Ainsi, de nombreux animaux peuvent entendre les ultrasons, comme les chiens avec qui l'on peut utiliser des sifflets à ultrasons ou les chauves-souris. L'animal pouvant entendre les fréquences les plus élevées est de dauphin dont la perception peut aller jusqu'à 200000 Hz.
Les infrasons jouent un rôle dans la communication chez certains mammifères tels que les éléphants, les baleines, les dauphins (9 Hz chez certaines espèces), les furets (16 Hz ) les okapis et peut-être les girafes ou le furet voire certains poissons (le Poisson rouge les perçoit un peu sous les 20 Hz).
Certains peuvent en émettre : les chauve-souris émettent des ultrasons qui se répercutent sur les objets environnants, ce qui leur permet ainsi de percevoir leur environnement (voir écholocalisation). Les souriceaux perçoivent des ultrasons émis par leur mère allaitante.
Plus surprenant : on sait depuis le début des années 1980 que les éléphants sont également capables d'entendre et d'émettre des infrasons (moins de 20 Hz) que nos oreilles ne perçoivent pas. L'avantage est évident, ces animaux intelligents peuvent communiquer entre eux, discrètement, jusqu'à plus de 10 km de distance.
Qu'entendent les autres êtres vivants? Il existe bien des sons et des bruits qui ne peuvent être perçus par l'oreille humaine. Nos oreilles ne peuvent pas percevoir les sons très graves, situés dans la plage des infrasons, ni les sons particulièrement aigus des ultrasons – certains animaux par contre en sont capables.
Nausées, étourdissements, fatigue, maux de tête, vertiges, pertes d'équilibre, et pression dans les oreilles, sont les symptômes évoqués par des sujets fréquentant des lieux à forte exposition aux ultrasons.
En général, il est relativement aisé de se protéger des sons aigus (hautes fréquences) Il suffit d'utiliser un casque antibruit passif, d'installer convenablement des matériaux acoustiques absorbants ou de simplement se boucher les oreilles !
Lorsque la fréquence est perceptible par l'homme, on parle tout simplement d'un son. L'ultrason est très utilisé pour chasser des animaux nuisibles comme les rongeurs, moustiques ou encore lapin et renard.
Certaines gammes d'ultrasons peuvent être entendues et utilisées pour communiquer par de nombreux animaux vertébrés terrestres, comme les chiens, certains rongeurs, les chauves-souris ou les dauphins.
L'homme ne peut percevoir les ondes acoustiques que dans une limite de fréquence et de pression donnée. La pression acoustique minimale que l'oreille peut capter est appelée seuil acoustique et est dépendante de la fréquence. La différence de volume n'est pas expérimentée de manière linéaire par l'ouïe humaine.
L'écholocalisation : le sonar de la nature ? L'écholocalisation est aussi un procédé utilisé par certains cétacés, en particulier les odontocètes (cétacés à dents tels que les bélugas, cachalots, orques, dauphins).
Les animaux utilisent les ultrasons sous forme de sonar. Ils les utilisent pour se repérer, se nourrir et communiquer. La chauve-souris se sert de l'écholocation pour se repérer dans l'obscurité totale et pour repérer sa proie. La chauve-souris émet des impulsions à haute fréquence.
Si le bruit audible est une préoccupation majeure de santé au travail, l'exposition assez intense et répétitive à des infrasons peut avoir aussi avoir des répercussions néfastes sur la santé (inconfort, fatigue, irritabilité, céphalées, vertiges, nausées …).
Parmi les fréquences émises certaines sont audibles, d'autres non. L'oreille humaine, de part sa structure, permet d'entendre des fréquences comprises entre 20Hz et 20'000Hz (correspondant à 20 et 20'000 oscillations par seconde).
Les éléphants sont capables de cette prouesse. Alors que l'oreille humaine est capable de percevoir des sons situés dans l'espace de 20 Hz à 20 KHz, les pachydermes, eux, entendent les infrasons. Autrement dit la gamme des sons très graves situés entre 0 et 16-20 Hz.
Après une recherche assidue auprès de spécialistes nationaux des chauves-souris, il apparaît qu'il n'existe pas de nom spécifique pour ces petits. On les nomme "jeunes" ou "juvéniles" pour les distinguer des adultes, mais sans plus.
Elles cherchent de la nourriture entre mars et octobre : lorsque les températures grimpent, votre domicile se transforme en véritable garde-manger avec toute une flopée d'insectes qui se baladent. Les chauves-souris partent donc en chasse dans la maison.
Parmi toutes les différentes manières de se débarrasser des rats ou des souris, les répulsifs à ultrasons font partie de celles qui sont respectueuses de l'environnement, mais aussi des animaux, car elles éloignent les souris de votre habitation sans leur causer de mal.
Un répulsif à ultrasons produit des sons dont la fréquence est très élevée : plus de 20 000 hertz. Si l'oreille humaine n'est pas capable de distinguer ces sons, de nombreux animaux l'entendent. C'est notamment le cas du chat, qui distingue ces sons, et qui ne les aime pas !
Nos animaux domestiques ont une ouïe bien plus développée que la nôtre. Mais il existe dans la nature des animaux sauvages dont l'acuité auditive dépasse de loin la nôtre : la chauve-souris et la fausse teigne.
Les ultrasons ne présentent pas de danger pour le chien. Ils peuvent générer une gêne, mais pas de douleur. L'animal ne souffre pas, au contraire des colliers électriques. Toutefois, cette méthode de dressage n'est pas celle à privilégier pour l'équilibre du chien.
Les détecteurs de proximité à ultrasons représentent la manière la plus simple de détecter des objets par ultrasons. L'émetteur et le récepteur sont intégrés dans un boîtier. Les ultrasons sont directement réfléchis vers le récepteur par l'objet détecté.
Les appareils ou applications qui émettent des ultrasons seraient eux aussi "à ne surtout pas utiliser", les moustiques n'étant tout simplement pas sensibles à ces fréquences sonores.