La théorie du renforcement de Skinner (1931) Il a été fortement influencé par les théories de Pavlov. Il postule que le comportement est essentiellement fonction de ses conséquences.
« Une science du comportement adéquate doit prendre en considération les événements qui ont lieu à l'intérieur de la peau de l'organisme, non au titre de médiateurs physiologiques du comportement, mais comme une partie du comportement lui-même...
Théorie de motivation (connue en anglais sous le nom de ERG Theory), qui est basée sur trois facteurs : l'existence, la croissance et la sociabilité. Clayton Alderfer s'est inspiré de la théorie de Maslow, qui soutient une hiérarchie des besoins.
Le renforcement positif correspond à tout évènement qui suit un comportement et qui accroît la probabilité que ce comportement soit répété. Le renforcement positif motive les élèves à faire ce qu'ils sont capables de faire.
Le renforcement négatif, quant à lui, se produit lorsqu'un stimulus aversif est supprimé après qu'une personne a fait preuve d'un bon comportement. L'objectif est d'encourager la personne à répéter celui-ci afin d'éviter la conséquence négative.
1. Action de renforcer, fait de renforcer, d'être renforcé : Le renforcement des pouvoirs de l'État. 2. Augmentation du contraste d'un phototype trop faible.
La punition positive est l'ajout de quelque chose qui provoque la diminution de la fréquence d'un certain comportement. La punition négative, également connue sous le nom de punition par suppression, survient lorsqu'un événement ou un résultat agréable est retiré après la démonstration d'un comportement.
accentuation, affermissement, consolidation, durcissement, élargissement, extension, intensification, raffermissement, recrudescence, redoublement, regain, resserrement.
Un système d'émulation réfère à un outil où l'élève reçoit immédiatement un renforcement suite à un comportement adéquat (Couture et Nadeau, 2013). Pour certains enseignants, il s'agit d'un outil intéressant pour gérer les problèmes de comportement en classe et ainsi favoriser un climat favorable à l'apprentissage.
Créée par Abraham Maslow, la pyramide de Maslow (pyramide des besoins) a pour rôle de hiérarchiser les besoins des individus. 5 besoins y sont recensés : les besoins physiologiques, le besoin de sécurité, le besoin d'appartenance, le besoin d'estime et le besoin d'accomplissement.
Le behaviorisme part du principe que l'acquisition des connaissances s'effectue par paliers successifs. Le passage d'un niveau de connaissance à un autre s'opère par des renforcements positifs (récompenses) pour que l'apprenant atteignent les comportements attendus et donne les réponses attendues.
L'enseignement programmé
Skinner critique l'enseignement classique. Ses travaux en psychologie du comportement soulèvent l'importance d'un renforcement pour l'apprentissage. Pour lui, ce renforcement est fondamental et doit être immédiat, or, dans les classes habituelles, le délai est très long, trop long.
La période hivernale (comme estivale d'ailleurs) se prête bien au travail de renforcement musculaire. En effet, en début de préparation foncière et après une période de régénération, il est primordial de retonifier et renforcer la musculature.
Il s'agit d'un processus continu qui vise à accroître la capacité d'une personne ou d'un groupe à atteindre ses objectifs et à s'adapter aux changements. Pourquoi le renforcement des capacités est-il important? Le renforcement des capacités permet aux individus d'acquérir de nouvelles compétences et de les améliorer.
Contraire : affaiblir, amenuiser, atténuer, diminuer, émousser, estomper, éteindre, étouffer.
En psychologie comportementale, l'objectif de la punition est de réduire un comportement indésirable. Dans le cas de la punition négative, il s'agit de retirer quelque chose de bon ou de désirable pour réduire l'occurrence d'un comportement particulier.
La punition doit avoir un sens, le but n'étant pas de rendre l'enfant triste sans lui faire comprendre la raison de sa punition. Au contraire, la punition doit donner un sens à sa faute afin qu'il ne recommence plus.
Par exemple, en lui faisant accomplir une tâche qui lui demandera un effort physique : tondre la pelouse, faire la vaisselle, nettoyer les vitres, passer l'aspirateur, etc. Cela permettra notamment de l'aider à soulager sa culpabilité s'il paye ainsi sa faute.
Pavlov parlait de réflexe absolu. La procédure du conditionnement (Figure 4.2) consiste à présenter le stimulus neutre (SN), par exemple le son d'un métronome, et de le faire suivre très rapidement par le stimulus inconditionnel (viande dans la bouche) : ▮ ce couplage constitue un essai.
Le principe de Skinner « stimulus-réponse-conséquence » trouve son succès en pédagogie par sa simplicité – il suffit de répéter un stimulus jusqu'à ce qu'un apprenant adopte le bon comportement – et par son efficacité – notamment lorsque l'on vise des compétences basiques, par exemple, reproduire un geste mécanique.
Il existe deux grands types de conditionnement : le conditionnement classique et le conditionnement opérant. Dans le premier cas le stimulus conditionne une réaction tandis que dans le second il conditionne une action.