À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
Après l'Egypte en 1979, la Jordanie en 1994, la Mauritanie en 1999, c'est autour de quatre autres pays arabes de normaliser leurs relations avec Israël : les Emirats Arabes Unis, Bahrein, Soudan et le dernier est le Maroc qui s'est engagé, hier, à normaliser ses relations avec Israël.
Ce sont en fait les Soviétiques qui, les premiers, reconnaissent de jure Israël (c'est-à-dire une reconnaissance définitive et plénière), alors qu'au même moment les États-Unis ne le reconnaissaient que de facto (c'est-à-dire de manière provisoire ou limité à certains rapports juridiques).
L'État d'Israël, indépendant depuis 1948, n'est pas reconnu par 21 États membres de l'ONU (voir Conflit israélo-arabe).
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Le gouvernement marocain a accepté la communauté juive sur son territoire même après la création de l'État d'Israël en 1948, facilitant les liens diplomatiques entre les deux États. Certaines villes marocaines possèdent des mellahs (quartiers juifs), notamment celle de Marrakech.
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
Le nom de «Palestine» fut attribué au territoire de Judée par l'empereur romain Hadrien, comme mesure punitive à la révolte menée par Bar Kokhba en 135 et en référence aux Philistins Ce nom était lui-même dérivé, par l'intermédiaire du grec, de l'hébreu où le mot peleshet désignait les Philistins, peuple qui occupait ...
L'Egypte a été le premier pays arabe à reconnaître Israël il y a plus de quarante ans, mais les liens qui unissent les gouvernements peinent à trouver une traduction dans l'opinion.
Le 29 novembre 2012 , l'État de Palestine est reconnu comme État observateur non-membre de l'ONU. En 2017, l'État de Palestine est reconnu par 136 États (70,5 % des 193 États membres que compte l'Organisation des Nations unies).
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Cette région correspond plus ou moins aujourd'hui aux territoires réunissant l'État d'Israël, la Palestine, l'ouest de la Jordanie, le Liban et l'ouest de la Syrie.
Dans l'usage courant, le plus ancien est « pays de Canaan » (Canaan désigne un peuple). Les Juifs appelaient la région Eretz Israël, la terre d'Israël, qui fut divisée après la mort du roi Salomon entre les royaumes d'Israël au nord et de Juda au sud.
L'Etat d'Israël n'est pas un Etat confessionnel. Les Juifs relèvent pour la plupart du judaïsme « traditionnel » (55%), libéral ou conservateur ; 17% sont « orthodoxes » et 8% haredim (« ultra-orthodoxes »). 20% des Juifs israéliens se déclarent non religieux.
La France a reconnu l'Etat d'Israël le 20 mai 1949 mais ne reconnait pas à ce jour l'Etat de Palestine. Pourtant, le 2 décembre 2014, l'Assemblée Nationale a adopté une résolution demandant au Gouvernement français de reconnaitre l'Etat de Palestine par 339 voix contre 151.
© Atlasocio.com. Carte du monde des États et territoires non reconnus internationalement : Abkhazie, Arménie, Chypre, Haut-Karabagh, Israël, Kosovo, Ossétie du Sud, Palestine, Sahara occidental, Somaliland, Taïwan, Transnistrie, etc.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
États soutenant la position marocaine. Albanie. Allemagne.
Parmi les pays reconnaissant l'État palestinien, on trouve la presque totalité des états africains, asiatiques, sud et centre-américains, de l'ancienne URSS et de l'Europe de l'Est.
Demande de visas : Israël lance une plateforme en ligne dédiée aux Marocains. Les autorités israéliennes ont procédé au lancement d'une plateforme numérique, "centre de demande de visa Israël au Maroc, BSR Global", dédié aux voyageurs marocains souhaitant se rendre en Israël.
Outre sa contribution à l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA), Washington a donné l'an dernier 300 millions de dollars en aide directe, a … 1.3 La bande de Gaza.
2,8 % du PIB du pays provient de l'activité agricole. Israël importe d'importantes quantités de céréales mais est totalement suffisant pour les autres produits agricoles. De nombreuses variétés d'agrumes (notamment oranges, pamplemousses et citrons) sont développés par les producteurs israéliens.
La « Terre promise » est ainsi appelée dans la Bible parce qu'elle aurait été promise par Dieu à la descendance d'Abraham. C'est une étroite bande de terre sur la côte orientale de la Méditerranée, délimitée par le Jourdain et le mont Liban, qui relie l'Égypte à la Mésopotamie.