En effet, si le cœur s'arrête plus de trois minutes c'est la mort cérébrale. Le cœur est un muscle qui fait office de pompe et permet au sang de circuler dans l'organisme et ainsi l'irriguer. Le sang est constamment pompé et éjecté par différents vaisseaux et parcourt un circuit fermé.
Les cellules du cerveau meurent progressivement
Quand le cœur cesse de battre, le sang ne circule plus jusqu'au cerveau. Les fonctions cérébrales s'arrêtent quasi instantanément. Tous nos réflexes (réflexes laryngé, pupillaire, etc) disparaissent.
Sauf que, lorsque c'est le cœur qui s'arrête en premier, le cerveau le suit au bout d'un maximum de dix minutes. La mort de la personne est donc toujours cérébrale et c'est elle qui est irréversible ; il y a simplement plusieurs manières d'y arriver.
Pour les chercheurs, cela montre que le cerveau est capable d'une activité coordonnée, même quand le corps n'est plus en vie et que le sang ne circule plus. Les scientifiques avancent même que notre cerveau pourrait être programmé pour nous guider au moment de la mort.
Les séquelles les plus fréquentes quand elles existent sont les atteintes de la mémoire , les syndromes parkinsoniens , l'épilepsie, la cécité corticale (perte plus ou moins importante de la vue en rapport avec l'anoxie du cortex visuel) et des syndromes confusionnels , voire démentiels.
40?% d'entre eux se réveillent et parmi eux, la plupart (de 80 à 90%) ne gardent que peu, ou pas, de séquelles de leur état comateux.» Le cerveau peut aussi être directement affecté par «un traumatisme très sévère comme un choc, une infection – par exemple une méningite bactérienne, indique Andrea Rossetti.
Les symptômes habituels d'une crise cardiaque sont des douleurs dans la poitrine ou le haut du corps, de l'essoufflement, de la transpiration, des nausées et des étourdissements.
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
69% des Français estiment que le coeur est l'organe le plus important du corps humain, selon un sondage réalisé par l'institut Ifop pour la Fédération français de cradiologie (FFC), et rendu public le 14 octobre. Le deuxième organe le plus important du corps humain serait le cerveau, cité par 25% d'entre eux.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)
Après la mort, le cerveau continue de fonctionner.
La mort clinique
A la différence de la mort cérébrale, elle est constatée sans examens médicaux mais en auscultant le corps pour vérifier notamment l'absence de pouls, de mouvements respiratoires. A ce stade, le patient peut dans certains cas encore être réanimé.
"Les premières heures suivant le décès, le corps a une odeur de viande froide. Cette odeur va évoluer et tendre vers une odeur caractéristique de certains fromages forts comme l'Époisses ou le Maroilles", compare notre interlocuteur.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Ce qui est primordial dans cette rencontre avec le corps du défunt, ce n'est pas de le « voir » comme pour faire un constat médical, mais de venir saluer sa dépouille, se recueillir auprès de ce corps aimé, investi, avec lequel nous avons partagé une histoire.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
Quoi qu'il en soit, «plus on est resté longtemps dans le coma, moins grande est la chance de réveil», souligne Andrea Rossetti. «Nous n'avons aucun argument pour dire qu'une personne dans le coma rêve, dit Andrea Rossetti. D'autant que le rêve est un état physiologique, alors que le coma n'en est pas un.»
L'état végétatif.
Après le coma, certains patients donnent l'impression de s'éveiller : ils ont les yeux ouverts et des cycles veille-sommeil normaux. Pourtant, ils ne réagissent à aucune sollicitation. Un état qui peut durer des années.
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Cela se produit lorsque le cerveau n'envoie pas les signaux électriques appropriés aux muscles qui contrôlent les mécanismes respiratoires pendant le sommeil et que l'on pense que cela provient d'un problème au niveau du tronc cérébral.
Une crise cardiaque est un problème circulatoire (blocage d'un vaisseau qui alimente le cœur en sang) qui peut causer des lésions cardiaques irréversibles. L'arrêt cardiaque a pour origine un problème électro-physiologique (dysfonctionnement électrique du rythme cardiaque).