Le contenu en importation des produits consommés en France provient principalement d'Allemagne (13,0 %), des États-Unis (8,0 %), de Chine (7,7 %), du Royaume-Uni (6,7 %), d'Espagne (6,5 %), d'Italie (6,2 %) et de Belgique (5,4 %).
Lecture : en 2021, la France exporte 68,9 milliards d'euros (FAB) de biens en Allemagne et importe 81,2 milliards d'euros (CAF) de biens en provenance d'Allemagne.
1. L'Allemagne demeure le premier partenaire commercial de la France en dépit d'une part en baisse. Inversement la France est le quatrième partenaire de l'Allemagne. L'Allemagne demeure, de loin, en 2021, le principal partenaire commercial de la France.
Les trois principaux clients de la France sont : l'Allemagne (pour 68,6 milliards d'euros) ; l'Italie (pour 39,1 milliards d'euros) ; et la Belgique (pour 37,2 milliards d'euros).
La France se place derrière l'Inde (+8,50%), à la 7e position. L'Hexagone perd en effet une place avec un PIB s'élevant à 3 140 mds$ en 2022. Dans le reste du top 10, nous retrouvons l'Italie à la 8e place avec un PIB de 2 272 mds$, suivie par le Canada (2 189 mds$).
En observant les ventes d'armes françaises depuis 1991, il ressort que les pays du Proche et Moyen Orient comptent parmi les principaux clients de la France. En effet, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, l'Égypte et le Qatar figurent régulièrement dans le top 5 des plus gros acheteurs.
Dans quels secteurs la France importe-t-elle le plus? L'Insee révèle que l'importation de produits d'équipement, comme les matériaux informatiques, est très élevée. En août 2017, la France en a importé 1,495 milliard d'euros de plus qu'elle n'en a exporté.
Le marché intérieur consomme, chaque année, environ la moitié de la production et le reste des grains récoltés est destiné à l'exportation, ce qui permet à la France de se classer au rang de 5ème exportateur mondial de blé, derrière la Russie, les Etats-Unis, le Canada et l'Ukraine.
Elles promeuvent la concurrence des marchés. Il en résulte une régulation des prix favorable au pouvoir d'achat des ménages, à l'emploi et à la compétitivité-prix des producteurs locaux. 3. Rendant les entreprises plus compétitives et innovantes, les importations constituent un puissant moteur d'exportations.
Les États-Unis sont restés le premier importateur de marchandises. Leurs importations se sont élevées à 2 610 milliards de dollars EU en 2018, soit une hausse de 8,5%.
Les États-Unis sont toujours leaders avec presque 14% de PDM pour une valeur de 808 milliards de dollars.
La Russie exporte, pour l'essentiel, des ressources énergétiques ( pétrole et produits pétroliers, gaz, charbon), de l'acier laminé, des métaux ferreux et non-ferreux, des minéraux utiles. Le pétrole et les produits pétroliers munissent la grande partie de l'exportation russe.
Dans un rapport publié en mars 2021, le ministère de l'Économie explique que les produits des industries extractives (pétrole, gaz naturel) et produits pétroliers raffinés représentent plus de 77 % des importations françaises en provenance de Russie, sur un total, en 2020, de 5,7 milliards d'euros.
Coût du travail et manque d'ouverture
Selon les résultats de cette enquête publiée ce mardi 22 novembre, ce sont avant tout les coûts, que ce soit de production (67% des répondants citent cette raison), de transports (51%) et de douanes (50%), qui freinent les exportations françaises.
68% des importations françaises de biens américains sont constitués d'équipements mécaniques et matériels électrique, électronique et informatique (6,9 Md€), de matériels de transports (6,6 Md€), des produits pharmaceutiques (4,2 Md€) et des produits chimiques, parfums et cosmétiques (3,2 Md€).
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
Des pays comme la Somalie, le Pakistan, mais aussi l'Egypte font effectivement état de fortes dépendances envers la Russie et l'Ukraine (au-delà de 80% de leurs importations de blé). Le Liban est également dans une situation délicate, avec plus de 60% de son blé traditionnellement importé d'Ukraine.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
les biens d'équipement, en particulier les machines industrielles et agricoles, les produits agroalimentaires, notamment les boissons et les produits du terroir, les produits divers liés à l'industrie du luxe : bijoux, sacs à mains…
Les principales exportations du pays comprennent les médicaments, les voitures et les pièces de véhicules, le pétrole raffiné, les malles, les valises et les vanity-cases. L'Italie est également le deuxième exportateur de vin au monde.
La Chine est le premier client de la Russie en matière d'armements, avec un chiffre d'affaires de deux milliards et demi de dollars en 2002, soit 60 % environ du total.
Entre 70 et 110 millions d'exemplaires ont été fabriqués et la production des plus récents modèles continue au XXI e siècle, ce qui fait de l'AK la série de fusils la plus répandue dans le monde.
Les États-Unis restent donc en tête du classement mondial avec une part d'exportation de 37 % entre 2016 et 2020 ! La Russie se maintient en deuxième place avec 20 % des transferts d'armes, suivie par la France (8,2 %).