De ce fait, leurs effets sont assez similaires. Ils servent tous deux à lutter contre la douleur, la fièvre, les maux de tête et à soulager les règles douloureuses. Ainsi, il n'existe quasiment aucune différence entre ces deux produits médicamenteux, en termes d'efficacité.
Le paracétamol est le seul principe actif incorporé dans le Doliprane et dans l'Efferalgan. Le paracétamol et les AINS (Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens )sont les médicaments les plus utilisés en automédication comme antalgiques (anti-douleurs) ou antipyrétiques (anti-fièvre) chez les adultes et les enfants.
Les antalgiques de niveau II (opiacés faibles) sont la codéine, la dihydrocodéine et le tramadol. Ils sont destinés aux douleurs d'intensité moyenne ou aux douleurs non soulagées par les antalgiques de niveau I. Ils sont souvent associés au paracétamol.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Le top 10 français pour 2021 positionne ainsi Doliprane en tête des marques ayant la meilleure image, tandis que Doctolib grimpe sur la 3e marche du podium. Selon le magazine « Stratégies », le classement des meilleures marques de la société de sondages YouGov a été largement chamboulé par le Covid-19.
Le Doliprane contient du paracétamol, le seul principe actif incorporé dans ce médicament. Le paracétamol est l'antalgique et antipyrétique de référence indiqué en première intention pour soulager les douleurs (traitement des maux de tête à l'intensité modérée, douleurs musculaires…) et en cas de fièvre.
Le paracétamol agit plus vite sous forme effervescente qu'en comprimé
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine. Il ne faut pas en prendre plus de quatre jours de suite sans ordonnance.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.
Curcuma. La curcumine est le composé bioactif du curcuma qui confère à la plante ses propriétés curatives. C'est l'un des anti-inflammatoires le plus sûr que vous puissiez prendre et un analgésique naturel efficace même en cas de douleur intense.
Paracétamol : évitez la caféine
Café, thé ou cola : la caféine peut augmenter l'absorption du paracétamol, présent par exemple dans le Doliprane® ou l'Efferalgan®, pour ne citer que ces deux antalgiques très courants. A trop forte dose, cette molécule risque de provoquer des lésions au foie.
Le Dafalgan ou l'Efferalgan, fabriqués par UPSA, peuvent faire l'affaire. Ce sont deux antalgiques contenant uniquement du paracétamol. Il est possible aussi de se tourner vers les génériques produits par les laboratoires Biogaran et Mylan.
Mode d'emploi et posologie du médicament EFFERALGAN
Ce médicament peut être pris indifféremment pendant ou entre les repas, en respectant un intervalle minimal de 4 heures entre 2 prises. En cas d'insuffisance rénale, les prises doivent être espacées d'au moins 8 heures.
Si vous avez une maladie des reins, du foie, vous souffrez d'alcoolisme chronique, vous pesez moins de 50 kg : consultez un professionnel de santé avant de prendre du paracétamol. Si vous êtes enceinte : en règle générale, la prise de médicament doit être évitée pendant cette période.
Le paracétamol a l'avantage sur l'aspirine ou les AINS de ne pas provoquer d'irritation sur l'estomac, mais il n'est pas anti-inflammatoire et peut soulager un peu moins bien les douleurs d'origine inflammatoire.
Il est toutefois conseillé d'alterner les prises de ces deux médicaments de trois heures. Après un traitement ayant utilisé leur combinaison, il est possible de poursuivre la cure en n'utilisant plus que le paracétamol.
1. Le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) On termine avec la douleur la plus intense et insupportable selon le McGill Pain Questionnaire : le syndrome douloureux régional complexe (SDRC).
Quand la douleur persiste, ces réactions s'épuisent, et le stress se chronicise : les troubles du caractère, la fatigue, la perte d'envie, la perte d'énergie s'installent. L'inactivité physique, le retrait de la vie professionnelle et sociale, la perte de contact avec ses amis dépriment la personne souffrante.
Pas vraiment… En effet, si le paracétamol reste la molécule de première intention face à une douleur aiguë, son action reste limitée. Certaines douleurs trop intenses nécessitent un palier supérieur pour être soulagées.
Enfin, la substance la plus conseillée est le paracétamol puisqu'il présente «le meilleur rapport bénéfice/risque». Le magazine rapporte que les marques Dafalgan et Doliprane 500 et 1 000 mg sont les produits les moins dangereux et les plus efficaces.
Les antalgiques : du paracétamol à la morphine ; Certains antidépresseurs et antiépileptiques, pour traiter les douleurs d'origine neuropathiques ; Les co-antalgiques, pour renforcer ou compléter l'efficacité du traitement.
Cependant en cas de surdosage, le paracétamol peut entraîner des lésions graves du foie irréversibles dans certains cas. Le terme surdosage s'entend par l'utilisation d'un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre les prises non respecté.
Seuil de toxicité : Adulte : 10g en une prise Enfant : 150 mg/kg C'est sur ce sujet que ce diaporama va se concentrer mais ne faut pas oublier qu'il existe d'autres toxicités en cas de surdosage, beaucoup moins connues, au niveau rénal principalement (chez 10 à 80% des patients selon les études).
La réponse de l'expert. Mathématiquement cela revient au même de prendre 2 comprimés de paracétamol 500 mg qu'un à 1 gr. Comme ce sont ce qu'on appelle des comprimés nus (sans enrobage), cela ne change rien au niveau de la vitesse de l'absorption.
Le paracétamol n'a pas le même spectre d'action que les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou les inhibiteurs de prostaglandines, en ce sens qu'il ne réduit pas l'inflammation ni la coagulation, bien qu'étant un inhibiteur de la biosynthèse des prostaglandines.