Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®)
Peut-on voyager avec des médicaments ? "Il est bien sûr possible de voyager avec ses médicaments. Mieux vaut prendre l'ordonnance, à part si vous emmenez juste 1 boite d'anti-inflammatoire non stéroïdiens type ibuprofène ou du doliprane, et les emballages correspondants.
Allongez votre siège autant que possible et restez allongé sans bouger, la tête penchée en arrière. Évitez les repas trop copieux et l'alcool. Votre médecin pourra également vous prescrire un traitement préventif contre le mal des transports.
Les médicaments antinauséeux
Ce sont les plus efficaces. C'est le cas des antihistaminiques à l'action sédative (dits de 1re génération) comme le diménhydrinate, la diphénhydramine ou la méclozine, à prendre 2 heures avant le départ.
En voiture, préférez les places à l'avant et près des fenêtres pour suivre la route des yeux. Le fait de conduire peut également réduire les sensations de nausées. Réglez également la hauteur des sièges des enfants de telle sorte qu'ils puissent regarder à l'extérieur.
Comprimé : Adulte : 2 comprimés 3 fois par jour, à prendre la veille et le jour du voyage. 2 comprimés dès l'apparition des symptômes pendant le voyage, à renouveler si nécessaire.
Des endroits dans l'avion qui grouillent de microbes et de germes… Ajoutés à la promiscuité, d'autres facteurs comme la fatigue, voire le décalage horaire selon les destinations ou encore le changement de milieu peuvent jouer sur la vulnérabilité du système immunitaire des passagers…
Chez l'adulte: 2 comprimés à sucer 3 fois par jour la veille et le jour du voyage. 2 comprimés à sucer dès l'apparition des symptômes. Renouveler la prise si nécessaire. Chez l'enfant: 1 comprimé à sucer 3 fois par jour la veille et le jour du voyage.
Remède de grand-mère
Certains remèdes de grand-mère peuvent s'avérer efficaces chez certaines personnes. Parmi eux, mettre un pansement (sparadrap) sur le nombril pour faire la route est une technique intéressante dans la mesure où elle fonctionne !
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Il existe plusieurs degrés d'aviophobie, de l'anxiété modérée à la panique totale. Certaines personnes souffrant d'aviophobie ressentiront une forte appréhension qui commencera plusieurs jours avant le voyage puis qui sera à son apogée lors du décollage.
Certains peuvent avoir une phobie de l'avion, mais cela n'a plus rien à voir avec le vertige. En conclusion, avoir le vertige ne doit pas être un frein pour voler, c'est même plutôt un excellent moyen de surmonter son appréhension naturelle et en sortir grandi !
Porter des vêtements confortables aide également, tout comme respirer profondément et faire en sorte de détendre ses muscles (ne pas s'agripper à l'accoudoir par exemple!).
Demandez une couverture auprès de l'hôtesse pour éviter d'avoir froid. Essayez de surélever vos jambes avec votre bagage à main par exemple. En effet, une bonne circulation sanguine favorise le sommeil en vol. Vous pouvez aussi caler votre dos avec une couverture ou un coussin pour vous sentir plus à l'aise.
COCCULINE®, comprimé orodispersible est un médicament homéopathique traditionnellement utilisé : dans les nausées et les vomissements sans fièvre.
Cocculine® est indiqué pour le traitement, et de la prévention, de plusieurs symptômes du mal de transports. Cocculine® peut être pris par les femmes enceintes et enfants. Convient également aux conducteurs de véhicules car il ne provoque pas de somnolence.
Nux vomica est particulièrement indiqué dans les cas de troubles digestifs, comme les nausées, les maux de ventre, les diarrhées, la constipation, mais aussi pour soulager le mal des transports. Chez le nourrisson, il est prescrit en cas de coliques.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
Prendre des médicaments : si aucun traitement ne fait disparaître totalement le mal de mer, certains médicaments atténuent les symptômes et permettent de réaliser une traversée ou une balade en mer sans trop de désagréments.
Mercalm est indiqué chez l'adulte et chez l'enfant de plus de 6 ans. Les comprimés sont à avaler avec un peu d'eau 1/2 heure avant le départ. En cas de symptômes persistants, il est possible de renouveler la prise en respectant un intervalle d'au moins 6 heures. Il ne faut pas dépasser 3 prises par jour.
Ca accélère (fort) et ça monte, mais c'est beaucoup moins violent que les manèges à sensations, car ça ne tournicote pas dans tous les sens. Si vous êtes stressé, n'hésitez pas et parlez-en à l'équipage en arrivant dans l'avion, les agents de bord sont formés pour ce genre de situation et vous rassureront.