Bonjour ! Le nom de l'adjectif ' monstrueux " est bien" monstruosité ".
MONSTRUEUX, adjectif
Particulièrement affreux, repoussant. Cruel, pervers, qui choque la raison, la nature, la morale. Énorme, formidable. Horrible, abominable.
adjectif. Qui a la conformation d'un monstre. ➙ difforme.
monstre adj. Qui est prodigieux, énorme, extraordinaire.
Étymologie. Dérivé de monstrueux, par son féminin monstrueuse, avec le suffixe -ment.
Le radical d'un mot est sa racine, l'élément commun à tous les mots d'une même famille. "Inflammable", "enflammer" et "flamme" sont des mots construits sur le même radical : flamm-.
1. Grave anomalie dans la conformation d'un individu. 2. Caractère de ce qui est monstrueux, contre nature, abominable, horrible : La monstruosité d'un crime.
Le requin-pèlerin pèse plus de 5 tonnes et les plus gros d'entre eux mesurent plus de 12 mètres. Il se nourrit essentiellement de plancton, d'œufs et de larves de poisson. Le requin-baleine est considéré comme l'un des plus gros poissons de notre planète avec une longueur de plus de 12 mètres.
Voici une infographie qui fait un point sur les monstres les plus populaires, pour aider à choisir les apparences les plus effrayantes. Et la créature la plus populaire, assez logiquement, est celle créée par Stephen King, dans le roman Ça : le clown Pennywise.
Ces cris de terreur sont transformés en énergie pour alimenter Monstropolis. La Terreur d'élite la plus réputée s'appelle Jack Sullivan, surnommé Sulli. C'est un énorme monstre à cornes à la fourrure verte parsemée de taches violettes. Il est souvent accompagné de Bob Razowski, un cyclope en forme de pomme verte.
Conjugaison de monstrer, verbe du 1 er groupe, conjugué avec l'auxiliaire avoir.
Synonyme : abject, abominable, affreux, atroce, hideux, ignoble, infâme, infect, inqualifiable, monstrueux, odieux, révoltant. – Littéraire : exécrable.
Qui est excessif. Synonyme : colossal, démesuré, éléphantesque, énorme, gigantesque, insensé, phénoménal, prodigieux. – Familier : faramineux, monstre.
Étymologie. Du latin monstruosus (« monstrueux »), de monstrum (« avertissement des dieux, présage », « chose bizarre, monstre, prodige »), de monstrare (« montrer »).
Contraire : délicat, exquis, parfait, succulent, sympathique.
Shishupala est un proche cousin du dieu Krishna, et les deux enfants eurent des naissances étranges. Tandis que Krishna échappait à la mort en étant échangé avec la fille d'une simple paysanne, le cousin Shishupala naissait avec trois yeux et quatre bras.
Le grand requin blanc, somptueux et fatal
Dans l'imaginaire collectif, c'est bel et bien le requin qui fait partie des animaux marins les plus effrayants et les plus dangereux. D'une longueur de six mètres, le grand requin blanc ne déroge pas à la règle, et s'avère être un animal des plus redoutables pour l'homme.
Le kraken n'apparait pas uniquement dans la mythologie scandinave, mais également dans la mythologie grecque, sous les ordres de Poséidon. Il fut tué par Persée qui ramenait la tête de méduse au roi Polydectès.
La légende du Kraken est apparue pour la première fois en 1180 dans un rapport écrit du roi Sverre de Norvège. On en reparla ensuite dans de nombreuses légendes norvégiennes vers 1250. Mais le Kraken fut particulièrement connu pendant le Moyen Âge grâce aux nombreux contes et légendes à son sujet.
Le Kraken y est un monstre du dieu des océans Poséidon, à qui Andromède est donnée en sacrifice, sa mère s'étant dite plus belle que Héra. Persée sauve la jeune femme en pétrifiant le Kraken grâce à la tête de Méduse.
Aristote définit le monstre comme un produit qui ne ressemble pas à ses parents, un être défectueux, écarté du type générique dont il est issu. Le monstre et le monstrueux sont mis en rapport avec le divin et le merveilleux, mais aussi avec le rare, l'inhabituel ou l'exotique.
Le monstre effraie et fascine. Il fait naître de vives émotions chez le lecteur, comme la peur et la pitié. Il permet surtout au lecteur d'affronter ses craintes et d'accepter la différence.
La thématique du monstre permet en définitive de réfléchir le rapport de l'homme au mal. La figure du monstre telle qu'elle est traitée dans la littérature peut être vue comme l'allégorie des rapports que l'homme entretient avec le monde, avec lui-même.