La limite des 90 % marque une hypoxémie correspondant à l'équivalent de l'insuffisance respiratoire. La saturation artérielle en oxygène (SaO2) normale est comprise entre 96% et 98% chez un jeune adulte est de 95% chez une personne de plus de 70 ans.
Dans le cas de la saturation pulsée (SPO2), en dessous de 95%, on considère qu'une personne est en hypoxie, c'est-à-dire qu'elle manque d'oxygène. « Lorsque le corps manque d'oxygène, il s'ensuit une souffrance cellulaire et un risque pour les différents organes.
Apport d'oxygène indispensable
Le diagnostic est biologique, par la mesure de la saturation de l'hémoglobine du sang. «Normalement, elle est saturée à plus de 95 % par l'oxygène (O2) respiré. Il y a insuffisance respiratoire chronique quand cette saturation reste inférieure à 92 %.
Pratiquer régulièrement des exercices de respiration
En effet, il est possible d'améliorer sa saturation d'oxygène en apportant quelques changements plus durables à ses habitudes respiratoires. Pour ce faire, il suffit de s'adonner à des exercices respiratoires guidés en dehors de l'environnement médical.
L'hypoxémie peut compliquer diverses pathologies comme une insuffisance respiratoire chronique ou aigüe, une insuffisance cardiaque, une anémie sévère, etc. Le traitement de l'hypoxémie peut passer par l'administration d'oxygène, mais aussi par la prise en charge de la pathologie causale.
La limite des 90 % marque une hypoxémie correspondant à l'équivalent de l'insuffisance respiratoire. La saturation artérielle en oxygène (SaO2) normale est comprise entre 96% et 98% chez un jeune adulte est de 95% chez une personne de plus de 70 ans.
L'oxygène, est un comburant indispensable à l'organisme. Les organes et les muscles l'utilisent pour fonctionner avant de rejeter du gaz carbonique. Une insuffisance respiratoire chronique se manifeste par un manque d'oxygène dans le sang qui explique la fatigue, l'essoufflement au moindre effort.
La mesure de la saturation artérielle en oxygène (SaO2) implique un prélèvement sanguin et une analyse réalisée via un analyseur de gaz sanguin [2]. Les valeurs normales se situent entre 100 % et 94 % ; une valeur de 90 % ou inférieure indique une hypoxémie [3, 4].
Insuffisance cardiaque : L'insuffisance cardiaque peut provoquer un manque d'oxygène en réduisant la capacité du cœur à pomper le sang. Les symptômes incluent l'essoufflement, la fatigue, les œdèmes et les palpitations.
En-dessous de 95%, le taux est insuffisant : on parle d'hypoxémie (baisse de l'oxygénation). En-dessous de 90%, la situation est critique : on parle de désaturation.
La personne atteinte présente une dyspnée, généralement accompagnée d'une respiration accélérée et superficielle, la peau peut paraître marbrée ou bleutée (cyanose), et d'autres organes, comme le cœur et le cerveau, peuvent présenter une défaillance.
L'exercice physique contribue à la bonne santé du cerveau ; le mouvement agit en effet à deux niveaux : il accroît d'une part le débit cardiaque et donc le flux sanguin et d'autre part la fréquence respiratoire, et donc les niveaux d'oxygène dans le sang.
En cas de saturation en oxygène basse, on peut recourir à plusieurs protocoles : apport en air enrichi en O2 par masque, par sonde d'intubation ou par trachéotomie selon les cas ; augmentation de la pression atmosphérique en caisson hyperbare.
Sur quel doigt mesurer la saturation en oxygène dans le sang ? L'index ou le majeur sont les meilleurs doigts pour placer un oxymètre. L'ongle est positionné du même côté que l'écran de l'appareil.
En mesurant la moyenne du taux de saturation en oxygène pendant le sommeil, ils ont calculé qu'une baisse de 1% de ce dernier entraînait une perte moyenne du volume de certaines régions du cerveau de 0,63%.
Il est des cas (souvent prévisibles) ou` l'oxygénation ne peut être maintenue, soit du fait d'une pathologie de l'échangeur pulmonaire, soit du fait de l'impossibilité de ventilation au masque et d'intubation.
Il est souhaitable de recourir à une oxygénothérapie par lunettes nasales avec titration, dans le but de maintenir une saturation naturelle en oxygène comprise entre 88 et 92 %. Une gazométrie artérielle doit être faite, pour connaître le pH et le niveau de capnie.
L'hypoxie due par le mal des montagnes est liée à une baisse de la pression atmosphérique et donc à une diminution de la saturation en oxygène dans le sang. L'organisme va compenser cette baisse d'oxygène par une hyperventilation, une augmentation de la fréquence cardiaque et production de globules rouges.
Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
La fonction respiratoire étant essentiellement d'assurer l'oxygénation du sang, les troubles ventilatoires du sommeil peuvent dans certains cas sévères, être en effet à l'origine de baisse notables et durables d'oxygène du sang.
L'insuffisance respiratoire est un état caractérisé par un taux sanguin d'oxygène dangereusement bas ou un taux de dioxyde de carbone dans le sang dangereusement haut.
Un niveau normal d'oxygène dans le sang se situe entre 95 % et 100 %. Ces chiffres varient chez les personnes atteintes de maladies pulmonaires ou ayant d'autres problèmes de santé spécifiques. Une SpO2 sous les 90 % est considérée comme basse, on appelle cela l'hypoxémie.
Traitement de la désaturation en oxygène
Si l'hypoventilation persiste, une ventilation mécanique. en apprendre davantage en pression positive non invasive ou une intubation endotrachéale est nécessaire. Une hypoxie persistante exige une supplémentation en oxygène.
L'oxygénothérapie à bas débit consiste à une oxygénation comprise entre 1-10 litres/min (24-60% O2). Elle s'effectue à tous les niveaux de prise en charge y compris en chambre d'hospitalisation.