Entrée et sortie de l'abri rue Katarinavägen à Stockholm. L'abri de Katarinaberget (suédois : Katarinabergets skyddsrum) est un abri antiatomique situé sous la colline Katarina (suédois : Katarinaberget) dans le centre de Stockholm en Suède.
Mettez-vous à l'abri dans un bâtiment en dur, fermez portes et fenêtres et coupez la ventilation. Si vous êtes dans un véhicule, gagner un abri (immeuble, logement..) le plus rapidement possible. Un véhicule n'est pas une bonne protection.
Quelle profondeur pour son bunker dans son jardin
Un bunker situé à 1 ou 2 m sous terre et enveloppé dans 30 à 40 cm suffit pour résister au souffle d'une explosion ou à des radiations. S'ils sont construits entre 7 à 15 m et entourés d'1 m de béton, ils sont encore plus résistants à une explosion atomique.
Ils seraient accessibles par des galeries situées sous le bâtiment. L'Elysée dispose aussi d'un abri de 250 m2 sous le palais. Sur la côte normande, des bunkers permettraient aussi de s'abriter mais pas de résister à une attaque nucléaire, tout comme les catacombes de Paris.
La France compte aujourd'hui environ 400 bunkers privés, un chiffre loin d'égaler celui de l'Allemagne, de la Norvège ou encore de la Suisse. Et ce, malgré les 56 réacteurs nucléaires que compte aujourd'hui la France.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
Choisissez des endroits sûrs où tous les membres de votre famille se rassembleront en cas d'évacuation d'urgence du domicile. Le lieu peut être proche de votre maison si la famille s'y trouve au moment de l'événement, mais il peut utilement se situer ailleurs si la famille se trouve dispersée.
Plus puissant que l'américain « Trinity » (19 kt ), le soviétique « RDS-1 » (22 kt ), le britannique « Hurricane » (25 kt ) ou le pakistanais « Chagai-I » (40 kt ). D'une masse totale semblable à celle de la bombe Fat Man larguée sur Nagasaki, Gerboise bleue a libéré une puissance trois fois supérieure.
Il doit être possible d'abattre un missile nucléaire avant qu'il n'incinère Berlin. Oui, à la rigueur, on peut en intercepter un seul, mais s'il y en a une ou plusieurs dizaines en route, il n'y a malheureusement pas de riposte possible.
Il existe différents moyens de se protéger des retombées radioactives : masque à gaz et combinaison NBC (en cas de faibles radiations) ou abri anti-atomique, mais la plus efficace reste l'évacuation.
Un abri antiatomique est destiné à protéger ses occupants des effets mécaniques et thermiques d'une explosion nucléaire (ou d'un accident nucléaire), ainsi que des retombées radioactives, en leur permettant de survivre un certain temps jugé suffisant pour pouvoir en sortir sans danger.
Les destructions de bâtiments d'habitation sont dues en grande partie au souffle des explosions. Les habitants sont vivement encouragés à respecter les alertes et à se réfugier dès que possible dans leur cave ou dans la tranchée qu'ils ont pu creuser dans leur jardin.
La Russie et les États-Unis restent toutefois loin devant, puisqu'ils détiennent toujours environ 90 % des armes nucléaires de la planète.
Éloigner tant que possible les personnes de la source des rayonnements : l'intensité des rayonnements ionisants diminue avec le carré de la distance. Diminuer au maximum la durée d'exposition aux rayonnements. Placer entre la source et les personnes exposées un ou plusieurs écrans/blindages de protection.
Le ministre de la Défense, Pierre Messmer, connaît le code, et le transmet au président et au premier ministre sous enveloppe. Le code est écrit sur un petit carton blanc placé dans un médaillon attaché à une chaîne en or, appelée « le collier ».
Ce projet, appelé « European Sky Shield » [bouclier anti-aérien européen] réunit donc, outre l'Allemagne, le Royaume-Uni, la Slovaquie, la Norvège, la Lettonie, l'Estonie, la Hongrie, la Bulgarie, la Belgique, la République tchèque, la Lituanie, les Pays-Bas, la Roumanie et la Slovénie.
La France a lancé, dès 1999, le programme Famille de missiles sol-air futurs (FSAF) pour faire face à cette multiplicité des menaces. Il a notamment donné naissance au missile ASTER 30, protégeant aujourd'hui les frégates françaises contre les menaces aérobies (y compris certains types de missiles).
Une carte sur laquelle il était indiqué que les nouveaux missiles intercontinentaux russes Sarmat, capables de transporter jusqu'à dix têtes nucléaires, peuvent atteindre Berlin "en 106 secondes", Paris "en 200 secondes" et Londres "en 202 secondes". Des missiles toutefois encore en phase de test.
Seul le président de la République peut déclencher le feu nucléaire. Des procédures existent pour garantir qu'il pourrait le faire à tout moment – et qu'il serait le seul à pouvoir le faire.
La France "n'est pas en guerre contre la Russie" et veut "rester en contact" avec Poutine pour Macron. Le président a expliqué qu'il avait "choisi de rester" en liaison avec le dirigeant russe pendant le conflit avec l'Ukraine.
L'Ukraine n'est pas membre de l'OTAN. L'Ukraine est un pays partenaire de l'OTAN, ce qui signifie qu'elle coopère étroitement avec l'OTAN mais qu'elle n'est pas couverte par la garantie de sécurité prévue dans le traité fondateur de l'Alliance.