Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
Le taux normal serait de moins de 1 µg/l/10 cc de volume de prostate. Le rapport PSA libre / PSA total pour un taux de PSA total compris entre 4 et 10 ng/ml, un rapport < 5 % est évocateur d'un cancer, à l'inverse, un rapport >30 % est plus en faveur d'une maladie bénigne de la prostate.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Le PSA existe dans le sang soit sous forme liée à des protéines, soit sous forme non liée (PSA libre). Le PSA total représente l'ensemble des deux formes alors que le PSA libre mesure seulement la forme libre. Lors d'un cancer, la fraction (rapport) de la forme libre diminue.
Le PSA libre est une fraction du PSA (PSA = PSA libre + PSA lié). Plus le taux de PSA libre est faible, plus le risque de cancer est élevé. Le taux de PSA dans le sang est exprimé en nanogrammes par millilitres (ng/ml) et le résultat est habituellement considéré comme normal si le taux est inférieur à 4 ng/ml.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
– Utilisation du PSA libre. Lorsque le taux de PSA est compris entre 4 et 10, le risque de cancer augmente si le rapport entre PSA libre et total est inférieur à 20%. – Vélocité du PSA. C'est l'augmentation du PSA au fil du temps.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Dans le cas d'un taux de PSA supérieur à 10 dans le sang, le risque de cancer de la prostate est très élevé et demandera des examens complémentaires. Pour un taux entre 4 et 10, le risque de cancer est beaucoup plus faible mais demandera aussi des examens complémentaires si le taux de PSA libre diminue.
Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
Concernant l'alcool, mieux vaut faire attention aux alcools blancs comme le vin blanc, le champagne et la bière qui favorisent les troubles et les infections urinaires, mais n'ont pas d'effets directs sur la croissance tumorale.
Des chercheurs ont mis en évidence que les hommes ayant un haut niveau de stress avaient tendance à avoir un taux de PSA plus élevé.
En temps normal, une petite quantité de PSA est en permanence présente dans le sang, à moins de 4 nanogrammes par millilitre. Il varie toutefois en fonction de multiples facteurs, et tend notamment à augmenter avec l'âge.
Normalement, le PSA se situe en dessous de 4 nano-grammes par ml (ng/ml). Un taux élevé de PSA ou sa progression rapide de 0.75 ng/ml par an sont des éléments qui font suspecter un cancer de la prostate.
Le dosage du PSA
Le dosage du taux de PSA (Prostate Specific Antigen) par prise de sang est un élément indispensable du dépistage du cancer prostatique. Cette substance est le marqueur tumoral présent dans la prostate et le sang capable. Il permet d'indiquer la présence d'une anomalie.
La maladie peut également engendrer des troubles sexuels (dysfonctions de l'érection, éjaculations douloureuses). Si la tumeur s'étend, des douleurs au niveau des os (dos, bassin, jambes) peuvent survenir, ainsi qu'une fatigue et une perte de poids.
« Après prostatectomie totale, enlevant par définition tout le tissu prostatique, bénin et malin, le taux de PSA doit devenir nul ou indétectable (inférieur à 0,07 ou 0,1 ng/ml généralement). La méthode de dosage du PSA dite "ultrasensible" est particulièrement adaptée au suivi des patients après prostatectomie totale.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
"La capsaïcine a eu un profond effet anti-proliférant sur les cultures de cellules humaines de cancer de la prostate", a souligné l'un des chercheurs ayant participé à l'étude. La découverte est de taille lorsqu'on sait que 680 000 hommes sont atteints chaque année d'un cancer de la prostate dans le monde !
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Quelles sont les complications de l'hypertrophie de la prostate ? Une vessie qui ne se vide pas correctement augmente le risque d'infection urinaire et de problèmes rénaux. Certains hommes qui souffrent d'hypertrophie bénigne de la prostate sont victimes de calculs urinaires dans la vessie ou d'infections à répétition.