Étant donné (que), introduit une cause, un motif ; vu que, puisque : Étant donné les circonstances. Étant donné qu'il pleut, nous resterons à la maison.
Comment remplacer étant donné ? Plusieurs synonymes, en fonction du contexte, peuvent remplacer l'expression "étant donné", par exemple : "considérant", "du fait de", "grâce", "grâce à", "vu", "attendu", pour", ou bien encore "compte tenu de", "sachant"...
étant + participe passé
Si le participe composé avec étant se trouve dans une proposition sans sujet, cela veut dire qu'il complète le verbe principal. Le participe passé s'accorde donc en genre et en nombre avec le sujet du verbe principal. Exemple : S'étant bien entraîné, il gagna le match.
Si autrefois l'accord était admis, la grammaire actuelle considère « étant donné » comme invariable ; l'accord n'est plus justifié aujourd'hui car « étant donné » est analysé en tant que locution prépositive lorsque celle-ci commence la phrase ou la proposition.
2. Vu que, étant donné que. Synonyme : attendu que, parce que, puisque.
Étant donné est invariable s'il est placé avant le nom, mais il s'accorde s'il est placé après. Étant donné les circonstances. Les conditions étant données.
Marquant l'opposition ou la concession, utiliser cet adverbe permet toutefois d'affirmer la coexistence de deux faits, actions ou idées, et ne les rend pas incompatibles. Par exemple : "Il est très frileux, néanmoins il n'a pas emporté de pull malgré le froid glacial.".
Règle. Lorsque l'adjectif nu précède un nom, il est invariable et est joint au nom par un trait d'union. Lorsque l'adjectif nu suit un nom, il s'accorde en genre et en nombre avec ce nom et n'est pas joint à ce dernier par un trait d'union.
Le participe passé ne s'accorde pas avec le sujet, mais avec le complément d'objet direct (COD), uniquement si celui-ci est placé avant. Exemples : « Le chat a mangé les souris ! » Le COD « les souris » est placé après le participe passé, on n'accorde pas.
-Ayant été malade pendant des semaines, elle a accumulé bien du retard. -Ayant fait des progrès remarquables, elles ont été récompensées.
"Je puis" est plus distingué que "je peux". Cependant, on ne dit pas "peux-je" mais "puis-je", cette forme est obligatoire. On notera également le -x des deux premières personnes du singulier du présent de l'indicatif : je peux, tu peux.
Le participe passé peut avoir plusieurs terminaisons, c'est un verbe conjugué à un temps composé. Le participe présent se termine par -ant, il est invariable.
Synonyme : attendu que, comme, étant donné que, dans la mesure où, du moment que, parce que, vu que.
Synonyme : ambitionner, appeler, appeler de tous ses vœux, aspirer à, attendre, avoir à cœur de, avoir envie de, brûler de, convoiter, demander, désirer, espérer, lorgner, rêver de, viser, vouloir. – Familier : guigner, loucher sur. – Littéraire : soupirer après.
Du fait de, que, par le (seul) fait de, que, en raison de, pour la (seule) raison que.
Rappel : Le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet quand on emploie l'auxiliaire avoir. Elle a rencontré une célébrité. Ils ont fini la bouteille. Mais le participe passé s'accorde avec le complément d'objet direct (COD) quand il est placé avant le verbe.
Lorsque le participe passé d'un verbe est employé seul, c'est-à-dire non accompagné d'un auxiliaire, on dit qu'il est employé comme un adjectif. Autrement dit, le participe passé employé tout seul se comportera exactement comme un adjectif. Toutefois, il ne faut pas confondre l'adjectif et le participe passé.
Ils nous ont donnés avec un s
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'ils ont donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
L'adjectif s'accorde en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le nom qu'il qualifie.
L'adjectif qualificatif s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte et cela, quelle que soit sa fonction par rapport à ce nom. Dans l'exemple qui suit, c'est Gaspard, l'un des rois mages, qui raconte son voyage vers Bethléem.
L'Académie répond :
Étymologiquement, cependant est « pendant cela » ; pourtant est « pour une si grande chose » ; néanmoins est « nullement moins » ; et toutefois est « parmi toutes les fois ».
Car leur sens n'est pas exactement le même : « en revanche » véhicule une idée d'échange, de rétablissement d'équilibre, « en retour, en compensation, en contrepartie » ; « par contre » marque plus nettement l'opposition, notamment à un énoncé antérieur.
L'apposition est mobile en français, c'est-à-dire qu'il est possible de placer le mot apposé en début de phrase, au milieu ou à la fin de cette dernière sans que cela change le sens de la phrase. Cependant, c'est une décision qui doit être mûrement réfléchie.