POUR RÉCAPITULER, RETENONS CE QUI SUIT : ga, go, gu : le son est dur. ge, gi, gy : le son est doux.
Devant les voyelles e, i et y la lettre g se prononce [ʒ]. Devant les voyelles a, o et u, le g se prononce [g]. On obtient le son [g] en ajoutant un u entre le g et les voyelles e ou i. Devant toutes les consonnes, g se prononce [g], sauf devant le n, le g se prononce [ɲ].
En français. En français, le g se prononce [ʒ] quand il précède un e, un i ou un y, [ɲ] quand il précède un n, dans tous les autres cas il se prononce [g].
Comme en anglais, le g dans ga, go, gu se prononce /g/, comme dans gâteau, Hugo, aigu. S'il y a une voyelle après gu-, on prononce la voyelle sans prononcer u: guide, guerre, Guy. À la fin d'un mot, -gue se prononce /g/: figue, blague, langue. (Le u ne se prononce pas.)
La lettre g se prononce différemment devant a, o, u et e,i. Devant a, o et u → gu comme dans gare. Devant i et e → je comme dans génial. La lettre c se prononce différemment devant a, o, u et e,i.
Lorsque les lettres gu sont suivies des voyelles e, é, ê ou i, on les prononce généralement [g], comme la lettre g dans le mot gare.
Les premiers mots illustrés avec photo débutant en G sont : GABA, gabarit, gabbro, gabbro lité, gabelle, gabion. Le dictionnaire compte 645 définitions de termes (mots et expressions) commençant par la lettre G. La lettre G est la 7ème lettre de l'alphabet français et la 5ème consonne.
POUR RÉCAPITULER, RETENONS CE QUI SUIT : ga, go, gu : le son est dur. ge, gi, gy : le son est doux. gea, geo, geu : le son est adouci par le e.
Dans de nombreux verbes, le son [j] s'écrit avec la lettre y.
Les graphies possibles du son [g] En français, le son [g] peut être transcrit par différentes graphies : g, gu, gg, gh et c. Cependant, les graphies g et gu sont les plus courantes pour écrire ce son, les autres variantes graphiques étant d'emploi beaucoup plus rare.
1Ce qui frappe l'ouïe, par l'effet de mouvements vibratoires rhythmiques et pendant quelque temps semblables à eux-mêmes, par opposition au bruit, où les mouvements sont confus, de durée et d'intensité inégales.
Devant les voyelles a, o et u, la lettre g se prononce [g] : un amigo (un ami). Pour former le son [g] devant un i ou un e, on emploie les lettres gu : un amiguito. Différent du français, le r espagnol est une lettre vibrante qui se prononce en plaçant le bout de la langue contre le palais pour la faire vibrer.
Prononciation. En français, J est une consonne fricative se prononçant [ʒ], comme dans « joue » ou « jardin ». Elle se prononce parfois [d͡ʒ] dans des mots empruntés à l'anglais tels que « jet-ski » ou « jazz ».
La consonne g, lorsqu'elle est prononcée [ʒ], apparaît surtout à l'intérieur des mots mais aussi à l'initiale, principalement pour des raisons étymologiques. Elle est plus fréquemment utilisée devant les voyelles e, i et y que la consonne j. En fait, on la rencontre toujours dans les mots français devant i et y.
C'est aussi ce qui fait le charme de la langue ! La lettre e avec un accent grave, è, fait le son [ɛ].
La graphie g représente le son [ʒ] devant un e, un i ou un y : page, village, magique, gymnase… La graphie ge représente le son [ʒ] devant un a ou un o : téléchargeable, échangeable, Georges, plongeoir, pigeon…
L'usage de ge- est superflu quand il est utilisé avec un nom qui n'est pas intrinsèquement masculin (ce qui inclut entre autres les noms de professions, d'animaux ainsi que les mots formés avec des suffixes tels que -an- et -ist-) : ainsi, au lieu de geamikoj, on peut dire plus simplement amikoj, à moins de vouloir ...
Le [ʒ] est une consonne qui se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies de son gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies, projetées.
Le son [g] s'écrit avec la lettre g comme dans le mot garçon, ou avec les lettres gu devant la lettre e comme dans le mot vague, et devant la lettre i comme dans le mot guitare.
G latin, γ, gamma grec, qui vient du g phénicien, nommé gimel, proprement le cou du chameau ; ainsi dit de sa forme.
En général, quand une voyelle commence un mot composé, on double la consonne qui suit lorsqu'après cette consonne il y a une voyelle. Enfin, on doit doubler la consonne dans la formation des temps des verbes, quand ce doublement a lieu à leur racine, qui est l'infinitif.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
G en fin de mot
bourg et tous les mots finissant par -bourg, comme par exemple Beaubourg, Cherbourg, Duisbourg, Édimbourg, faubourg, Fribourg, Hambourg, Iékaterinbourg, Johannesbourg, Kronenbourg, Luxembourg, Saint-Pétersbourg, Strasbourg… (mais notez que le G se prononce \k\ pour la liaison dans Bourg-en-Bresse)
Dernières remarques : le « h » se prononce, le « j » se dit « y » comme « yoyo » ; « qu » se lit « kv » ; « s » et « ß » (èss tssèt) se disent « ss » ; « sch » se prononce « ch » de même que « sp » devant « p », « t » et « s » ; « st » se lit « cht » ; « z » et « tz » se transcrivent « tss » et « x » se lit « kss ».