Règle : Lorsque deux verbes se suivent, le deuxième (ou le troisième) est toujours à l'infinitif ! 🔎 Explication de la règle : (Cependant, si les explications grammaticales vous rebutent, je vous invite à passer directement au point "Mnémo").
Pour savoir quand mettre le verbe à l'infinitif dans une phrase, il faut retenir ces deux petites règles : Quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif. Exemple : je vais partir.
Quand 2 verbes se suivent, le 2ème se met à l'infinitif :
Une succession de 2 verbes (ou davantage) signifie que seul le 1er possède un sujet, et que le 2ème est complément du 1er (le 3ème est complément du 2ème, etc.) : ex : Il préférait se dépêcher pour éviter d'arriver en retard.
Dans une phrase avec deux verbes conjugués, quand le verbe principal est au présent, la conjugaison du second verbe suit les règles suivantes : Pour une action antérieure (qui s'est passée avant la première action), on utilise un temps du passé (le plus souvent l'imparfait ou le passé composé).
-la voiture a été faite rapidement. (là il ne faut pas conjuguer faire, il est au participe passé et donc il s'accorde avec le sujet "la voiture")Donc tu as bien trois verbes à la suite avoir-être-faire mais tu as un auxiliaire,le verbe conjugué et le participe passé. -La voiture a pu être faite la semaine dernière.
Lorsque 2 verbes se suivent le second se met toujours à l'infinitif,. sauf derrière un auxiliaire. Après avoir joué, Thierry pense réviser ...
Attention : Quand un sujet est commun à plusieurs verbes, tous les verbes s'accordent de la même façon avec ce sujet. Ex. : Papa est entré et a pris la parole. Quand le groupe sujet comprend plusieurs noms, le verbe se met à la 3e personne du pluriel.
On doit appliquer la concordance des temps pour exprimer la chronologie des actions dans une phrase complexe et pour rapporter des paroles au discours indirect dans un contexte passé.
Les verbes du deuxième groupe sont les verbes dont l'infinitif se termine par -ir et dont la conjugaison suit le modèle de finir. Ils se distinguent notamment des verbes en -ir du troisième groupe par leur participe présent en -issant (« finir » → « finissant » alors que « courir » (3 e groupe) → « courant »).
On appelle "détecteur de verbes secondaires" un mot subordonnant qui introduit une proposition dite subordonnée. On distingue deux types de mots subordonnants : Les pronoms relatifs ( qui, que, quoi, dont, où, lequel, duquel, auquel) Les conjonctions de subordination ( puisque, parce que, lorsque, dès que, bien que...)
La phrase nominale (qui n'est pas seulement constituée d'un nom, mais peut aussi être formée d'un adjectif, d'un adverbe...) est en réalité une phrase sans verbe.
La phrase simple Une phrase simple est une phrase qui ne comporte qu'une seule proposition (appelée proposition indépendante), donc un seul verbe conjugué.
C'est fait !
→ Cela est fait !
Une faute grammaticale est une façon d'écrire un mot non conforme aux règles de grammaire en vigueur. Le cas le plus courant est par exemple l'oubli du « s » au pluriel (par exemple : Les chien gambadaient dans les champ).
Avoir et être, parfois appelés auxiliaires de conjugaison, sont des verbes qui, dépourvus de leur signification propre, servent à former les temps composés et surcomposés. Ils se combinent au participe passé des verbes conjugués et prennent les marques de personne, de nombre, de temps et de mode.
Après, de, sans, à, pour, par, le verbe se met toujours à l'infinitif. Elle vient de manger une pomme. Elle reste là, sans bouger. Il commence à chanter.
La seule exception au deuxième groupe est le verbe haïr qui garde un tréma dans sa conjugaison au pluriel : je hais, tu hais, il hait, nous haïssons, vous haïssez et ils haïssent.
abolir, aboutir, abrutir, accomplir, (s') accroupir, adoucir, affaiblir, affermir, affranchir, agir, agrandir, alourdir, alunir, amerrir, anéantir, aplanir, aplatir, appauvrir, applaudir, approfondir, arrondir, assainir, assombrir, assoupir, assourdir, attendrir, atterrir, avertir, bâtir, blanchir, blêmir, (re)bondir, ...
Dans la langue soutenue, la règle de concordance des temps veut que le verbe de la subordonnée soit à l'imparfait ou au plus-que-parfait du subjonctif. Exemples : Je voulais qu'elle fût heureuse (imparfait du subjonctif) — Je souhaitais qu'il fût arrivé (plus-que-parfait du subjonctif).
La concordance des temps doit respecter certaines règles grammaticales selon la relation de temps entre la phrase de base, aussi appelée principale, et la subordonnée : Le verbe de la phrase de base peut être au présent, au passé, au futur ou au conditionnel.
La concordance des temps, c'est la correspondance, c'est l'accord des temps entre la proposition principale et la proposition subordonnée. Quand on change le temps du verbe de la principale, on doit aussi changer le temps du verbe de la subordonnée. On va prendre des exemples pour que ce soit plus clair.
Les sujets suivent quel que soit
Lorsque les sujets sont au singulier et qu'ils suivent quel que soit, l'accord se fait soit avec le sujet le plus proche, soit avec l'ensemble des sujets. L'accord au singulier est plus fréquent.
Si plusieurs verbes se suivent (2 verbes ou davantage), seul le 1er verbe possède un sujet. Le 2e verbe est alors complément du 1er (le 3e est complément du 2e, etc.). Si le 2e n'a pas de sujet, on l'écrit à l'infinitif puisqu'il n'est pas conjugué.
On donne alors, dans une même phrase, plusieurs indications sur ce que fait le sujet ou comment il est, sans répéter le sujet. Les verbes sont alors coordonnés, et ils s'accordent tous de la même façon avec le sujet. L'important est d'accorder tous les verbes, et de ne pas en oublier un.