L'incidence des cas chirurgicaux de hernie discale lombaire est la plus élevée pour les tranches d'âge entre 30 et 59 ans pour les deux sexes. L'incidence augmente jusqu'à un plateau à 35-44 ans chez les hommes et jusque 44 ans chez les femmes, puis diminue progressivement pour les deux sexes.
Il s'agit d'une pathologie très fréquente de l'adulte jeune (30-55ans), 95% des sciatiques dans cette tranche d'âge sont liées à une hernie discale lombaire.
Une hernie discale survient lorsque la couche dure d'un disque dans la colonne vertébrale se déchire ou se rompt. La partie interne, molle et gélatineuse, du disque peut sortir de la capsule (faire une hernie). Le vieillissement, les blessures et le surpoids peuvent entraîner une hernie discale.
Une hernie survient quand un disque se déplace et compresse une ou plusieurs racines de nerfs. En général, les hernies se situent au cou ou au bas du dos.
En cas de hernie discale non traitée, il peut y avoir des complications. En effet, il existe de rares cas où la hernie peut engendrer une paralysie d'une partie des membres inférieurs. Il est donc indispensable de consulter son médecin dès l'apparition des douleurs ou d'une perte sensibilité liée à la hernie discale.
Le traitement classique repose sur des médicaments voire des infiltrations pour soulager la douleur - et du repos. Certains nouveaux traitements ont vu le jour comme les injections de Discogel® ou d'ozone. L'intervention chirurgicale est réservée aux cas les plus graves.
L'opération de la hernie discale est proposée seulement lorsque la hernie comprime une racine nerveuse, provoquant une sciatique, et que le traitement médical composé d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires, de décontractants musculaires et d'infiltrations, ne soulage pas la douleur.
Comment traiter une hernie discale ? En première intention, le traitement repose sur la prise de médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires ainsi que le suivi de conseils de posture, accompagnés ou non de physiothérapie. Dans les cas les plus tenaces, une infiltration de corticoïdes peut être proposée.
Examen(s) d'imagerie
La radiographie du rachis lombaire peut être normale ou mettre en évidence des signes de discopathie sous la forme d'une perte de la hauteur discale normale. L'IRM et le scanner du rachis lombaire permettent d'identifier la hernie, son coté, son niveau et d'évaluer son volume.
Le sport à faible impact tels que la natation, le vélo et la marche peuvent être plus appropriés pour les personnes atteintes de hernie discale lombaire. Il est également important de porter une attention particulière à la position et à la posture pendant toute activité physique pour éviter d'aggraver la douleur.
La chirurgie : l'intervention chirurgicale est parfois la seule solution pour soigner une hernie discale. Cette opération permet de retirer la hernie discale et de réduire la pression sur le nerf.
Pilates pour des muscles profonds solides
La lenteur d'exécution et la justesse du mouvement demandées, font de cette discipline un très bon moyen de bouger lorsqu'on souffre de hernie discale. Vous gagnez de la force musculaire tout en douceur.
Si l'examen confirme la présence d'une hernie inguinale, votre médecin traitant vous adresse à un chirurgien digestif : si la hernie ne cause pas de symptômes ou s'ils sont minimes, le chirurgien peut, dans certains cas, recommander une simple surveillance.
La hernie discale est une affection qui touche la colonne vertébrale. Particulièrement douloureuse, elle se soigne par du repos, des antidouleurs et de la kinésithérapie qui vous permet de retrouver votre mobilité.
Tant qu'une hernie inguinale reste asymptomatique, il est tout à fait possible de vivre avec une hernie. En effet, le risque d'étranglement dans le cas d'une hernie inguinale totalement asymptomatique est extrêmement faible.
Ensuite on rapporte cette sciatique, cette douleur à un phénomène. Et dans 95% de cas, ce phénomène est une hernie discale. "La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Le principal symptôme de la hernie discale est la douleur, au niveau du cou, d'un bras, du bas du dos ou d'une jambe. Lorsque le disque vertébral est endommagé, une inflammation s'installe dans la zone qui l'entoure. Cette inflammation se traduit par des douleurs, souvent peu intenses.
Vous pourrez prendre des antalgiques si les douleurs, principalement lombaires, persistent. La deuxième semaine, vous pourrez reprendre vos activités habituelles en évitant les travaux de bricolage, jardinage, ménage ainsi que les marches trop prolongées. Evitez de rester immobile.
Un interrogatoire et un examen clinique suffisent le plus souvent au médecin pour établir un diagnostic et choisir un traitement adapté.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
Pour traiter la douleur, on prescrit du paracétamol, puis la morphine qui est le niveau supérieur. On utilise également les anti-inflammatoires et les corticoïdes. Les anti-inflammatoires ont pour but d'agir autour du nerf dans la zone enflammée qui comprimait la racine.
La position assise conventionnelle est interdite pendant 15 jours en cas de hernie discale L5S1, mais vous pourrez vous asseoir en gardant une cuisse dans le prolongement du buste.
Pour favoriser cette activité des muscles, il est conseillé de consulter les chaussures Joya avec leur semelle unique, constituée d'un matériau souple et élastique.