Juger quelqu'un équivaut à ne pas comprendre pourquoi cette personne est telle qu'elle est. On ne sait pas ce qu'a vécu l'autre, ce qui a fait qu'il est tel qu'il est, ni combien il peut souffrir quand il sait qu'on le critique sans raisons justifiées.
Jugeant : Définition simple et facile du dictionnaire.
JUGER signifie également Décider en bien ou en mal du mérite d'autrui, de ses pensées, de ses sentiments, du motif de ses actions. Bien juger, mal juger de quelqu'un ou de ses actions. Vous en jugez légèrement, témérairement. Jugez favorablement de lui.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
Définition de jugeant | Dictionnaire français.
Utilisez plutôt des techniques d'écoute et d'empathie lorsque quelqu'un vous critique. Répétez simplement ce que cette personne vous dit. Cela lui montre que vous l'écoutez sans vous forcer à répondre à ses demandes déraisonnables. C'est une meilleure technique que si vous commenciez à vous disputer.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
3) Juger, c'est enfermer les autres dans des cases et diminuer notre propre ouverture d'esprit. Le jugement est une sentence qui confine la personne qui la reçoit dans une réalité qui n'est pas la sienne (les enfants qui subissent des jugements ou des étiquettes vont caler leur comportement sur eux).
Autrement dit, tout jugement sur l'autre est relatif à soi. Celui qui juge tel autre stupide, par exemple, ne fait que le distinguer par rapport à soi qu'il juge plus intelligent. Le jugement sert la différenciation sociale et, ce faisant, la construction identitaire.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Pour juger un homme, il faut examiner sa conduite quand il est sain et libre : malade ou en prison, il n'est plus le même. Pour juger de quelqu'un, il faut lui avoir vu jouer le dernier rôle. Pour juger un homme, au moins faut il être dans le secret de ses pensées, de ses malheurs, de ses émotions.
A l'aide de scans cérébraux, les chercheurs montrent que lorsque l'on raconte une histoire à un individu, et que celui ci juge que les actions des personnages méritent des reproches, une région du cerveau est activée. Il s'agit de l'amygdale, très fortement liée au contrôle des émotions.
La tendance à juger à l'excès tient au fait d'avoir été soi-même une cible. Il s'agit donc de retrouver comment, à quelle fréquence et pourquoi des jugements vous ont été imposés. En identifiant ces blessures du passé, on prendra conscience des raisons qui incitent, au présent, à en infliger à soi-même et aux autres.
Opération intellectuelle permettant de peser l'importance relative de faits ou d'idées abstraites, d'en évaluer les conséquences par le raisonnement et de conclure par une décision dans laquelle une assertion est posée comme vérité.
impartiale. impartiaux. Qui fait preuve de justice, d'équité, qui ne prend aucun parti dans son jugement et observe une stricte objectivité. Exemple : Tout juge qui se respecte se doit d'être absolument impartial pour exercer.
La personne qui critique sans cesse jouit d'une si faible estime d'elle-même qu'elle n'arrive pas à discerner les aspects positifs chez les autres. Au fond, elle projette ses propres faiblesses. Elle vous déprécie pour tenter de se valoriser. Sachant cela, prenez ses critiques avec un grain de sel.
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
Le droit de juger accordé à la raison est connu sous le terme de « rationalisme ». La condamnation du rationalisme n'est qu'une des traces du combat amer entre la raison et les forces qui s'y opposent, surtout dans le domaine de la théologie, où ce combat a fait rage.
Donner son avis sans juger, c'est parler, de notre ressenti. Ce qui se passe en soi face à ceci, cela, face à l'autre, aux autres. Le jugement attribue une valeur et porte sa condamnation en lui. Le ressenti exprime une émotion, une compréhension de soi.
Méthode 2 sur 3: Ignorer la provocation. Faites comme si vous n'entendez pas. L'une des stratégies pour faire face aux provocations consiste à faire semblant de ne pas entendre ce que les brutes disent, afin de pouvoir transformer cela en blague.
« C'est un peu triste de voir que tu arrives à caser tout ton vocabulaire dans une seule phrase. » « Quand une pensée traverse ton esprit, ça doit être un voyage bien long et solitaire pour elle. » « Surprends-moi, dis quelque chose d'intelligent. » « J'ai entendu mon chien péter des choses plus intelligentes. »