Prévalence du tabagisme en 2020 et évolution par rapport à 2019. En 2020, 31,8% des personnes âgées de 18 à 75 ans ont déclaré fumer du tabac : 36,2% des hommes et 27,7% des femmes (p<0,001). La prévalence du tabagisme quotidien s'élevait à 25,5%, soit 29,1% parmi les hommes et 22,0% parmi les femmes (p<0,001).
Sur 1,3 milliard de fumeurs dans le monde, plus de 80 % vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. En 2020, 22,3 % de la population mondiale consommait du tabac – 36,7 % des hommes et 7,8 % des femmes de la planète.
Résultats - En 2020, plus de trois adultes de 18-75 ans sur dix déclaraient fumer (31,8%) et un quart déclaraient fumer quotidiennement (25,5%). Pour l'ensemble de la période couverte en 2020, la prévalence du tabagisme et du tabagisme quotidien ne varie pas significativement par rapport à 2019.
18,4 % de la population de l'Union Europénne fume quotidiennement.
Le pourcentage de gens qui fument passe de 9 % pour les 12-14 ans à 41 % pour les 15-19 ans et atteint un maximum de 48 % chez les 20-25 ans. Les jeunes : Les jeunes de 12 à 25 ans qui fument régulièrement consomment en moyenne 10 cigarettes par jour.
Si les Américains fument moins, c'est aussi parce que les lois anti-tabac sont beaucoup plus restrictives, et plus anciennes. Des grandes campagnes des années 60 à la loi anti-tabac de 2009 de Barack Obama, la bataille fait rage ici.
ACHKHABAD - Le Turkménistan, ex-république soviétique d'Asie centrale, est le pays où l'on fume le moins dans le monde, a annoncé mardi la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan.
En moyenne, fumer réduit l'espérance de vie des fumeurs de 10 ans. Les personnes qui ont commencé à fumer à l'adolescence et qui continuent de le faire à l'âge adulte sont plus à risque que les autres : 50 % d'entre eux mourront entre 35 et 69 ans, ce qui représente 22 ans de vie en moins.
Selon les fumeurs, l'argument qui revient le plus souvent est que la cigarette les aide à gérer leur stress. "Pour fumer, on trouve des raisons sans arrêt : une embrouille avec sa copine, le travail, les ennuis… qui font qu'on se réfugie bêtement vers un substitut", estiment des fumeurs interrogés par Europe 1.
en 2015, les médecins généralistes étaient 16 % à déclarer fumer, 14 % quotidiennement. La prévalence du tabagisme est en forte baisse parmi les médecins généralistes par rapport à 2003 (29 % des médecins généralistes déclaraient fumer).
Les classes sociales défavorisées fument beaucoup plus que les populations plus aisées. On peut y voir plusieurs facteurs liés entre eux : premièrement, l'expérimentation et l'initiation au tabac commencent bien plus tôt chez les catégories défavorisées. A 17 ans, 25 % de la population française fume quotidiennement.
Selon les autorités scientifiques, un gros fumeur est une personne fumant plus de 25 cigarettes par jour. Les gros fumeurs constituent 26,7 % des fumeurs de cigarettes.
Baisse des tentatives d'arrêt de la cigarette
Parmi les personnes interrogées de janvier à mi-mars 2020, 32,7 % se disaient ainsi fumeuses, mais cette proportion a diminué à 30,5 % chez celles sondées en juin et juillet 2020, retrouvant le niveau de 2019 (30,4 %).
Les pays où l'on fume (au moins une fois de temps en temps) le plus sont la Grèce (37 %), la Bulgarie (36 %), la France (36 %) et la Croatie (35 %). Alors que la proportion de fumeurs n'atteint que 7 % en Suède et 17 % au Royaume-Uni.
Au sein de la population masculine, les Indonésiens sont les plus gros fumeurs (76%), suivis des Jordaniens (70%), des Chinois (47%) et enfin des Russes (59%). Selon l'OMS, plus de 5 millions de personnes meurent chaque année du tabac (1,5 million de femmes).
La pauvreté : un milieu propice au tabagisme
« L'indice de défavorisation sociale et matérielle de l'endroit où l'on habite influence la probabilité qu'on fume, en plus des facteurs individuels, comme notre sexe, notre âge, notre revenu ou notre scolarité », explique Benoit Lasnier, co-auteur de l'étude.
Si l'on compare précisément ces deux pays, 25,5 % de la majeure partie de la population française fume quotidiennement, contre 22 % en Espagne, la même année. Et l'on fume plus jeune, en France : 12 % des jeunes de 16 ans fument quotidiennement, en 2019, alors qu'ils sont 9 % de l'autre côté des Pyrénées.
20 % des plus riches. Selon le Baromètre santé 2016 sur le tabac, plus on est pauvre, plus on a de chance de fumer : entre 2010 et 2016, « la prévalence du tabagisme quotidien a augmenté de 35,2 % à 37,5 % parmi les personnes aux revenus de la tranche la plus basse.
Les hommes sont les plus nombreux à fumer : 33,3 %, vs 26,6 % pour les femmes. Les jeunes de 12 à 25 ans qui fument régulièrement consomment en moyenne 12 cigarettes par jour.
Dès que le tabagisme cesse, ces cellules commencent à se reproduire et à réparer la paroi des voies respiratoires. Jusqu'à 40 % des cellules pulmonaires des anciens fumeurs pourront éventuellement être pratiquement identiques aux cellules pulmonaires de gens qui n'ont jamais fumé.
Dans une étude publiée le 9 septembre dans le Journal de la gérontologie, des chercheurs ont étudié le patrimoine génétique des fumeurs «longue durée» et constaté que leur survie est peut-être dûe à une résilience innée de leur organisme.
Chez ces fumeurs, les risques liés au tabac sont confrontés à la résistance de toute une série de marqueurs génétiques. « Il existe des preuves que ces gènes peuvent faciliter l'allongement de la durée de vie en augmentant l'entretien et la réparation cellulaire », déclare Morgan E.
Les réponses à ces questions sont toutes catégoriquement affirmatives. En janvier 2013, lors des XXIIIèmes Journées européennes de la Société française de cardiologie, les cardiologues ont affirmé la chose suivante : « entre 70 et 79 ans, le sevrage réduit les risques de décès de 27 % ».
Les hommes fument plus que les femmes
Au sein de la population masculine, les Indonésiens sont les plus gros fumeurs (76 %), suivis des Jordaniens (70 %), des Chinois (47 %) et enfin des Russes (59 %).
Seuls 15% des adultes fument aux Etats-Unis : il s'agit de la plus faible proportion enregistrée depuis des décennies par les autorités sanitaires américaines.