Certaines personnes ressentent les effets de la prednisone quelques heures seulement après avoir pris la première dose.
L'action anti-inflammatoire de la cortisone se diffuse pendant une quinzaine de jours.
Réduire au minimum les apports en sucres concentrés (ou d'absorption rapide) : sucre en poudre/morceaux, miel, confiture, chocolat, biscuits, gâteaux, pâtisseries, viennoiseries, boissons sucrées… Limiter les apports en sel (Sodium ou Na+) : – Mettre peu de sel en cuisine et ne pas en ajouter à table dans vos plats.
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
Si cela peut te rassurer ca a dégonflé entièrement au bout de 1 mois après l'arrêt complet du traitement.
Comment marche la cortisone? Après une prise orale de corticoïdes, leur absorption par l'organisme est bonne (environ 80%) et rapide (le taux sanguin maximal est atteint entre 1 et 2 heures après la prise).
- les anti-inflammatoires dits « non stéroïdiens » (aspirine, ibuprofène…) ont, comme les corticoïdes, de possibles effets indésirables digestifs. - les pansements gastriques (Maalox®, Phosphalugel®, Gasviscon®...) réduisent l'absorption digestive des corticoïdes et donc leur efficacité.
Après un traitement de longue durée par la prednisone, l'abandon soudain du médicament peut entraîner des symptômes de sevrage cortisonique, entre autres des nausées, de la fatigue, une perte d'appétit, une fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, et un malaise généralisé.
Envisager un sevrage particulièrement lors des situations suivantes: traitement de l'herbe à puces, traitement pour une maladie auto-immune, patient très malade ou à l'état fragile, traitement d'une récidive pour un patient déjà sous corticothérapie, patient avec symptômes cushingoïdes.
Faire des activités sportives. La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Description : l'hypertension artérielle induite par la cortisone est souvent modérée et ne se manifeste habituellement par aucun symptôme. Le diagnostic est en général posé par le médecin lors de la mesure de la pression artérielle en consultation.
Les patients qui en souffrent ressentent souvent des étourdissements, des nausées ou vomissements et des troubles de la vision, de l'équilibre ou de la mobilité ; ils ont en revanche une audition normale et n'ont pas d'acouphènes.
Les symptômes rapportés sont des bronchospasmes, des urticaires, des angio-oedèmes, voire de véritables chocs. Les mécanismes ne sont pas toujours très clairs, et la nature anaphylactique n'est le plus souvent pas prouvée.
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement.
Palpitations d'origine « extracardiaque ».
Les causes sont classiquement : Un stress intense. La grossesse. La prise de certains médicaments ou toxiques : bronchodilatateurs, corticoïdes, alcool, cocaïne, …
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Donc très clairement, la cortisone ne fait pas gonfler le visage.
Ces anomalies sont dues à une redistribution des cellules graisseuses dans l'organisme (appelée lipodystrophie) et pas à une rétention d'eau. Fréquence : on estime qu'après deux à trois mois de traitement, 60% des patients vont présenter une modification significative de leur aspect physique.
Il est utilisé dans le traitement de certaines maladies graves (cancer, sclérose en plaques, rhumatisme articulaire aigu par exemple), mais également de maladies plus bénignes (allergie, crise d'asthme, sinusite aiguë, otite). Dans ces derniers cas, le traitement est souvent court.
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
L'interruption brutale de la corticothérapie expose potentiellement au risque de survenue d'une défaillance surrénalienne aiguë, en particulier si le patient est soumis à un stress d'intensité importante.
Dans les poussées les plus fortes, on utilise parfois aussi des formes injectables (intraveineuse), par exemple le Solumédrol®, l'Hydrocortisone® ou le Célestène®.
Par ailleurs, les corticoïdes induisent fréquemment des crampes, notamment en début de traitement. Cet effet indésirable est moins connu des médecins mais est bien connu des patients. Ces crampes sont souvent nocturnes et touchent souvent les mains et les pieds.
Ce médicament est utilisé par voie orale. Avalez les comprimés avec un peu d'eau, de préférence au cours du repas, en une prise le matin. Elle est déterminée par votre médecin. Il est très important de suivre régulièrement le traitement et de ne pas le modifier, ni l'arrêter brutalement sans l'avis de votre médecin.