Le chlore, le phosgène (un agent suffocant) et le gaz moutarde (qui inflige des brûlures de la peau douloureuses) étaient au nombre des produits chimiques utilisés. Ces armes frappaient sans discrimination et avaient des effets souvent dévastateurs. Elles ont fait près de 100 000 morts.
C'est le 22 avril 1915 lors de la deuxième bataille d'Ypres, que l'armée allemande utilisera pour la première fois le gaz chlorique. Cette première utilisation d'un gaz mortel de l'histoire provoquera l'unanime condamnation des autres états belligérants adverses et d'états neutres comme les Etats-Unis.
En effet, pendant la Grande Guerre, le gaz moutarde est une arme chimique puissante qui a été utilisé pour la première fois par les Allemands.
Il a surtout été utilisé lors de la première Guerre Mondiale, provoquant la mort de plus de 90.000 soldats. Les armées européennes s'en servaient pour infliger de graves brûlures aux yeux, à la peau et aux muqueuses de leurs ennemis. Son utilisation est interdite depuis 1925.
Parmi les gaz de guerre les plus connus – et couramment utilisé – pendant la guerre de 14-18, l'utilisation du gaz moutarde (également connu sous le nom d'ypérite) fut particulièrement dévastatrice.
Inodore, invisible et mortel. Le simple contact de la peau avec le gaz sarin peut entraîner la mort par arrêt cardio-respiratoire. Il est mortel même à très faible dose, dès un demi-milligramme pour un adulte. Les victimes se plaignent d'abord de maux de tête violents et présentent des pupilles dilatées.
Le chlore, le phosgène (un agent suffocant) et le gaz moutarde (qui inflige des brûlures de la peau douloureuses) étaient au nombre des produits chimiques utilisés. Ces armes frappaient sans discrimination et avaient des effets souvent dévastateurs. Elles ont fait près de 100 000 morts.
Le monoxyde de carbone. Ce gaz toxique est un produit de combustion émis par les appareils de chauffage mal entretenus et vétustes (combustion mal réglée/incomplète, conduit obstrué…). Ce gaz est d'autant plus dangereux qu'il est invisible, inodore et qu'il n'irrite ni les yeux ni les voies respiratoires.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore, toxique et potentiellement mortel qui résulte d'une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane.
La fabrication de sarin est un processus complexe, mais c'est par hasard, en travaillant sur de nouveaux pesticides, que des chimistes allemands d'IG Farben l'ont découvert en 1938. Le sarin tient son nom de ses inventeurs : Schrader, Ambros, Rüdiger et Van der Linde.
certain dans la sophistication des armes chimiques. Au début il s'agissait d'une pâte incendiaire inventée par le grec Kallinikos en 673 dont la composition était la suivante : - poix à laquelle on ajoute du soufre, du salpêtre, de l'oxysulfure d'antimoine puis que l'on mélange avec de la chaux vive.
Gaz moutarde (ypérite)
Ce gaz, qui tient son nom d'une forme impure du produit chimique ayant l'odeur de moutarde, est aussi parfois appelé ypérite, en référence à la ville d'Ypres, en Belgique, où il fut pour la première fois utilisé au combat le 11 juillet 1917.
Couleur : noir Type : masque sans filtre, masque avec filtre, filtre Protection : nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques Masque à gaz nrbc : une protection respiratoire élevée Des épidémies, des virus, des radi...
Le phosgène, introduit à la fin de 1915, était presque invisible et beaucoup plus mortel que le chlore. Les Allemands libérèrent du gaz moutarde à l'été 1917. Il attaquait la peau et aveuglait ses victimes, ce qui rendait inefficaces les masques à gaz et les respirateurs existants.
Près d'Alep, Homs, Lattaquié et Hama.
Le méthane n'est pas toxique en concentration au-dessous de la limite inférieure d'explosivité (LIE) de 5 % (50 000 ppm). De fortes concentrations de méthane peuvent déplacer l'oxygène et provoquer l'asphyxie.
L'acétylène, l'ammoniac, l'hydrogène, le propane, le propylène, et le méthane sont tous des gaz inflammables, également connus sous le nom de gaz combustibles. Ils brûlent quand mélangés à un oxydant et avec une source d'allumage.
En fait, le mercaptan n'est plus utilisé aujourd'hui dans le gaz naturel (méthane, CH4) en raison de ses propriétés corrosives qui dégradaient les conduites de gaz et de son odeur un peu trop désagréable. Il a été remplacé par le tétrahydrothiophène ou THT, un composé soufré cyclique.
Dix États parties ont déclaré la possession d'« armes chimiques anciennes » : l'Allemagne, l'Australie, la Belgique, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Royaume-Uni et la Slovénie.
Il existe trois manières de s'en protéger, parmi lesquelles la combinaison étanche avec masque à gaz. Mais cette protection n'est efficace que si elle enfilée préventivement. Autre solution: décontaminer le corps et l'environnement touchés, avec des appareils et produits adaptés.
XX e siècle. Enfin, en Occident, la version moderne du lance-flammes est due aux recherches du scientifique allemand Richard Fiedler, sur une idée du sous-lieutenant des Pionniers Bernhard Reddeman qui introduisit le concept du lance-flammes portatif.
Les gaz de combat de la Première Guerre mondiale regroupaient une vaste gamme de composés toxiques allant du gaz lacrymogène relativement bénin aux mortels phosgène et dichlore (appelé bertholite par l'armée française) en passant par le gaz moutarde.