Les hallucinations hypnagogiques Les hallucinations peuvent être visuelles, auditives ou kinesthésiques, c'est-à-dire liées à la perception du corps dans l'espace. La personne peut aussi bien avoir l'impression qu'on la touche que voir des araignées partout.
Les hallucinations peuvent être causées par une lésion ou une tumeur au cerveau, ou encore d'autres troubles neurologiques. Ne paniquez pas! Les lésions au cerveau sont rares et, même si vous êtes en proie à des hallucinations du sommeil, il y a peu de chances pour que cela en soit la cause.
Les hallucinations et les paralysies du sommeil sont des expériences liées au chevauchement temporaire et anormal d'éléments de veille (conscience) et du sommeil (images/sensations de rêve, atonie musculaire), en s'endormant (hypnagogiques) ou en se réveillant (hypnopompiques).
Si ces pensées effrayantes surgissent, c'est justement parce que nous ne voudrions pas commettre de tels actes. Nous tentons alors de les écarter de notre esprit mais, encore une fois, ce rejet tend à les faire revenir. Parfois, nous trouvons ces idées tellement ignobles qu'elles nous font douter de nous-mêmes.
Mécanisme et solutions des hallucinations hypnagogiques
C'est pour cette raison que le dormeur est tétanisé et que ses muscles sont inertes alors que son esprit est en pleine activité. La meilleure solution à ce moment-là est, dans la mesure du possible, d'essayer de garder son calme et de respirer tranquillement.
Il est particulièrement important de consulter un médecin si une personne atteinte d'une maladie pouvant provoquer des hallucinations a des hallucinations qui s'aggravent ou d'autres changements d'humeur ou de comportement.
Toutefois, nombreuses sont les circonstances où le cerveau peut produire des illusions visuelles ou auditives : les migraines, les crises d'épilepsie, la maladie d'Alzheimer ou d'autres maladies neurodégénératives, l'abus de certains médicaments, ainsi que certaines lésions cérébrales.
Tout le monde peut être confronté à des pensées intrusives de temps à autre. En réalité, lorsqu'elles deviennent trop fréquentes, cela peut impliquer les problèmes psychologiques suivants : Anxiété : lorsqu'une personne souffre d'anxiété, cela peut entraîner des pensées intrusives.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
La sexomnie est un "somnambulisme sexuel" qui concerne certaines personnes atteintes de troubles du sommeil. Cette maladie consiste en une envie obsessionnelle de sexe en dormant. Cela peut se traduire de manières plus ou moins inquiétantes.
« Quand les voies respiratoires sont bloquées et que le taux d'oxygène dans le sang diminue, le cerveau envoie un signal d'alerte pour nous réveiller, parfois sous la forme d'une contraction musculaire », indique l'infirmière praticienne.
Pendant le sommeil paradoxal, le corps est totalement paralysé mais l'activité cérébrale atteint son paroxysme. C'est pendant cette phase que le voyage astral se produit. C'est l'impression que l'esprit se dissocie du corps pour pouvoir voyager n'importe où.
Les hallucinations hypnagogiques (celles de l'endormissement) sont le résultat d'une fatigue extrême qui commande un repos immédiat et non négociable, c'est vital! Le risque de chute ou d'accident est maximum et la souffrance cérébrale intolérable pour une activité de loisir.
Ces visions qui se produisent dans le cours transitoire de la veille au sommeil, si vivaces qu'elles donnent un sentiment de réel plus prégnant que celui de la perception, sont appelées images hypnagogiques (« qui amènent au sommeil », dit l'étymologie grecque).
Traitement en cas d'hallucination
Le traitement doit être fait par un psychiatre. Côté médicament, on utilise surtout les neuroleptiques ou antipsychotiques et associe parfois des benzodiazépines pour diminuer l'anxiété.
« Je suis vraiment stupide d'avoir fait une erreur pareille » ou encore « Ça ne sert à rien d'essayer, je n'y arriverai jamais », ne provoquent que de la souffrance. C'est ce qu'on appelle les pensées parasites : elles prennent possession de notre esprit et aspirent notre énergie.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
Des voix ou des bruits que personne d'autre ne peut entendre
Les hallucinations sont l'un des signes les plus évidents de psychose. Si une personne entend des voix ou des bruits non perceptibles par les autres, il s'agit d'hallucinations auditives.
L'hallucination visuelle désigne la perception de « quelque chose qui n'existe pas ou qui n'est actuellement pas présent devant la personne concernée ». Elle peut correspondre à des visions élémentaires (phosphène, lueur, tache colorées…) ou complexes (objets, animaux, personnages, scènes plus ou moins animées).
Qu'est-ce que la psychose hallucinatoire chronique ? L'hallucination constitue une sensation pathologique sans aucune stimulation externe. La psychose hallucinatoire chronique se traduit par la perte du sens de la réalité. L'expérience vécue par le sujet est convertie en délire, notamment en hallucination.
Les hallucinations éprouvées par des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer peuvent impliquer n'importe lequel des sens, mais elles sont la plupart du temps visuelles (voir quelque chose qui n'est pas là) ou auditives (entendre des bruits ou des voix qui n'existent pas réellement).
« Phénomène délirant caractérisé par la conviction, chez le patient, que ses propres pensées sont captées et prises par autrui. Décrit dans l'automatisme mental. »
La schizophrénie est assez rare dans l'enfance et jusqu'à l'adolescence. Elle débute généralement à tout moment entre le milieu de l'adolescence et le milieu de la trentaine, le plus souvent au milieu de la vingtaine. (Voir aussi Schizophrénie. en apprendre davantage chez l'adulte.)