En islam, le mariage n'est pas une finalité en soi mais un moyen pour fonder la famille sur des bases saines. La famille est, en effet, le premier pilier d'une société, tant et si bien que ce pilier doit être fondé sur des relations solides. La maternité est, de ce fait, le ciment qui renforce la famille.
Le mariage marque une étape importante dans la vie du couple. En plus de permettre un engagement éternel, le mariage offre un cadre propice à l'arrivée d'un enfant. Entre stabilité, amour et responsabilité, les deux parties seront plus aptes à accueillir un enfant.
Premier atout : l'avantage social
L'un des atouts du mariage est que l'époux qui n'est pas couvert à titre personnel peut bénéficier de la qualité d'ayant-droit au titre de son conjoint et donc bénéficier de sa couverture sociale : assurance malade ; assurance maternité.
Historiquement, les relations sexuelles avant le mariage étaient considérées comme un problème moral, tabou dans de nombreuses cultures et considérées comme un péché par le judaïsme, le christianisme et l'islam ; mais depuis les années 1960, elles sont plus largement acceptées, notamment dans les pays occidentaux.
Ce qui n'exclut pas l'amour entre les mariés : la sourate XXX, 21 explique ainsi que le mariage est l'un des signes de la sollicitude de Allah pour l'humanité et que Allah "a mis l'amour et la bonté" entre le mari et l'épouse.
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Le mariage musulman est un contrat passé librement entre un homme et une femme qui s'engagent à s'apporter amour et protection. Il est fondé, selon le Coran, sur “ l'amour et la compassion que Dieu a infusé dans le cœur de l'homme et de la femme afin qu'ils forment un couple ”.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
Le mariage musulman (Nikâh) ne ressemble ni au mariage chrétien, ni au mariage juif, ni au mariage civil. En effet, même s'il est évidemment possible qu'il soit célébré par un imam et qu'une demande de bénédiction ait lieu, rien de tout cela n'est « obligatoire ».
La cérémonie doit se dérouler devant deux témoins au minimum. Parmi eux, des hommes obligatoirement, on comptera le père ou le frère de la mariée. La cérémonie dure une trentaine de minutes et peut se dérouler dans divers endroits : A la mairie, à la mosquée, au futur domicile du couple ou bien celui des parents.
époux n. Personne unie à une autre par le mariage. époux n.m. pl. Le mari et la femme ; conjoints.
La conclusion du mariage génère de nombreux effets notamment sur le nom de famille et le régime matrimonial des époux. La conclusion du mariage génère de nombreux effets. La principale conséquence de la célébration d'un mariage est la création de l'union conjugale.
Elle croit en vous plus que vous-même. Parce qu'elle sait ce qu'elle veut, elle vous motive dans toutes vos entreprises. Avec elle rien n'est impossible, elle vous fait savoir que tout est possible. Elle pense à l'avenir et veut l'affronter avec vous peu importe les difficultés de la vie.
Les valeurs du mariage, c'est l'amour, c'est la confiance, c'est surmonter les moments difficiles, ce n'est pas se promettre de s'aimer toujours, c'est se promettre de s'aimer chaque jour, jour après jour, c'est être libre d'être soi et d'être accepter comme tel, c'est être autant des amoureux, que des amis et amants, ...
Le b.a.-ba du mariage (2/7) – Les quatre piliers du mariage pour soutenir son amour. Nourrie par l'expérience, l'Église indique aux couples chrétiens quels sont les piliers essentiels d'une relation conjugale heureuse et solide : la liberté, la fécondité, l'indissolubilité, la fidélité.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Autrefois, la dot d'une femme était une affaire de famille ; elle était payée par son époux et sa famille. Le « prix de la mariée » n'était pas négocié : le marié et sa famille décidaient généralement du montant et des modalités de paiement au profit de la famille de la mariée. Mais les temps ont changé.
Le fatḥa (فتحة en arabe, littéralement « ouverture ») est un signe diacritique de l'écriture arabe indiquant la vocalisation brève [a] de la lettre qu'il modifie. Il est composé d'un trait placé au-dessus de la lettre.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.
Dans certains textes, le mot « adultère » désigne n'importe quelle relation sexuelle hors mariage (donc par exemple entre célibataires), cependant, en français, le terme consacré pour ceci fut fréquemment « fornication » (mot largement tombé en désuétude de nos jours).
Islam. Dans la législation islamique, l'usure est définie par le terme « Riba ». En arabe, le terme « ribâ an-nasî'ati » signifie le surplus exigé du débiteur par rapport au délai de remboursement qui lui a été accordé. Son usage est interdit aux musulmans.
Dans l'islam, pas d'âge limite, mais les choses évoluent
Il insiste sur les droits et les devoirs de chacun des conjoints et sur la nécessité de respecter la dignité de la femme. « À chaque devoir correspond un droit », affirme-t-il. Mais il rappelle que l'islam ne fixe pas d'âge légal du mariage.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
Pour ce qui est de l'organisation de la cérémonie du henné c'est à la charge de la famille de la jeune femme.