres protéines. Comme il est essentiel à la production de protéines, il participera activement à la croissance de vos poils de barbe.
L'huile de souchet possède des propriétés anti-repousse poils incomparables. Son action est double : elle ralentit d'une part la pousse en retardant le développement du follicule pileux et d'autre part, elle réduit considérablement la densité des poils, qui sont alors plus fins, plus doux et moins visibles.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
Un seul produit est officiellement reconnu comme anti-androgénique, c'est l'acétate de cyprotérone commercialisé sous le nom d'Androcur. » Ce médicament agit au niveau de l'ovaire, où il diminue notablement la production d'androgène.