Qu'il s'écrive en deux mots (« quel(s)… que ») ou en un seul, le « quelque(s) » qui marque une opposition est toujours suivi d'un verbe au subjonctif : « Quel qu'il soit, il faudra qu'il se montre » ; « quelque intelligent qu'il paraisse, il a échoué » ; « quelques efforts qu'il fasse, il n'y parviendra pas ».
- au subjonctif : après un verbe principal exprimant la volonté, le doute (Il veut que tu croies en lui. Il demandait que tu cédasses), après un verbe principal exprimant un fait simplement envisagé ou souhaité (Je ne crois pas que l'amour soit suffisant.
À la différence de « avant que », la locution « après que » est obligatoirement suivie d'un temps composé de l'indicatif : ici, il s'agit d'un passé antérieur. Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ».
Ces dernières introduisent un verbe au subjonctif : En cas qu'il vienne, tenez-vous prêts. Au cas où et dans le cas où, bien qu'ayant le même sens, commandent, elles, le conditionnel : on veillera donc à ne les faire suivre ni d'un verbe au subjonctif ni d'un verbe à l'indicatif, fût-ce un indicatif futur.
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Jusqu'à ce que + subjonctif. Il recula un peu jusqu'à ce qu'il eût atteint le lit. Toutefois on trouve l'indicatif dans certains textes littéraires, si le fait à exprimer est certain, et surtout s'il se rapporte au passé.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif.
« penses-tu qu'elle est malade ? » ou « penses-tu qu'elle soit malade ? » Mais si le verbe de la principale exprime la volonté, la crainte, le désir, le refus, le verbe de la complétive se met au subjonctif.
Il est possible que + subjonctif : Il est possible qu'il vienne demain.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Généralement, dans les livres de grammaires, on vous explique que : le subjonctif est un mode utilisé dans les subordonnées introduites par “que” pour exprimer des sentiments, des opinions, des doutes, des souhaits, des incertitudes, des possibilités, des hypothèses ou encore des conseils.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Présent + passé composé : Chaque soir, elle joue après qu'elle a révisé. Passé composé + passé surcomposé : Nous avons fui après que le monstre a été tué. Imparfait + plus-que-parfait : Ils se promenaient après que l'orage avait tonné. Passé simple + passé antérieur : Je vins après que tu fus parti.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
Je sais que où que est toujours suivi du subjonctif. Où que je sois allée, il n'y avait pas un chat.
Le subjonctif exprime traditionnellement un souhait, un désir, un ordre, un doute, un conseil ou une supposition. Il s'agit d'une action non-réalisée au moment où on s'exprime. La plupart du temps, ces verbes se retrouvent dans une proposition subordonnée introduite par la conjonction que ou quoi.
On dit : Il est vrai qu'il a beaucoup d'argent. Il est vrai qu'il a une grande maison. Pour les explications il faudra que tu attendes la prochaine réponse. Mais il n'est pas vrai que et est-il vrai que est généralemnt suivi du subjonctif.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Quand, lorsque, alors que, pendant que, après que, tandis que, depuis que, aussitôt que, sitôt que, comme, dès que, tant que seront suivies de l'indicatif. avant que, jusqu'à ce que, en attendant que seront suivies du subjonctif.
Par cause, on entend l'action ou la situation qui est à l'origine d'un évènement, et par conséquence, on veut dire l'évènement qui résulte d'une action ou d'une situation.
conditionnel
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
Il s'agit d'un temps simple. On le forme en ajoutant au radical du futur les terminaisons de l'imparfait : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient. Il s'agit d'un temps composé. Il est formé de l'auxiliaire être ou avoir, conjugué au présent du conditionnel, et du participe passé du verbe.