L'
Parfois, il peut être utile de vider le cache DNS. En effet, si un site ou un service web change son adresse IP, vous ne pourrez plus y accéder car l'adresse IP sauvegardée dans le cache DNS est obsolète. Dans ce cas, vous devez vider le cache DNS de Windows afin de pouvoir accéder à nouveau à la ressource.
Le cache DNS est un référentiel de noms de domaine et d'adresses IP stockés sur un ordinateur, et qui permet de ne pas avoir à demander une adresse IP à chaque fois.
Il les transmettra par la suite aux utilisateurs qui effectuent la requête visée par l'attaque. Ce type d'attaque par DNS Cache Poisoning permet, par exemple, d'envoyer un utilisateur vers un faux site dont le contenu peut servir à du phishing ou comme vecteur de virus et autres applications malveillantes.
Il s'agit ni plus ni moins de piratage : une « attaque serveur DNS » permet aux cybercriminels de rediriger les internautes, à leur insu, vers de faux sites Web, de bloquer un site Internet, de voler des données sensibles et des informations confidentielles et, aussi, de détourner des domaines à leur profit.
Dans les versions futures, il faudra se rendre dans les paramètres de Chrome > Confidentialité et sécurité. En bas, on peut activer “Utiliser un serveur DNS sécurisé“. On peut alors spécifier une adresse de serveur DNS.
L'autre signe important que votre organisation a probablement été touchée par une attaque DDoS est que les services ralentissent soudainement ou sont hors ligne pendant plusieurs jours, ce qui indiquerait que les services sont visés par des attaquants qui veulent juste causer autant de perturbations que possible.
Il existe de nombreux signes pour vous alerter sur le début d'une cyberattaque : écrans noirs, serveurs inaccessibles, lenteurs sur le réseau, appel de la banque qui vous informe d'un virement frauduleux…
Vous pouvez afficher le cache DNS actuellement stocké sur votre système à tout moment. Sous Windows, par exemple, il suffit d'ouvrir l'invite de commande et d'entrer « ipconfig /displaydns ».
Bien qu'il puisse exister d'autres hiérarchies de système de noms de domaine (DNS) avec des serveurs racine alternatifs, « serveur racine du DNS » est généralement utilisé pour désigner l'un des treize serveurs racine du Domain Name System d'Internet géré sous l'autorité de l'ICANN.
Sous Windows, on utilise une commande, en " ligne de commande ", depuis l'invite de commande de Windows. Dans la boîte d'invite de commande qui s'ouvre, tappez la commande « ipconfig » suivie d'un espace et du paramètre /displaydns (ordre d'afficher le contenu du cache DNS).
Tapez la commande. Après la recherche, l'invite de commande apparaît, une fenêtre sur fond noir. Vous y taperez la commande suivante : ipconfig/flushdns. Elle effacera alors le cache du serveur DNS.
Avec un pic à 46 millions de requêtes par seconde, un client de Google Cloud a subi la plus grosse attaque par « déni de service » de l'histoire. C'était le 1er juin dernier, et Google explique comment elle a été contrée.
Une attaque par déni de service distribué (DDoS) est une arme de cybersécurité visant à perturber le fonctionnement des services ou à extorquer de l'argent aux organisations ciblées. Ces attaques peuvent être motivées par la politique, la religion, la concurrence ou le profit.
Le serveur DNS récursif la stocke dans le cache DNS local, avant de l'envoyer à votre ordinateur. Le DNS enregistre l'adresse IP dans le cache local, avec une durée de vie prédéfinie (appelée TTL). Cette durée de validité fixe l'enregistrement de l'adresse IP dans le cache.
Dans ce cas, seul le malware et son serveur connaissent la combinaison. Si le service DNS ne fait pas de filtrage par défaut, il renverra l'adresse IP du domaine appelé et l'organisation sera exposée à des risques de piratage.
Si l'attaque se fait par la création d'un message DNS complet, deux cas peuvent se présenter: le serveur qui reçoit le message n'effectue pas l'authentification de la source émettrice des données ou il effectue une authentification de la source grâce à son adresse IP, par exemple.
Conséquences budgétaires considérables
En France, le coût d'une attaque atteint les €847 000, soit une augmentation de près de 48% par rapport à 2017, tandis que 25% des entreprises françaises reconnaissent avoir subi des pertes de business suite à ces attaques.