l'idolâtrie (shirk) ou polythéisme demeure le premier péché : « le péché absolu ». Il s'agit de l'adoration d'autres dieux qu'Allah (sourate 4.48,137 ; sourate 47.34). Ce péché est impardonnable (plus précisément, il ne faut pas mourir dans cet état de péché).
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
l'acédie, l'envie, l'avarice, la vaine gloire, la gourmandise, la luxure, la colère désordonnée.
On sait que parmi ceux-ci, une tradition prophétique en avait cité 7 ensemble : le polythéisme, la sorcellerie, le meurtre, la consommation des biens de l'orphelin, l'usage de l'intérêt, la fuite lors de la confrontation avec les ennemis et la diffamation contre les chastes croyantes.
Les kabâ'ir ou péchés majeurs sont tout ce que Allah et Son Messager ont interdit, dans le Coran et dans la Sunna, ainsi que ce qui a été considéré comme tel par les prédécesseurs vertueux parmi les savants de la communauté musulmane.
l'idolâtrie (shirk) ou polythéisme demeure le premier péché : « le péché absolu ». Il s'agit de l'adoration d'autres dieux qu'Allah (sourate 4.48,137 ; sourate 47.34). Ce péché est impardonnable (plus précisément, il ne faut pas mourir dans cet état de péché).
Dans l'histoire du péché, l'orgueil a toujours été considéré comme le péché maître, celui dont découlent tous les autres, et on peut le comprendre dans un contexte religieux... Défiant Dieu, et son autorité, en accordant trop d'importance à sa créature, l'orgueil conduisait à la perte de la foi.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
L'orgueil est la racine de tous les péchés.
La fornication est un rapport sexuel entre deux personnes qui ne sont ni mariées ni liées par un vœu, et plus généralement la pratique des plaisirs sexuels. Cette pratique est considérée comme un péché de la chair par le christianisme, le judaïsme et l'islam.
Le seul péché qui ne sera pas remis est le péché contre l'Esprit, et cela signifie que si un pécheur ne peut pas recevoir l'absolution dans le sacrement de réconciliation, c'est qu'il lui manque des dispositions au pardon.
Car Allâh pardonne tous les. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux ». (Coran 39/53) « Crains Allah où que tu sois! Fais suivre la mauvaise action par une bonne action, celle-ci l'effacera.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.
Selon le Coran, les seuls aliments explicitement interdits sont la viande d'animaux qui meurent d'eux-mêmes, le sang, la viande de porc et toute nourriture dédiée à l'adoration d'un autre que Dieu, c'est-à-dire pour laquelle on a invoqué le nom d'un autre que celui d'Allah.
Voici ce qui vous est interdit : la bête morte, le sang, la viande de porc ; ce qui a été immolé à un autre que Dieu ; la bête étouffée, ou morte à la suite d'un coup, ou morte d'une chute, ou morte d'un coup de corne, ou celle qu'un fauve a dévorée — sauf si vous avez eu le temps de l'égorger — ou celle qui a été ...
Relations sexuelles hors mariage, péché de chair. 2. Familier. Relations sexuelles en général ; coït.
Les trois cas classiquement réservés au pape (les coups sur les clercs, la simonie, l'incendie) semblent l'être en tant que péchés dans la plupart des statuts synodaux, qui les évoquent dans le chapitre sur la pénitence sacramentelle.
Pour recevoir le pardon, nous devons d'abord reconnaître en nous-mêmes que nous avons péché. Si nous nous efforçons de vivre en accord avec l'Évangile, le fait de reconnaître que nous avons péché nous mènera à « la tristesse selon Dieu », qui « produit une repentance à salut » (2 Corinthiens 7:10).
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
L'impureté détourne de la foi, entraîne de la difficulté à prier, à penser à Dieu, à la religion et à la vie éternelle. La luxure fait partie des sept péchés capitaux que sont l'orgueil, l'avarice, la luxure, l'envie, la gourmandise, la colère et la paresse.
Cette notion est apparue au IV e siècle et a été systématisée au XIII e siècle par Thomas d'Aquin. Si la liste évolue selon les auteurs, c'est usuellement une liste de sept : l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
Blasphémer, c'est refuser de dialoguer avec Dieu
Le blasphème est donc une insulte à Dieu. C'est le refus de dialoguer avec Dieu. Ce péché est impardonnable parce que, si Dieu voulait me le pardonner, dans la même logique, je dirais encore qu'il me pardonne poussé par le mal.
En revanche, ils sont à l'origine de tous les autres péchés. Et ils sont des péchés que l'on commet pour eux-mêmes. Le catéchisme en liste sept : l'orgueil, l'avarice, l'envie, la colère, la luxure, la gourmandise et la paresse.