Le « pain au chocolat » ou « chocolatine » est une viennoiserie imaginée par les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer. C'est en fait une version au chocolat du croissant issue des premiers croissants qu'ils vendaient entre 1837 et 1839 dans leur Boulangerie viennoise à Paris.
D'après Nicolas Berger, auteur d'une encyclopédie du chocolat (Chocolat, mots et gestes) publié aux éditions Alain Ducasse, le mot pain au chocolat désignait à l'origine un morceau de pain dans lequel on fourrait un bout de chocolat pour le goûter des écoliers.
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
En effet, les croissants fourrés au chocolat s'y vendaient sous le nom de Schokoladencroissant, nom que les Français auraient petit à petit déformé en Schokoladen puis finalement en… chocolatine.
Dans une toute petite partie de la Belgique, on utilise même le mot « couque au chocolat ». Pourtant, bizarrement, il n'y a pas de débat sur ces syntagmes ! » On poursuit la lecture de sa carte de France : « Sur la majeure partie du territoire français, on parle de « pain au chocolat ».
Le « pain au chocolat » ou « chocolatine » est une viennoiserie imaginée par les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer. C'est en fait une version au chocolat du croissant issue des premiers croissants qu'ils vendaient entre 1837 et 1839 dans leur Boulangerie viennoise à Paris.
L'histoire du chocolat remonte à 4 000 ans, dans l'antique Méso-Amérique qui incluait entre autres le Mexique d'aujourd'hui, où les premiers cacaoyers ont été trouvés. La civilisation Olmèque, l'une des plus anciennes d'Amérique latine, a été la première à transformer le cacao en chocolat.
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Les pays anglophones utilisent d'ailleurs "chocolate croissant" même s'il n'a pas la forme du croissant Les Français auraient déformé l'appellation en chocolatine. En Autriche, le pain au chocolat désigne un cake.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat.
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
On attribue l'invention du pain aux Egyptiens en 3000 avant JC. En effet en Egypte ancienne, on trouve déjà l'ancêtre de notre pain quotidien à base d'eau, de farine, de sel et de levain.
Ce serait Marie-Antoinette d'Autriche, mariée à Louis XVI, qui aurait officiellement introduit, à la cour française, certaines spécialités culinaires de Vienne (sa ville natale), dont le croissant. À savoir que les pâtisseries trouvent, quant à elles, leur place dans les banquets royaux dès le XVIe.
Le mot chocolatine apparaît dans le Larousse. D'après le dictionnaire, il est employé dans le sud-ouest de la France et au Canada pour désigner un pain au chocolat. L'utilisation de ces deux termes est le résultat d'un clivage géographique, entre le nord et le sud de l'hexagone.
La viennoiserie a apparu en France pour la première fois entre 1837 et 1839, quand un officier autrichien a ouvert une boulangerie viennoise à Paris (située dans rue de Richelieu). Le savoir-faire de la viennoiserie a été transmis des ouvriers viennois à leurs élèves français.
En France, en Amérique du Nord et en Europe du Nord, on appelle pain aux raisins un petit pain sucré qui contient des raisins secs, plus proche du pain traditionnel, qui n'est donc pas une viennoiserie.
À cette adresse, le «schokoladencroissant» était un croissant fourré au chocolat. Les Français, entendant «schokoladen», auraient alors traduit le mot en «chocolatine». Au XXe siècle, tandis que les pâtissiers français fabriquèrent ces viennoiseries à leur manière, le terme s'évanouit peu à peu.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
Le mot dérivé « viennoiserie » est issu de l'adjonction du suffixe « -erie » à l'onomastisme « viennois », lui-même dérivé du nom de Vienne. En français, une viennoiserie, de même qu'une chinoiserie, peut faire référence à une activité ou un « objet dans le goût viennois ».
"En France, explique Marcel Derrien, le croissant avait la forme d'un pain au lait et était essentiellement produit par les boulangers. Ce sont les pâtissiers qui lui ont donné sa forme si particulière pour justement se démarquer des boulangers."
En mars, son chocolat de Daloa, ville de l'ouest ivoirien, a été distingué « Meilleur chocolat du monde » au Salon de l'agriculture de Paris. « Un chocolat de zone forestière intense en cacao », décrit le créateur de la marque Le Chocolatier ivoirien.
Ainsi, le chocolat noir est considéré par les puristes comme le seul vrai chocolat. Il est notamment composé d'un mélange de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre. Il doit contenir un minimum de 43 % de cacao (dont au moins 14 % de cacao sec dégraissé).
CHOCOLATE prononciation en anglais par Cambridge Dictionary.