Commentaires. Ses yeux globuleux surmontant son nez crochu et dégoulinant lui donnaient un air terrifiant. Son immense bouche tordue bavait et dégoulinait. Ses dents noircies, cariées, sens dessus dessous rappelaient une grotte sans fin et sans fond.
2. Comment l'ogre est-il présenté? Son portrait physique : C'est souvent un homme fort, grand (taille hors du commun), parfois bedonnant, pouvu de mâchoires effrayantes avec des dents acérées. Parfois c'est une femme ( La belle au bois dormant) ou les enfants du couple (Le petit Poucet).
– Quel personnage parle ? (identifier les différentes parties dialoguées) – Quelle est la ruse du petit Poucet ? L'adulte est le narrateur, l'enfant est l'Ogre.
La ruse du Petit Poucet
Dans un conte merveilleux, tout finit bien. Les enfants ne sont donc pas mangés par l'ogre. Ils sont sauvés grâce à la ruse de Poucet qui réussit à tromper l'ogre pendant la nuit : il lui fait croire qu'il réussit à assassiner les sept garçons, alors qu'en fait l'ogre tue ses sept filles.
Dans le conte du Petit Poucet de Charles Perrault, les bottes de sept lieues sont des chausses magiques qui s'adaptent à la taille de celui qui les porte et permettent de parcourir sept lieues en une enjambée. Elles sont avant tout l'apanage de l'ogre dévoreur d'enfants à qui le Petit Poucet les subtilise.
Le titre est "le Petit Poucet". L'auteur est (Charles) Perrault. Il s'appelle ainsi car il n'est pas plus grand qu'un pouce.
La Guerre : montre que c'est l'élément perturbateur du conte.
- famille des Dévorants : souvent barbu, velu, à rouge tignasse, bouche immense, mâchoire impressionnante, mains massives, stature gigantesque et trapue, grande force, odorat très développé : Ca sent la chair fraîche ! , énorme appétit… - dévore de préférence " les petits enfants ". Il est cannibale et non carnivore.
au personnage principal (un enfant de très petite taille) d'un conte de Ch. Perrault intitulé Le Petit Poucet] Enfant (très) jeune et/ou de petite taille.
Il y définit l'ogre ainsi: « Homme sauvage qui mange les petits enfants ». Les ogres sont généralement dépeints comme des brutes géantes, hirsutes, inintelligentes et cruelles. Ils dévorent les enfants après les avoir au préalable cuisinés avec un certain raffinement.
C'est l'histoire d'un couple de bucherons si pauvres qu'ils ne peuvent nourrir leurs sept fils. Ils décident de les abandonner en forêt. Les garçons rencontrent bientôt un ogre dévoreur d'enfants. Mais grâce au plus petit d'entre eux, si petit qu'on le nomme le Petit Poucet, ils réussissent à se sauver.
Les péripéties qui font progresser l'action : le Petit Poucet a semé des cailloux blancs derrière lui. Les enfants sont entrés dans la maison de l'ogre qui voulait les manger mais il se trompe et il mange ses propres enfants. L'élément de résolution : Le petit poucet invente une histoire pour prendre l'or de l'ogre.
« Il était une fois » est une expression qui, dans la tradition populaire, introduit un conte. Elle renvoie à un passé ancien non défini et à l'univers du merveilleux.
La plupart des récits obéissent à une structure type qui comprend : une situation initiale, un événement perturbateur, des péripéties et une situation finale.
« … le Petit Poucet suivit les cailloux blancs qu'il avait semés sur le chemin et il ramena ses frères chez eux. » Pourquoi le Petit Poucet ne retrouve-t-il pas son chemin la deuxième fois ? « Mais les miettes avaient disparu : les oiseaux étaient venus, qui avaient tout mangé ! »
Il était fort petit, et quand il vint au monde, il n'était guère plus gros que le pouce, ce qui fit que l'on l'appela le petit Poucet. Ce pauvre enfant était le souffre-douleur de la maison, et on lui donnait toujours le tort.
Donc, il était une fois, des parents qui avaient trop d'enfants et ils ne pouvaient pas les nourrir car ils étaient très pauvres. Ils habitaient dans une petite chaumière au milieu des bois, ou plutôt son équivalent au XX e siècle, un squat dans une cité HLM du 93.
Dans un récit, la situation finale est la situation à la clôture du récit (retour à la normale). C'est souvent la cinquième et dernière étape du schéma narratif.
Le schéma narratif d'un récit est le déroulement de ce récit et des actions qu'il raconte. On parle de schéma narratif pour les histoires telles que les contes ainsi que les romans.
Le sens moral des contes. Les contes merveilleux opposent les forces du bien à celles du mal. La victoire du bien fait de ces récits des exemples, ils ont une valeur éducative et donnent des conseils de vie. Les contes proposent aussi parfois des explications du monde et des phénomènes naturels.
4) Le dénouement : C'est le dernier événement qui met fin aux péripéties. 5) La situation finale : c'est la fin de l'histoire.
Qu'est-ce qu'un conte ? Le conte est un texte narratif : il raconte une histoire imaginaire très loin du monde réel, peuplée de merveilleux, d'étrange et de surnaturel. Le personnage principal est le héros ou l'héroïne dont on va suivre les aventures.
Le conte en tant que genre littéraire écrit naît au XVI e siècle avec Straparole et Basile qui s'inspireront en partie de la tradition orale quand ils composeront, l'un les Nuits Facétieuse, l'autre le Conte des Contes, le Decameron ayant été au XIV un recueil de nouvelles et non de contes.