Vous voulez devenir chauffeur de taxi ? Il est indispensable d'avoir votre permis de conduire, une attestation médicale, une formation aux 1ers secours et un casier judiciaire vierge. Vous devez réussir un examen, le certificat de capacité professionnelle (CCPCT), puis demander une carte professionnelle.
Afin d'être chauffeur de taxi, il est nécessaire de posséder le permis de conduire B depuis au moins 3 ans, pouvoir justifier d'une attestation de « prévention et secours civiques de niveau 1 » (PSC1) et obtenir le certificat de capacité professionnelle de conducteur de taxi (CCPCT) délivré par la préfecture.
S'il n'a jamais exercé d'activité de chauffeur de quelque nature que ce soit auparavant, il doit également suivre une formation professionnelle d'au moins 250 heures. Une fois ces conditions réunies, il peut demander sa carte professionnelle, délivrée par le préfet et obligatoire pour exercer son activité.
En tant que salarié un « taxi » peut envisager, en ville, un salaire moyen autour de 1 600/1 700 € par mois. En tant qu'artisan certains avancent des revenus possibles de l'ordre de 3 000/3 200 € mensuels.
Pour être chauffeur de taxi, il faut bien entendu être détenteur du permis B. La circulation routière dans les grandes villes peut être stressante : le chauffeur de taxi doit rester calme, même lorsqu'il conduit dans des conditions difficiles (embouteillages, clients pressés, saouls ou agressifs...).
En ce qui concerne le salaire, un chauffeur de taxi travaillant à temps plein gagne en moyenne 2 220 € net par mois en 2018, soit 34 154 € bruts par an. Les conductrices de taxi perçoivent en moyenne 1 941 € net par mois alors que les hommes touchent 2 269 € net par mois.
L'épreuve d'admission consiste en une mise en situation pratique de réalisation, selon l'examen auquel le candidat postule (taxi ou vtc) d'une durée minimum de 20 minutes, notée sur 20 points. Est déclaré reçu à l'examen le candidat qui a obtenu une note d'au moins 12/20 à l'épreuve pratique.
Selon une enquête menée par le Figaro, un chauffeur de VTC salarié gagne entre 1 800 et 2 000 euros par mois, et jusqu'à 3 000 euros mensuels pour l'auto entrepreneur. Quant au conducteur de Taxi, les employés des compagnies connus gagnent entre 1 600 et 1 700 euros par mois.
Votre demande de carte professionnelle de taxi est à envoyer par la poste à la préfecture de l'Eure : Dans le cadre d'une réussite à l'examen, la personne fournira l'attestation de réussite à l'examen de chauffeur de TAXI délivrée par la chambre des métiers et de l'artisanat où elle a passé ses épreuves.
L'artisan-taxi propriétaire de la licence du véhicule a à sa charge tous les frais inhérents à sa voiture (assurances, réparations, carburant). Il peut également opter pour la location du véhicule. Il a alors à sa charge la location du véhicule et le carburant.
Le centre de formation FNTI vous propose une série de livrets, vous permettant de préparer l'examen de la Capacité Professionnelle de conducteur de taxi (CCPCT) en candidat libre. Ces livrets de cours et d'exercices sont les mêmes que nous utilisons lors des formations en présentiel.
Le VSL dispose à son bord des équipements de premier secours, et est soumis à des règles d'hygiène strictes. Le taxi conventionné bénéficie d'une convention auprès de la CPAM*, ce qui le différencie des taxis traditionnels.
Pour un salarié en compagnie de transport, le salaire est fixe mais celui-ci est plafonné en fonction de l'expérience, de l'ancienneté et les heures travaillées. En moyenne, le salaire mensuel se situe entre 1800€ et 2500€.
La licence de taxi, aussi appelée autorisation de stationnement (ADS), est obligatoire pour pouvoir transporter des particuliers. Vous pouvez l'obtenir de 3 façons différentes : En la demandant à votre mairie gratuitement : elle doit être renouvelée tous les ans, durant toute la période de la liste d'attente.
Le salaire moyen d'un ambulancier est d'environ 1 800 euros bruts par mois. Cela correspond à un salaire net de 1 400 euros, pour un taux horaire brut de près de 12 euros.
Être titulaire du Certificat de Capacité Professionnelle qui permet d'exercer la profession de chauffeur de taxi, après avoir passer une visite médicale et d'aptitude physique. Une fois ces conditions remplies, vous pouvez prospecter pour l'achat de votre licence dans le lieu de votre choix.
Pour acheter une licence, il faut que le taxi aille directement en maire ou préfecture de police pour faire la demande. Puis, grâce à son certificat de capacité professionnelle, il pourra valider la demande et entrer dans la liste d'attente.
Aussi appelée autorisation de stationnement, c'est un document nécessaire pour exercer votre métier en toute légalité. La licence vous permet en outre de pouvoir stationner dans les emplacements réservés aux taxis. Elle vous servira donc à pouvoir attendre vos clients dans des lieux fréquentés.
Uber, anciennement UberCab, est une entreprise technologique américaine qui développe et exploite des applications mobiles de mise en contact d'utilisateurs avec des conducteurs réalisant des services de transport. L'entreprise est basée dans la ville californienne de San Francisco, aux États-Unis.
Les sources administratives font état d'un chiffre d'affaires moyen de 60.000 euros. "Notre enquête permet de réévaluer ce chiffre d'affaires à 72.000 €. Cependant, face aux charges qu'ils supportent, le revenu annuel d'un taxi ne dépasse pas les 42.000 € ", note 6-t.
Vous voulez devenir conducteur de VTC (voiture de transport avec chauffeur) ? Pour cela, vous devez remplir des conditions (permis depuis 3 ans, casier judiciaire vierge), réussir un examen, avoir la carte professionnelle VTC, vous inscrire au registre des VTC.
Devenir chauffeur Uber requiert de passer par 4 grandes étapes : Obtenir la carte professionnelle VTC et s'inscrire au registre VTC. Créer une société et l'immatriculer à la Chambre des Métiers. Faire homologuer son véhicule par Uber – si vous n'avez pas de voiture, il est possible d'en louer une.
2- Les conditions essentielles pour devenir chauffeur privé
être titulaire du permis de conduire depuis au moins 2 ans hors période probatoire (jeunes conducteurs), passer l'examen organisé par la Chambre des Métiers et de l'Artisanat (CMA).