Les sports à privilégier pour développer la confiance en soi
Si vous avez du mal avec les contacts physiques, ou besoin de prendre en assurance, les sports de combat sont la solution idéale. Boxe, judo, karaté… peu importe celui que vous choisissez, tous ont en commun la concentration et le contact physique.
Si l'enfant a du mal à se concentrer, l'équitation va aussi l'aider à se focaliser.
Offrez à votre enfant une routine stable et des règles claires. Cela favorise le développement d'un sentiment de sécurité qui l'aide à construire son estime de soi. Félicitez-le pour ses efforts quand il fait, par exemple, une tâche plus difficile.
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
Le sprint, la boxe ou le squash. Efficace sur le moment, la gesticulation agressive n'apaise ni ne modifie en profondeur le tempérament colérique.
Entrent dans cette classification, toutes les activités de sprint que l'on peut pratiquer aussi bien dans l'athlétisme, la natation, le cyclisme, également au rugby, au handball ou au basket mais aussi dans des sports de combats comme la boxe. Ces pratiques leur permettront de décharger l'énergie négative.
Pour avoir confiance en lui, votre enfant doit savoir qu'il peut très bien se débrouiller seul, sans vous. A vous de l'encourager à aller vers les autres et à se confronter à l'inconnu. Apprenez-lui les gestes de tous les jours sans le pousser trop.
Parmi les méthodes rapides et à courte échéance, les thérapeutes recommandent par exemple l'hypnose. Cette technique guide la personne à travers un état de sommeil éveillé afin de mettre le doigt sur quelques blocages ou problèmes latents qui affectent sa confiance en soi.
Dites-lui que l'important c'est de participer. Que votre amour n'est pas soumis à condition, qu'il a le droit de rater, de faire des erreurs. N'hésitez pas à montrer aussi vos faiblesses. Pour lui redonner confiance, laissez-le choisir une activité qui réponde à ses désirs, dans laquelle il se sente valorisé.
Les sports de combat pour développer la force physique et mentale. Les arts martiaux, les sports de combat défoulent dans un esprit de respect. Ils apprennent à se défendre et à vaincre l'adversaire « à la loyale ». Ils permettent de gagner en puissance physique, en force mentale et en équilibre.
1- Football américain
Le football, c'est le sport cliché des commotions. Près de la moitié des commotions rapportées dans le sport de niveau secondaire proviennent du football. Il a aussi le plus haut taux de commotions, avec 70,4.
Elle confirme qu'une seule séance d'activité physique (marche, course, vélo), de deux minutes à une heure, d'intensité modérée à élevée, suivie d'une brève récupération, a des effets positifs sur l'apprentissage, la mémoire, les fonctions cognitives liées à la concentration et l'attention des jeunes adultes de 18 à 35 ...
En explorant les bénéfices du sport sur la mémoire et l'apprentissage moteur, des scientifiques de l'Université de Genève (UNIGE) démontrent qu'une séance d'exercice physique intensif aussi brève que 15 minutes de vélo améliore la mémoire, notamment l'acquisition de nouvelles compétences motrices.
Pourquoi fait-il ça ? Il arrive à l'âge où il prend conscience de son individualité, il sait qu'il ne pense pas toujours comme ses parents ou comme les autres adultes, il cherche à former sa propre personnalité en vous montrant qu'il ne suit pas vos règles.
Un enfant qui n'a pas confiance en lui peut être un enfant qui se dévalorise "je suis nul", "je suis bête" qui ne sent pas capable de faire seul. Cela peut être en classe, l'enfant a peur de participer, de se tromper, il doute de ses capacités ou bien avec ses camarades, il a peur d'aller vers eux.
En effet, une éducation trop permissive ou au contraire trop stricte, la surprotection des parents, la peur d'échouer ou de mal faire sont autant de facteurs qui peuvent altérer la confiance en soi. Sans oublier la peur de se mettre en valeur, le sentiment d'être incompris(e), un état d'esprit négatif.
Les personnes psychorigides manquent en réalité souvent de confiance en elles. "Il faut", "c'est comme ça et pas autrement", "il n'y a que cette manière de faire qui soit la bonne": ces injonctions reviennent sans cesse dans la bouche d'une personne psychorigide.
Encourager la responsabilité personnelle de l'enfant
Gagner de la force mentale implique fatalement d'accepter de nouvelles responsabilités personnelles. Il est donc nécessaire de permettre à l'enfant d'expliquer ses actes, sans qu'il ne donne d'excuses ou qu'il ne rejette la faute sur les autres.