Il est indiqué en cas de rhinite allergique. Il peut être utilisé en injection locale en dermatologie, en rhumatologie et en ORL.
injections intra-articulaires : arthrites inflammatoires, arthrose en poussée. injections péri-articulaires : tendinites, bursites. injections des parties molles : talalgies, syndrome du canal carpien, maladie de Dupuytren.
Posologie et mode d'administration
1 injection de 1 mL pendant la période allergique. A renouveler 1 fois. La posologie habituelle est de 1/4 à 2 mL selon la taille et le siège de l'injection. Il faut éviter que l'injection ne soit trop superficielle en raison du risque d'atrophie sous-cutanée.
On utilise des corticoïdes de synthèse comme DIPROSTENE (R) qui possèdent d'excellentes propriétés anti-inflammatoires et un effet retard. L'infiltration consiste à injecter un produit anti-inflammatoire à base de corticoïdes directement dans l'articulation.
Un traitement médicamenteux peut soulager la douleur lors des poussées inflammatoires d'arthrose : le paracétamol est utilisé en première intention et, s'il n'est pas efficace, les anti-inflammatoires non stéroïdiens. Des infiltrations de corticoïdes dans l'articulation peuvent agir sur la douleur.
Après l'injection, il est préférable de laisser l'articulation au repos. Dans le cas d'infiltrations du genou, il est possible de marcher, mais les mouvements doivent être limités, autant que possible.
L'infiltration d'acide hyaluronique est « neutre » vis à vis du risque d'infection, qui devient alors extrêmement rare. Si le produit injecté est de la cortisone, cela peut majorer un diabète s'il n'est pas bien équilibré.
Des maux de tête peuvent survenir le jour même et le lendemain de l'examen, avec pour cause une petite brèche durale qui n'est pas toujours visible, c'est pourquoi nous vous recommandons vivement de rester allongé durant les premières 24h.
Une infiltration, après un repos de 24-48 h, permet une amélioration des symptômes rapide. Celle-ci survient entre 24-48h et une semaine après l'infiltration. Le résultat n'est cependant pas constant et il est parfois nécessaire de réaliser à nouveau le geste pour obtenir un résultat complet.
Il est recommandé de ne pas dépasser 3 infiltrations par localisation et par an. Il faut par ailleurs attendre 3 à 6 semaines entre chaque infiltration. Une infiltration peut être un échec mais si 2 infiltrations n'ont pas d'effet, il est indiqué de ne pas les renouveler.
Quelle est la différence entre une injection et une infiltration ? Une injection, appelée viscosupplémentation, est une injection d'acide hyaluronique. Cette infiltration est généralement effectuée pour traiter une lésion cartilagineuse ou une arthrose naissante.
· Risques locaux : infection, lésion, inflammation et calcifications de l'articulation, · Les injections répétées risquent d'entraîner des symptômes d'hypercorticisme (prise de poids, gonflement) et de déséquilibrer un diabète, une hypertension artérielle, · Maux de tête et bouffées de chaleur peuvent survenir.
Dans les heures qui suivent l'infiltration, il arrive parfois que la douleur soit majorée ; aussi, ne forcez pas sur votre articulation. Ces troubles disparaissent spontanément au bout de quelques heures et ne contre-indiquent en aucun cas de nouvelles infiltrations.
Une infiltration est prescrite, lorsque les traitements anti-inflammatoires et antalgiques ne sont plus suffisamment efficaces pour soulager une crise douloureuse. En quoi consiste une infiltration ? Une infiltration a pour but d'injecter un médicament à base de cortisone directement dans l'articulation douloureuse.
Les infiltrations de cortisone (un anti-inflammatoire puissant) sont utilisées pour le traitement de plusieurs problèmes musculosquelettiques, dont : les douleurs à l'épaule (tendinite, bursite, syndrome d'accrochage, arthrose) les douleurs au genou (arthrose, déchirure méniscale, arthrite, tendinite de la patte d'oie)
Douleur locale augmentée suite à l'infiltration : Il est fréquent que la douleur soit augmentée dans les heures qui suivent une infiltration et parfois jusqu'à 48 heures. Vous pouvez utiliser des analgésiques tels que Tylenol et/ou Ibuprofène ou un médicament precrit par le médecin pour soulager la douleur.
Il est recommandé d'observer un repos relatif durant 48 heures après l'infiltration pour un maximum d'efficacité. L'effet de l'infiltration est en général retardé dans le temps, avec un effet maximal entre 3 et 7 jours post infiltration.
Pour toute infiltration, un repos de 48 heures vous sera préconisé après le geste (parfois, il s'agira d'un repos relatif, mais un repos au lit peut être nécessaire). En fonction du site infiltré, il pourra vous être demandé de ne pas conduire (ou de prendre un taxi).
Si l'infiltration ne marche pas, on peut se donner 15 jours ou trois semaines de délai et refaire ensuite une deuxième infiltration. Et si la deuxième infiltration ne marche pas, il faut arrêter ce traitement car le patient n'est pas très réceptif aux infiltrations.
Il semble que le meilleur traitement, préventif et curatif, pour les douleurs qui suivent presque immédiatement l'infiltration, soit l'application d'une poche de glace. Comme toujours, celle-ci doit être enveloppée dans un linge propre, pendant un maximum de 15 à 20 minutes.
Avant l'infiltration, vous devez apporter les médicaments nécessaires à l'injection qui vous ont été prescrits par votre médecin traitant, ou le médecin qui pratiquera le geste le cas échéant. Vous ne devez pas avoir d'infection (infection pulmonaire, urinaire, etc. ...) en cours de traitement.
L'acide hyaluronique dans le genou ou “visco supplémentation” est un excellent traitement de l'arthrose et est de plus en plus proposé dans les symptômes douloureux de l'arthrose et en prévention de l'aggravation arthrosique. Cette technique se pratique sous forme d'infiltrations.
L'opération n'est pas douloureuse et le patient peut marcher immédiatement. Les effets positifs peuvent s'observer rapidement au bout de quelques jours. Il faut toutefois être prudent les quelques heures qui suivent l'infiltration.
Une infiltration au genou, est-ce douloureux? Les infiltrations, quelle que soit la technique mobilisée, le PRP, la cortisone ou la viscosuppléance, sont généralement peu douloureuses. D'ailleurs, elles ne nécessitent pas d'anesthésie.