Le but de la thérapie basée sur cette approche est d'aider la personne à prendre conscience de l'influence de ceux-ci sur ses émotions et comportements. Par la suite, avec l'aide du professionnel, la personne apprend à modifier ses pensées, à adopter d'autres comportements.
Le cognitivisme s'emploie à améliorer les capacités de compréhension, de réflexion, d'intégration et de traitement de l'information chez les apprenants adultes. Ainsi, de nouvelles connaissances viennent s'ajouter aux connaissances préexistantes dans la mémoire des apprenants grâce à cette perspective.
Le cognitivisme succède au néo-béhaviorisme (au moins chronologiquement), en s'y opposant. En effet, il part du principe que des facteurs internes à l'individu sont en cause dans l'apprentissage. Il revendique l'accès à des processus cognitifs internes.
Elle peut aussi automatiser les connaissances ou procédures apprises. Par automatiser, on veut dire que l'utilisation de celles-ci demande de moins en moins de mémoire de travail. Par exemple, à force de pratique, l'élève devient de plus en plus rapide pour appliquer un algorithme quelconque.
La psychologie cognitive part du principe que l'on peut, à partir de l'étude du comportement, en inférer des représentations, ainsi que des structures et des processus mentaux. Contrairement au béhaviorisme, elle défend la thèse que la psychologie est bien l'étude du mental et non du comportement.
Abordé sous l'angle cognitif, le processus d'apprentissage comporte trois phases distinctes, mais interdépendantes : l'acquisition, la rétention, le transfert, auxquelles s'ajoute le développement de la métacognition.
Quels sont les avantages et limites du cognitivisme ? Les théories cognitivistes permettent notamment de créer des modèles d'apprentissage afin de rendre l'assimilation des connaissances plus aisée. Un de ses principaux champs d'application est le domaine des sciences de l'éducation.
L'idée centrale de la théorie est que le contenu de pensée d'un sujet influence son humeur.
Applications multiples, difficultés par rapports aux processus implicites ; Pédagogie instructionniste ; Pédagogie constructionniste ; Théorie Multimédia ; Cartographie Conceptuelle. Cartographie conceptuelle ; pédagogie hybride ; intégration de la technologie dans les pratiques éducatives.
Les jeux de société, le bricolage, la pratique d'un art, l'apprentissage d'une langue, la navigation sur internet, la lecture, l'écriture, sont donc de bons choix. Il y aurait un bénéfice à varier les types d'activités afin de recruter l'ensemble des fonctions cognitives telles que la mémoire et l'attention.
des jeux comme des mots croisés ou des jeux de mémoire sont efficaces pour activer la fonction cognitive de la mémoire et le processus de réflexion de la personne.
Il devra l'inciter à investir dans son erreur, à comprendre le lieu et le pourquoi de celle-ci, à retrouver sa source. Il n'est en tout cas pas question de donner la bonne réponse, car l'apprenant risquerait de répondre par modélisation en s'appuyant sur une mémorisation de celle-ci.
Rosch, l'hypothèse de base du cognitivisme est que « l'intelligence – humaine comprise – ressemble tellement à la computation dans ses caractéristiques essentielles que la cognition peut en fait se définir par des computations sur des représentations symboliques […].
Le rôle de l'enseignant dans le cognitivisme
Ils peuvent créer un environnement de classe paisible et informatif. Cela aide les élèves à se sentir en confiance pour apprendre. Par ailleurs, ils contribuent à créer un environnement qui s'appuie sur des pensées positives pouvant conduire à un meilleur apprentissage.
Les TCC sont pratiquées par des psychiatres et des psychologues formés spécifiquement. Mais certaines personnes n'ayant pas de formation sérieuse proposent également des séances en TCC. Il faut donc rester prudent dans le choix de son thérapeute.
Les professionnels exerçant les TCC sont principalement: psychologues. psychiatres. psychothérapeutes.
Cette démarche possède également ses limites. Il existe des phénomènes comme les émotions ou encore le traitement premier de stimuli sensori-moteurs qui seront difficilement explicables en termes de structures symboliques.
apprendre c'est transmettre des savoirs, en renforçant des comportements (le béhaviorisme); apprendre c'est traiter de l'information, par les mécanismes mentaux internes constitutifs de la pensée et de l'action (le cognitivisme).
Le représentant le plus célèbre de ce courant est Jean Piaget (psychologue et pédagogue). Il a développé les théories dites constructivistes à partir de 1925. Ses travaux portent essentiellement sur la construction des connaissances au cours du développement biologique de l'homme.
La théorie socio cognitive (Bandura, 1986) s'appuie sur le concept d'agentivité pour décrire la capacité des individus à exercer intentionnellement une influence sur le cours de leur vie et de leurs actions (Carré, 2004).
Appliqué à la pédagogie, le behaviorisme considère qu'apprendre consiste à transmettre des savoirs, en renforçant des comportements via des stimulis positifs (récompenses) ou négatifs (punitions) qui vont conditionner l'apprenant à donner de bonnes réponses.