La concentration « volée » Par ailleurs, une consommation trop importante d'informations, d'autant plus lorsqu'elle fait appel au sensationnalisme et aux émotions, peut aussi avoir des répercussions physiques, émotionnelles et intellectuelles.
La surcharge informationnelle ou infobésité désigne l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. La surcharge informationnelle est liée aux moyens modernes de communication notamment dans le monde du travail.
Conseils à suivre. On pourra commencer par désactiver les push que l'on trouve les moins pertinents sur son smartphone ou mettre son téléphone en avion durant la journée et au moment du coucher par exemple. Un travail de hiérarchisation de l'information doit aussi être mené afin d'éviter de se disperser.
L'accès à l'information a pour objectif de garantir à un public le plus large possible, la mise à disposition de tout événement, tout fait, tout jugement et tout document par tous moyens telle la télévision, la radio, la presse et Internet sachant que ce dernier diffuse les informations plus rapidement et à niveau ...
Regarder ou écouter les infos génère des émotions négatives
Tous les matins, quand tu regardes ou tu écoutes les infos, consciemment ou inconsciemment, c'est comme si tu te disais « Allez je prends un bonne tartine de négativité, et je la déguste pour qu'elle me rende bien malade » .
Accès à l'information
Quand les citoyens savent comment ils sont gouvernés, ils peuvent demander des comptes à leurs gouvernements. L'information, c'est un pouvoir. Par conséquent, l'accès universel à l'information est la pierre angulaire de sociétés du savoir à la fois saines et inclusives.
C'est un adage bien connu : trop d'info tue l'info. À tel point qu'au cours de la dernière décennie, cette problématique a eu droit à son propre néologisme. On parle désormais d'infobésité, fusion des mots « informations » et « obésité ».
Certains chercheurs décrivent des troubles du comportement, des dysfonctions cognitives et des troubles de santé : perte de sommeil, anxiété, stress, pénibilité, dépression, épuisement professionnel, perte de sens et de motivation, désengagement.
Si une information optimale est nécessaire pour prendre des décisions, la recherche de données supplémentaires aboutit à une dégradation du processus décisionnel voire à une paralysie des capacités de faire le bon choix. Vient ensuite le risque de désinformation lié à la dégradation de la qualité de l'information.
Elles accroissent la charge mentale et psychique des salariés. Confrontés à l'accroissement de l'information tant en termes de quantité que de vitesse, ils sont de plus en plus nombreux à exprimer le sentiment de ne plus parvenir à l'absorber, à la trier et à la hiérarchiser.
Définition de surinformation
On parle parfois d'infobésité ou de surcharge informationnelle. Par métonymie, la surinformation désigne la trop grande quantité ou l'excès d'information par rapport aux besoins ou aux possibilités d'assimilation de celui ou de ceux qui la recoivent.
Les sources d'information sont habituellement classées en trois grandes catégories : les sources primaires, secondaires et tertiaires.
Pour qu'une information soit de qualité, elle doit être : o fiable, c'est-à-dire que la source est connue ou est clairement identifiable. o pertinente, c'est-à-dire qu'elle doit répondre à un besoin. o d'actualité, c'est-à-dire que les renseignements sont récents et mis à jour régulièrement.
La principale raison d'être de l'information est son rôle dans un processus de diminution de cette incertitude. L'information a aussi une valeur, car elle permet de choisir, de prendre des décisions et d'agir. Sa valeur est ainsi liée à son emploi dans le contexte de prise de décisions.
Les différents rôles de l'information
de permettre de comprendre l'environnement ; d'aider à la décision ; de coordonner l'action ; de communiquer à l'interne et à l'externe.
Mettre à la disposition des responsables une information détaillée - et pas seulement des données prix et CO² - permet de concrétiser des ventes et de fidéliser les clients.
L'information est précieuse pour diminuer l'incertitude qui environne la prise de décision . Elle est également facteur de production (car elle est essentielle pour créer et mettre sur le marché des produits, services de plus forte valeur ajoutée) et facteur de synergies.
Au fur et à mesure de leur développement, les NTIC présentent cependant de nouveaux risques : cyber-harcèlement (ou harcèlement virtuel), insultes ou photos publiées sur Internet à l'insu des utilisateurs.
Note : La quantité d'information dépend du caractère plus ou moins probable de l'évènement. Mathématiquement, elle est égale au logarithme de l'inverse de la probabilité de l'évènement. Lorsque le logarithme est binaire, elle est exprimée en shannons. Voir aussi : shannon.