Le principal reproche fait au Cloud est la gestion des données. Toutes les entreprises ne sont pas prêtes à externaliser leurs données sur le serveur d'un tiers et, pour certaines, c'est même légalement impossible sans contraintes énormes (Confidentiel Defense, données médicales, etc.).
Tout d'abord, le cloud computing présente un risque lors de l'indisponibilité du réseau. Étant opérationnel uniquement avec une connexion internet, il peut être inutile s'il y a une panne ou une coupure d'internet. Le volet confidentiel est également à prendre en considération.
De manière générale, la CNIL a constaté que les utilisateurs de cloud souffrent d'une insuffisance de transparence de la part des prestataires (conditions de réalisation des prestations, sécurité, éventuel transfert à l'étranger des données, etc.)
Avantages du cloud computing
Le cloud computing favorise les innovations en facilitant l'expérimentation de nouvelles idées et la conception de nouvelles applications sans les contraintes des limites matérielles ou des processus d'approvisionnement lents.
Flexibilité, réduction des coûts, optimisation de l'accessibilité aux outils, support simple et performant du travail collaboratif, il offre de nouveaux avantages aux entreprises et aux utilisateurs.
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
La demande de cloud computing augmente chaque année. Selon l'agence d'analyse Gartner, le marché mondial des services de cloud public atteindra 308.5 milliards de dollars en 2021. C'est 40 milliards de dollars de plus qu'en 2020 et 90 milliards de plus qu'en 2019.
Internet raccorde des millions de réseaux locaux avec des moyens matériels divers. Le Nuage ou le Cloud désigne de façon courante l'Internet avec ses applications. Facebook, Google, Twitter, Dropbox sont souvent mentionnées comme des applications "cloud".
Le premier risque lié au cloud computing est l'indisponibilité du réseau : en cas de panne d'internet, l'entreprise peut se retrouver quasiment bloquée, faute d'accès à ses applications ; ce cas est heureusement très rare, de nombreuses solutions de redondance étant la plupart du temps prévues !
Or, le fait d'utiliser un serveur à distance, tel que le cloud, permet aux utilisateurs d'accéder à tous leurs documents, photos, vidéos, etc. n'importe quand, de n'importe où, pourvu qu'il y ait une connexion internet. De ce point de vue, le cloud est plus fiable que le disque dur.
Par défaut, les données de sauvegarde dans le cloud sont stockées sur des serveurs Backblaze. Si l'emplacement choisi se trouve aux États-Unis ou dans l'Union européenne, les données sont stockées via Backblaze. Dans les autres régions, le stockage se fait via AWS.
1. Conséquence fâcheuse, risque que comporte ou peut comporter une situation ou une action donnée : Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, je partirai plus tôt.
Le cloud permet aux utilisateurs d'accéder aux mêmes fichiers et applications à partir de presque n'importe quel appareil, car les processus informatiques et le stockage se font sur des serveurs dans un datacenter et non en local sur la machine utilisateur.
Qui utilise le cloud computing ? Le cloud computing est utilisé par les entreprises de toutes les industries pour une large variété de cas d'usage. Il peut s'agir du stockage ou de la sauvegarde de données, des emails, de virtualisation informatique, de développement logiciel ou encore d'analyse Big Data.
Le cloud offre un accès à de nombreuses technologies et réduit la nécessité d'une forte expertise technique pour gérer les données d'une entreprise. Les services cloud coûtent également moins cher à configurer et à maintenir que les serveurs de données sur site.
L'architecture Serverless Computing
En fonction des besoins des développeurs, ces ressources informatiques peuvent être mises à échelle simplement et quasi instantanément. L'hébergement dans le cloud permet donc de répondre à une hausse d'activité ponctuelle et aussi d'éviter de consommer des ressources non utilisées.
S'il y a bien un cloud qu'on ne présente plus, c'est celui de Google. Son cloud est vite devenu une référence puisque tous les internautes disposant d'une adresse sur Gmail peuvent en profiter gratuitement dans une limite de 15 Go.
Google Cloud, Microsoft Azure et Amazon Web Services (AWS) sont considérés comme les leaders leaders du marché. Cependant, de nombreux autres acteurs plus petits ou spécialisés proposent également des services cloud, parmi lesquels IBM, Alibaba, Oracle, Red Hat, DigitalOcean et Rackspace.
Un cloud privé est un environnement de cloud computing dédié à une seule organisation. Toute infrastructure cloud dispose de ressources informatiques sous-jacentes, telles que des unités centrales et du stockage, que vous approvisionnez à la demande via un portail en libre-service.
Le cloud computing (en français, « informatique dans les nuages ») fait référence à l'utilisation de la mémoire et des capacités de calcul des ordinateurs et des serveurs répartis dans le monde entier et liés par un réseau.
Au début des années 2000 sont apparus des hébergeurs web capables d'héberger des applications dans leurs locaux informatiques. En particulier, Google et Amazon ont simultanément repris le terme « cloud computing » en 2006.
Vos photos et vidéos d'origine seront stockées sur iCloud et les versions occupant moins d'espace seront enregistrées sur votre appareil. Votre bibliothèque est uniquement optimisée lorsque vous avez besoin d'espace, en commençant par les photos et vidéos que vous consultez le moins.