Un cancer du poumon fréquent
Les cancers du poumon stade III non opérables (où la totalité du cancer ne peut pas être enlevée par la chirurgie) représentent le tiers de tous les malades souffrant de cancer du poumon non à petites cellules.
Grâce à un meilleur dépistage et aux progrès réalisés dans les traitements combinés, près de 20% des patients atteints d'un cancer du poumon guérissent.
Taux de survie supérieur à 80 % : Cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, mélanome, leucémie lymphoïde chronique et maladie de Hodgkin : ces huit localisations ont des taux de survie après cinq ans supérieurs ou égaux à 80 %.
le cancer du poumon (1,80 million de décès) ; le cancer colorectal (916 000 décès) ; le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et.
Les cancers qui se soignent le mieux chez l'homme sont : les cancers de la prostate, le cancer du côlon, suivi des cancers ORL.
Le cancer du poumon à petites cellules est le type le plus agressif de cancer du poumon. Dans de nombreux cas, il s'est déjà propagé à d'autres parties du corps au moment où il est diagnostiqué.
La chirurgie, lorsqu'elle est possible, reste le principal traitement du cancer du poumon. Elle a pour objectif d'enlever la tumeur dans sa totalité. Pour y parvenir, les chirurgiens procèdent à l'ablation du ou des lobes atteints (lobectomie, bilobectomie) ou de la totalité du poumon (pneumectomie).
On peut ainsi diviser le stade 1A : Stade 1A1 – La tumeur au poumon mesure 1 cm ou moins. Stade 1A2 – La tumeur au poumon mesure plus de 1 cm mais pas plus de 2 cm. Stade 1A3 – La tumeur au poumon mesure plus de 2 cm mais pas plus de 3 cm.
Pour le stade limité du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 12 à 16 mois, avec traitement. Pour le stade étendu du cancer du poumon à petites cellules, la survie médiane est de 7 à 11 mois, avec traitement.
Bien qu'il soit encore mauvais pronostic, le cancer du poumon non à petites cellules peut toutefois être soigné lorsqu'il est diagnostiqué suffisamment tôt. Son stade d'évolution au moment de son diagnostic joue un rôle primordial dans sa prise en charge et dans le pronostic de chaque patient.
L'Hôpital Nord est reconnu meilleur hôpital de France dans le traitement des cancers des poumons et en pneumologie. Il se classe également troisième en matière d'urgence traumatologique. L'Hôpital de la Conception obtient la troisième place dans le traitement des cancers de la thyroïde et des maladies hormonales.
La chimiothérapie curative peut guérir totalement et définitivement certains cancers. Elle s'utilise seule ou en complément de la chirurgie, de la radiothérapie et/ou de l'hormonothérapie. À défaut de guérir totalement et définitivement un cancer, la chimiothérapie curative peut aussi induire une rémission.
Des douleurs au dos
La grande majorité des cancers peuvent se propager aux os. C'est le cas du cancer du poumon, qui lorsqu'il métastase au niveau des os, peut entraîner des douleurs osseuses particulièrement au niveau de la colonne vertébrale, des côtes, des bras et des jambes.
Le poumon droit est plus gros que le poumon gauche, pour deux raisons, qui dépendent toutes les deux l'une de l'autre : Le poumon droit possède trois lobes, comparé au poumon gauche qui en possède deux.
Les personnes concernées par un cancer du poumon ont la possibilité de renforcer leur bien-être de différentes manières : alimentation, exercice physique et relaxation sont des facteurs fondamentaux pour se sentir bien. Ils peuvent aussi avoir une action positive sur la santé et le psychique.
Dans la très grande majorité des cas, la chimiothérapie s'administre par perfusion (voie intra-veineuse). Ces perfusions sont habituellement réalisée en hôpital de jour (le patient vient pour la journée ou la demi-journée à l'hôpital), voire lors d'une hospitalisation courte lorsque le traitement est long.
L'intervention est faite sous anesthésie générale soit à thorax fermé (Thoracoscopie) soit à thorax ouvert (Thoracotomie), en fonction de la taille de la métastase, de sa situation, de son caractère unique ou multiple, et de la nécessité ou non d'explorer l'ensemble du poumon.
Parmi les cancers considérés comme se soignant « bien » on retrouve ceux du sein, de la prostate, colorectal, de la thyroïde et de la peau. Entre 1989 et 2005, la survie est passée de 72 à 94 % pour les cancers de la prostate et de 80 à 87 % pour les cancers du sein.
Quels sont les cancers avec un mauvais pronostic ? Selon l'Institut national du cancer, il s'agit en particulier des cancers du : poumon, pancréas, œsophage, foie, système nerveux central, leucémies aiguës myéloïdes, estomac, ovaire, lèvre-bouche-pharynx. À 5 ans, leur survie nette dépasse rarement les 33 %.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Quand la maladie se développe, silencieusement, elle peut toucher la plèvre, l'enveloppe qui enveloppe le poumon, le poumon controlatéral, voire créer des métastases au cerveau ou dans les os… Là ce n'est plus opérable.