Le budget nécessaire pour ouvrir un magasin de fleurs est en réalité très variable (de 10 000 € à 150000 € voire plus), en fonction du lieu d'implantation ou de l'ampleur des travaux à effectuer. Dans tous les cas, s'installer fleuriste sans apport est peu réaliste.
On peut donc estimer, selon les cas, un chiffre d'affaires compris entre 30 000€ et 120 000€, généré au bout de la première année d'activité. Souvent, le chiffre d'affaires moyen d'un petit magasin de fleurs sans employé en rythme de croisière tourne autour de 90 000€/an.
Selon l'INSEE, le taux de marge des fleuristes était de 44%. La Fédération des Fleuristes (FFAF) indique une marge commerciale brute de 55%. Les achats doivent donc représenter entre 45% et 56% du chiffre d'affaires pour que l'activité soit rentable.
Il est possible de devenir fleuriste sans diplôme.
Il est donc possible de devenir fleuriste à 30 ans ou à 40 ans en reconversion. Ce qui importe, en plus de votre intérêt pour le métier, c'est vos connaissances en botanique.
Un profil de clientèle large pour les fleuristes
Les accros sont plus particulièrement des femmes (35% d'entre elles), de plus de 55 ans (42%), propriétaires de 3 animaux ou plus (40%). Ces clients accros fréquentent les fleuristes et les autres réseaux (37%), ils sont mariés (32%) ou veufs (48%).
Le CAP Fleuriste est le diplôme le plus adapté pour se former au métier de fleuriste dans le cadre d'une reconversion professionnelle ou par la voie de la formation initiale à la sortie de 3e.
En effet, il faut tout faire dans le cadre de la loi pour créer son commerce ambulant. Certaines démarches administratives sont à suivre pour être en règle avec le RCS, obtenir une assurance auprès de la CFE et avoir une autorisation d'activité non-sédentaire de l'URSSAF.
Exemple : Chez un fleuriste, le prix d'un bouquet de roses est proportionnel au nombre de fleurs qui le composent. Un bouquet de 3 roses coûtent 4,5 €. 1,5 est le coefficient de proportionnalité. Ce nombre est le prix d'une rose.
Si vous êtes un fleuriste traditionnel, la valeur de votre boutique se situe généralement entre 50 et 90 % de votre chiffre d'affaires TTC par an. En revanche, si vous êtes un fleuriste en libre-service, la valeur de votre boutique se fixe entre 25 et 60 % de votre chiffre d'affaires TTC annuel.
Choisir son statut juridique pour exercer le métier de fleuriste. Deux options s'offrent à vous : être micro-entrepreneur (anciennement auto-entrepreneur) si vous vous lancer seul, ou créer une société (SAS ou SARL).
Aucun diplôme n'est nécessaire pour ouvrir une jardinerie, mais il est recommandé d'avoir suivi une formation technique appropriée, telle qu'un Capa ou Bepa productions horticoles ou vente de produits horticoles et jardineries.
Le moyen le plus facile pour gagner en visibilité sur Internet consiste à s'inscrire sur une plateforme spécialisée telle que By Flox. Si vous êtes fleuriste à Angers, la plateforme vous offre la possibilité de vous référencer sur le marché local.
Quels sont les avantages et les inconvénients de votre métier ? Avantage(s) : le fait d'être indépendant, d'être son propre patron, d'organiser sa journée et ses horaires comme on le souhaite tout en respectant des heures d'ouverture pour la clientèle.
Les Pays-Bas, premier producteur mondial, poursuit sa tradition (la tulipe et la tulipomanie), avec entreprises spécialisées, recherche & développement, serres, et travailleurs immigrés. La Colombie, l'Équateur et le Kenya ont été les premiers pays de délocalisation forte de la production hollandaise et européenne.
cours de perfectionnement organisés par les organisations du monde du travail (styles en confection florale, formes et couleurs, art floral, etc.); brevet fédéral de fleuriste, 1 an en emploi, divers lieux de Suisse alémanique (enseignement en allemand); diplôme fédéral de fleuriste, formation en emploi, Wangen b.
0 % pour un fonds de commerce dont le coût est inférieur ou égal à 23 000 € ; 1 % pour un fonds de commerce dont le coût est compris entre 23 000 et 107 000 € ; 3 % pour un fonds de commerce dont le coût est compris entre 107 000 et 200 000 € ; 5 % pour un fonds de commerce dont le coût est supérieur à 200 000 €.
Des avocats, huissiers et juristes spécialisés peuvent vous aider à estimer la valeur de votre activité pour vous aider à vendre votre fonds de commerce à un bon prix.