Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Il est utilisé pour exprimer son mépris envers une personne, la désigner comme une personne pitoyable ou pathétique. Ce terme est plutôt moqueur et négatif aujourd'hui, à l'origine il exprimait plutôt la désolation, la solicitude.
"Miskine" désigne en arabe "pauvre". Le terme peut se transformer en "Miskina" et est employé pour signifier que vous inspirez la pitié.
"mskn" vient en réalité de l'arabe "Meskine" ou "Meskina" et signifie tout simplement "le / la pauvre". Malheureusement, les adolescents ont aujourd'hui tendance à utiliser cette abréviation en permanence et son sens peut parfois se perdre un peu. Mystère résolu !
La prononciation \mis. kin\ rime avec les mots qui finissent en \in\.
Ce terme se prononce "chè" par les ados. Selon Cyriel, ce mot est utilisé pour faire comprendre à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait.
Cheh vient de l'arabe maghrébin. En arabe aussi, ce mot signifie « bien fait » et s'utilise de la même façon. On dit aussi cheh fik , c'est-à-dire « bien fait pour toi ».
Ca veut dire Rest In Peace, En français, cela se traduit par « Repose en paix », message que l'on peut donc trouver dans un cimetière. Sur Twitter, »RIP xxxx » revient donc à montrer sa tristesse face à la disparition de quelqu'un. >>>
Le mot Psartek, peut aussi s'écrire bsartek, psahtek et sartek. Il signifie bravo, félicitations, bien joué. Les ados l'utilisent pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose, pour faire un compliment à quelqu'un.
Le mot bsahtek , qui s'écrit aussi bsartek et sartek , signifie « bravo, félicitations, bien joué ». On l'emploie pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose. Il sert aussi à complimenter quelqu'un qui a fait une bonne action, avec le sens de « c'est bien, respect pour ce que tu as fait ».
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?".
Il est utilisé par les adolescents et les jeunes adultes comme exclamation, pour marquer l'étonnement, l'indignation. Il est un peu l'équivalent de « Mon Dieu ! » Pour le renforcer, on le complète parfois par ya rabi , qui veut dire « ô Seigneur » : starfoullah ya rabi .
Le mot Wesh vient de l'expression arabe "Wesh rak", qui se traduit par "Comment vas-tu ?". L'expression "Wesh" est principalement utilisée par les adolescents pour se saluer.
Le mot Psartek, peut aussi s'écrire bsartek, psahtek et sartek. Il signifie bravo, félicitations, bien joué, Les ados l'utilisent pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose, pour faire un compliment à quelqu'un. Par exemple : « Psartek, tu as eu ton Bac ! ».
Starfoullah est un mot d'origine arabe exprimant la surprise ou parfois le dégoût. Il peut être utilisé comme interjection, en tant que synonyme de « Mon Dieu ! ». Il est dérivé de astaghfirullah, qu'on peut traduire par « je demande pardon à Allah, que Dieu me pardonne ».
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
Nom issu de l'arabe “frère”. Prononcez “roya”, avec un r guttural. Expression instaurant une relation de proximité avec un interlocuteur.
Certaines personnes disent ”Allah yahdik 3la kheir” ou encore ”Allah yahdik saha”. Ces deux expressions veulent dire la même chose, à savoir qu'Allah te guide sur le bien.
On vous explique tout. Le mot “quoicoubeh” (aussi écrit “quoi koubeh”, “quoi cou beh”, “quoi kou beh”, parfois compris “quoi couper”) est une réplique qu'on lance à quelqu'un qui dit “quoi ?” ou qui termine une phrase par le mot “quoi”.
(2023) Expression créée par le tiktokeur La Vache (@camskolavache) partant du jeu de mots venant de Côte d'Ivoire consistant à répondre « quoicou » à une personne disant « quoi ». La Vache a rajouté « Béh » à la fin et s'en est servi pour piéger des gens lors de micro-trottoirs qui sont devenus populaires.
Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ». Ou qui finit sa phrase par le mot « quoi ».
"PLS" est l'abréviation de position latérale de sécurité, utilisée à l'origine par les secours. Quand vous êtes en PLS, c'est que vous êtes KO, au bout du rouleau. Traduction : Vous êtes incapable de faire quoi que ce soit !
Ferme ta gueule ! تبًا، اخرس! Maintenant, tu es comme eux ! - Ferme ta gueule !
«J'ai le seum!» et mieux: «J'ai trop le seum!», sont des expressions pleines de nuances: dégoût, haine, colère... En langage courant, on pourrait dire: «J'en ai marre ; j'en ai ras le bol». Remarque: on parle d'un ras-le-bol, mais on en a ras le bol. Le mot «seum» nous vient du mot arabe «sèmm», venin.