salue-t-on l'étendard (le drapeau)? Les autorités saluent l'étendard, c'est-à-dire le drapeau tricolore, car il est l'emblème, et donc le symbole de la République.
Les portes drapeaux abaissent leurs drapeaux pendant la sonnerie aux Morts et la minute de silence et les relèvent pendant la Marseillaise. Les autorités en uniforme saluent pendant la sonnerie aux morts, la minute de silence et la Marseillaise.
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
L'histoire du salut militaire
Lorsque deux guerriers étaient amenés à se croiser sans intention d'en découdre, ils échangeaient un signe de paix. Se présentant face à face, les deux guerriers levaient la main droite la paume bien ouverte, afin de montrer qu'ils ne tenaient pas d'arme.
Il s'agit d'un moment symbolique, un rituel qui précède le début du travail dans l'administration ou une cérémonie d'hommages en cas d'un triste événement à portée nationale. Par exemple, le décès héroïque d'une personnalité de la République ou d'un citoyen ordinaire pour la défense de la patrie.
Utilisée dans le monde de la marine, l'expression indique l'action de monter le drapeau au sommet du mât le matin, puis de le descendre le soir, lorsque le soleil se couche. Drapeau qui témoigne du pays d'origine des marins.
Rester droit, porter un regard fixé vers le drapeau, ne bouger pas lorsqu'on monte le drapeau et pendant l'entonnement de l'hymne national, telles sont les attitudes recommandées par la ministre aux élèves.
L'expression du début du siècle est Prenez gardes à vous, , c'est l'ordre qui annonce une instruction à exécuter. Avec l'ordonnance du 1er juin 1776 elle devient Garde = à vous et sert à faire immobiliser le soldat dans le rang.
En guise de salut, chez les militaires, on ne se sert pas la main et on ne se fait pas la bise : on utilise la main droite, doigts serrés et paume visible, portée à hauteur de la tempe. Un geste formel, par lequel un militaire exprime son respect à un supérieur, qui lui rend par le même mouvement.
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
dans la police le salut est dû à tout supérieur hiérarchique qu'il soit en civil ou en tenue, par ailleurs le salut ne s'effectue que lorsqu'on est vêtu d'une coiffe comme une casquette par exemple.
Il convient également de rester couvert et de tendre la main pour saluer un subordonné masculin et de lui dire Bonjour monsieur. Si la personne est votre supérieur hiérarchique, il convient de dire Bonjour monsieur sans se découvrir et d'attendre que le supérieur hiérarchique vous tende la main.
Le salut du Tatami :
Sur le bord du tatami, salut afin de montrer le respect envers la surface de travail sur laquelle le travail va s'effectuer. S'effectue à l'entrée et à la sortie du tatami.
Les autorités saluent l'étendard, c'est-à-dire le drapeau tricolore, car il est l'emblème, et donc le symbole de la République.
Par respect pour ce qu'il représente, le drapeau ne doit jamais toucher le sol. Il est souvent d'usage de saluer le drapeau lorsqu'on le hisse sur son mât dans des contextes officiels ou militaires.
Lorsque les autorités sont placées côte à côte, l'autorité à laquelle la préséance est due se tient au centre. Les autres autorités sont placées alternativement à sa droite puis à sa gauche, du centre vers l'extérieur, dans l'ordre décroissant des préséances.
Les formules telles que «lieutenante» ou «colonelle» sont rarement utilisées au sein de l'armée française, qui est pourtant l'une des plus féminisées d'Europe.
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Le procureur de la République doit donner un accord écrit et motivé. La garde à vue peut également atteindre 72 heures en cas d'extrême gravité. Dans les affaires de terrorisme, elle peut même aller jusqu'à 96 voire 144 heures.
a/ Le garde à vous
Après avoir vivement ramené le talon gauche vers le talon droit, les pieds sont joints au niveau des talons et légèrement écartés au niveau des pointes (position de 10h10).
On ouvre le ban que pour les textes officiels : Appel du 18 juin, ordres du jour, message officiel du Secrétaire d'Etat à la Défense et aux Anciens Combattants. Les discours ou allocutions sont prononcés en dehors de la cérémonie du souvenir (vin d'honneur, exposition, etc.)
Hisser les couleurs : Au commandement Envoyez, le pavillon national est hissé jusqu'au sommet du mât, puis redescendu, dans les conditions habituelles, jusqu'à ce que les longueurs de la drisse au-dessus et au-dessous du pavillon national soient dans le rapport de 1/3 au dessus et 2/3 au dessous.