Résumés. La littérature haïtienne du xixe siècle a été largement négligée par les critiques. Même Stella, publié en 1859 et unanimement présenté par les historiens comme « le premier roman haïtien », a éveillé peu d'intérêt puisqu'on considère en général que c'est un roman historique plutôt amateur et ambigu.
Ayant marqué les débuts de la littérature haïtienne, Virginie Sampeur peut être considérée comme la première poète et la première femme de lettres haïtienne.
Demesvar Delorme est le premier de ces grands théoriciens. Le premier grand prosateur de la littérature haïtienne.
Selon plusieurs sources, les premières nouvelles littéraires haïtiennes ont été écrites en 1836 par Ignace Nau qui, selon Léon-François Hoffmann, est « le premier Haïtien à avoir écrit des œuvres d'imagination en prose » (109).
Les premières œuvres littéraires connues composées en grec ancien sont des épopées mythologiques (Iliade et Odyssée d'Homère, Théogonie d'Hésiode, etc.).
La période qui s'étend de 18 est connue comme l'époque des pseudo-classiques ou des pionniers.
Emeric Bergeaud a écrit le premier roman haïtien, Stella. Le roman a été publié en 1859 à Paris, un an après la mort de l'auteur.
Le fondement de l'enseignement en Haïti fut d'abord posé par le gouverneur de Saint-Domingue, Toussaint Louverture.
Au début du 20e siècle, naissait en Haïti le mouvement indigéniste. De ce mouvement est issue une nouvelle peinture. Elle se proclame ethniciste, c'est-à-dire qu'elle privilégie l'histoire, la géographie, les paysages, le folklore et la culture d'Haïti. Elle met surtout en avant l'appartenance raciale à l'Afrique.
Il revient à Ussol (pseudonyme utilisé par le chef de fil de la tendance critique de l'inexistence d'une littérature haïtienne) de trouver la formule la plus lapidaire pour clouer au pilori une possible existence de la littérature haïtienne.
Virginie Sampeur, la première poétesse haïtienne.
Son père, Mathurin Boisrond, est charpentier. Selon la tradition, le surnom ajouté à son nom de famille, Tonnerre, lui serait donné le jour de sa naissance par son père, suite au foudre impressionnant qui éclate ce jour-là.
Oswald Durand est le premier grand poète de la littérature haïtienne. On peut considérer qu'il a réussi un doublé significatif puisqu'il a su s'imposer d'abord comme le premier des poètes haïtiens et qu'il est aussi le premier à avoir écrit un poème en langue haïtienne dont la célébrité dépasse les frontières d'Haïti.
Les 4 grandes périodes de l'histoire sont: l'Antiquité, le Moyen Age, l'époque moderne, l'époque contemporaine.
L'histoire de la littérature haïtienne démarre à partir du 1er janvier 1804, date à laquelle fut proclamée l'indépendance d'Haïti, autrement dit, la naissance de cette première République noire.
La troisième édition de la rentrée littéraire des Presses Nationales d'Haïti en 2008 s'est faite uniquement avec des textes créoles en prose : Louis-Philippe Dalembert et Jean-Euphèle Milcé y ont participé. En fait, près de la moitié des écrivains ayant participé à cet ouvrage ont aussi une œuvre en créole.
Un écrivain, ou une écrivaine, est, à l'origine, une personne qui est habile dans l'art d'écrire ou qui en fait son métier (les maîtres écrivains). Par la suite, le terme a désigné l'auteur d'ouvrages littéraires, également désigné par l'expression « homme de lettres » ou « femme de lettres ».
Petite histoire du mot « littérature »
Le mot est emprunté au latin litteratura, utilisé tant par Cicéron que par Quintilien pour donner un équivalent au grec grammatikê, qui désigne l'ensemble des caractères de l'alphabet et de la grammaire. Pour Cicéron, la littérature est l'état de l'homme qui « a des lettres ».
Parmi les auteurs d'histoires de la littérature française, on peut citer : Au XIX e siècle, outre Lanson, Désiré Nisard (1844-1861, scolaire), Nicolas Eugène Géruzez (1860), Charles Gidel (1874-1883), Ferdinand Brunetière (1880-1907), Jean-Jacques Weiss (1891).
Capacité de 600 élèves. Dimension moyenne des bâtiments 39m2 (le plus grand 50m2) Nombre totaux de travailleurs de la construction employés : 500+ Nombre de maçons formés aux normes et protocoles des États-Unis: 200.