Ce sont en fait les Soviétiques qui, les premiers, reconnaissent de jure Israël (c'est-à-dire une reconnaissance définitive et plénière), alors qu'au même moment les États-Unis ne le reconnaissaient que de facto (c'est-à-dire de manière provisoire ou limité à certains rapports juridiques).
L'Egypte a été le premier pays arabe à reconnaître Israël il y a plus de quarante ans, mais les liens qui unissent les gouvernements peinent à trouver une traduction dans l'opinion.
Ce sont: Algérie, Arabie saoudite, Bahreïn, Comores, Djibouti, Irak, Koweït, Liban, Libye, Maroc, Oman, Qatar, Somalie, Soudan, Syrie, Tunisie, Yémen, Afghanistan, Bangladesh, Brunei, Guinée, Indonésie, Iran, Malaisie, Mali, Niger, Pakistan, Emirats arabes unis, Tchad, Corée du Nord et Cuba .
L'État d'Israël, indépendant depuis 1948, n'est pas reconnu par 21 États membres de l'ONU (voir Conflit israélo-arabe).
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
L'histoire des Arabes en Palestine débute avec les premiers pèlerinages Ghassanides en Terre sainte, durant la période byzantine. À la suite de la conquête musulmane, des Arabes s'installent en Palestine.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Israël est le nom que s'est donné, selon la Bible, Jacob, fils d'Isaac et petit-fils d'Abraham, d'après une expression hébraïque qui signifie : «Dieu s'est montré fort». Jacob aurait en effet combattu toute une nuit contre un homme qui se révéla être un ange envoyé de Dieu.
Le 29 novembre 2012 , l'État de Palestine est reconnu comme État observateur non-membre de l'ONU. En 2017, l'État de Palestine est reconnu par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l'Organisation des Nations unies).
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
Sénégal, Tunisie, Afrique du Sud : ces pays africains soutiens historiques des Palestiniens. Manifestation pro-palestinienne à Tunis.
Outre sa contribution à l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Washington a donné l'an dernier 300 millions de dollars en aide directe, a … 1.3 La bande de Gaza.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
Le nom de «Palestine» fut attribué au territoire de Judée par l'empereur romain Hadrien, comme mesure punitive à la révolte menée par Bar Kokhba en 135 et en référence aux Philistins Ce nom était lui-même dérivé, par l'intermédiaire du grec, de l'hébreu où le mot peleshet désignait les Philistins, peuple qui occupait ...
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
2,8 % du PIB du pays provient de l'activité agricole. Israël importe d'importantes quantités de céréales mais est totalement suffisant pour les autres produits agricoles. De nombreuses variétés d'agrumes (notamment oranges, pamplemousses et citrons) sont développés par les producteurs israéliens.
Conquête par Israël. En 1967, à la suite de la guerre des Six Jours, Israël prend (notamment) le contrôle de ces territoires à la suite de sa victoire militaire sur les troupes jordaniennes et irakiennes de Cisjordanie, ainsi qu'égyptiennes et palestiniennes de la bande de Gaza.
Malgré les critiques, le gouvernement obtient la confiance de l'assemblée constituante. Après l'accession au pouvoir en 2019 de Kaïs Saïed, les relations entre les deux pays déjà au point mort deviennent inexistantes, ce dernier assimilant la normalisation avec Israël à de la « haute trahison ».
La France a reconnu l'Etat d'Israël le 20 mai 1949 mais ne reconnait pas à ce jour l'Etat de Palestine. Pourtant, le 2 décembre 2014, l'Assemblée Nationale a adopté une résolution demandant au Gouvernement français de reconnaitre l'Etat de Palestine par 339 voix contre 151.
La France officielle ne reconnait pas la Palestine comme état pour la simple raison qu'historiquement parlant le moyen orient a toujours être habitait par les juifs.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
La colonisation israélienne des territoires palestiniens.
L'Etat d'Israël n'est pas un Etat confessionnel. Les Juifs relèvent pour la plupart du judaïsme « traditionnel » (55%), libéral ou conservateur ; 17% sont « orthodoxes » et 8% haredim (« ultra-orthodoxes »). 20% des Juifs israéliens se déclarent non religieux.