Si plusieurs théories tentent toujours d'expliquer ce lien, on sait que la musique agit sur deux hormones: l'ocytocine et le cortisol. Elle favorise la production d'ocytocine, hormone de l'attachement social, et diminue celle du cortisol, hormone associée au stress.
Source de plaisir, la musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui, à son tour, active la sécrétion d'endorphines procurant une sensation de bien-être. Ce faisant, elle réduit aussi le stress et l'anxiété.
Les musiques anti-stress sont avant tout celles qui font plaisir à écouter, selon les musicothérapeutes. Rock, jazz, rap ou chants polyphoniques… Il n'y a pas de genre particulier à privilégier, même si celles aux tempos lents ou la musique classique et lyrique sont particulièrement propices à la détente.
En réduisant le cortisol (hormone de stress) et en augmentant la dopamine, la musique permet de soulager les patients, de leur apporter une détente psychologique et musculaire et de ce fait une réduction de la douleur de 50%. Elle permet aussi chez certains patients de réduire la prise de médicaments de 30 à 40%.
Elle aide à calmer et à gérer les émotions.
Chanter ainsi que faire de la musique et en écouter favorisent la production d'hormones associées au plaisir, au bien-être et à la confiance. La musique a un effet calmant qui aiderait les tout-petits à gérer leurs émotions.
Il nous semble que la musique peut avoir 4 principales fonctions : accompagner, évoquer, provoquer, structurer le temps/orienter dans le temps. L'utilisation d'une même musique peut cumuler plusieurs de ces fonctions.
Sans effort particulier, le cerveau humain est capable de transformer l'énergie acoustique en un percept musical (mélodie, harmonie et rythme) grâce à l'implication du cortex auditif (aires primaires et associatives), localisé dans la partie supérieure du lobe temporal.
Le pouvoir apaisant de la musique
La musique joue un rôle évident dans la régulation de nos émotions. Emmanuel Bigand, chercheur à l'Institut Universitaire de France rattaché à l'Université de Bourgogne, explique qu'il existe des musiques propices à apaiser nos anxiétés.
La musique a des effets sur le cerveau, par exemple, elle réduit les hormones du stress, en particulier la musique jazz avec un tempo lent. Elle stimule également la sécrétion de dopamine, une hormone qui est bonne pour le bien-être en général.
Les qualités émotionnelles et thérapeutiques de la musique sont étroitement liées à la libération de substances neurochimiques. Un certain nombre d'entre elles sont associées au bonheur, notamment l'ocytocine, la sérotonine et les endorphines. Cependant, la dopamine est au cœur des propriétés stimulantes de la musique.
Un puissant remède antistress
Si plusieurs théories tentent toujours d'expliquer ce lien, on sait que la musique agit sur deux hormones: l'ocytocine et le cortisol. Elle favorise la production d'ocytocine, hormone de l'attachement social, et diminue celle du cortisol, hormone associée au stress.
L'écoute de la musique bilatérale amène le cerveau à une "stimulation de l'attention double" qui, selon le sentiment, aide le cerveau à traiter les souvenirs difficiles qui, autrement, déclenchent l'anxiété et les traumatismes.
Écouter de la musique peut aider à réduire l'anxiété, la douleur ou à se motiver pour faire du sport. La musique agit sur le système de récompense du cerveau et stimule la libération de dopamine qui nous fait nous sentir mieux.
De manière générale, il semblerait que les musicien·ne·s semblent mieux équipé·e·s pour affronter les défis professionnels. Résolution de problèmes complexes, pensée critique, prise de décision, flexibilité cognitive… En apprenant la musique, on acquiert aussi des compétences pour la vie professionnelle.
1. La musique peut influencer la perception de l'effort et faire oublier l'état de fatigue. Elle influence d'abord la « perception de l'effort ».
La musicothérapie est d'ailleurs prescrite par des médecins psychiatres. Une étude espagnole a même indiqué que cette médecine douce pouvait réduire la douleur en cas de fibromyalgie. On peut donc dire sans risque que la musique soulage à la fois les troubles physiques et mentaux tout autant qu'elle adoucit les mœurs.
On se rend compte que la musique modifie les mécanismes biochimiques du cerveau : elle active, par exemple, la production de dopamine, un neurotransmetteur essentiel au fonctionnement du cerveau car il contribue à sa plasticité, et… qui nous fait vibrer.
Pour se détendre, rien de mieux que d'écouter un peu de musique ! En effet, elle agit sur notre organisme et augmente la production d'hormones qui favorisent le bonheur, tout en éliminant les hormones liées au stress. Pour que cela soit efficace, il faut évidemment écouter une musique que l'on aime.
Elle peut avoir la fonction d'ambiance de fond pour animer des événements – par exemple pendant des repas ou des fêtes ; réguler les états psychologiques des uns ou des autres – calmer, égayer, motiver, etc. ; parfois aider un individu à se distancier du monde extérieur ou au contraire rapprocher des individus et ...
La musique est l'art le plus abstrait et qui a le plus d'effets concrets: avec des sons, rien que des sons, elle met les hommes en transe ou les fait marcher au pas, elle nous fait danser ou pleurer d'émotion. Justement parce qu'elle est l'art des sons.
Certaines études font un lien entre déficience auditive, retrait social, isolement et dépression. La gêne ressentie peut provoquer des difficultés à s'endormir. D'autres effets domino sont possibles. Le stress par exemple est un facteur de changement de rapport à l'alimentation.
Selon le résultats de l'équipe de chercheurs, écouter de la musique augmente de 6 à 9% le niveau de dopamine dans le cerveau. « Une personne est même montée à 21 %.
Cerise sur le gâteau : si la musique que nous avons dans les oreilles nous est familière et nous plaît, le circuit de la récompense est stimulé et libère toutes sortes de substances du bien-être – l'ocytocine, la dopamine, ou encore la noradrénaline – qui contribuent aussi à diminuer les sensations douloureuses.
La musique a cet effet déclencheur sur le cerveau, et tout le travail scientifique actuel consiste à isoler les paramètres dans la musique entraînant la génération de l'adrénaline, mais aussi la dopamine (lié à la satisfaction) et l'endorphine (lié au soulagement).