Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Il y a peu de différences entre diabète de type 1 et 2 en ce qui concerne les complications. L'hyperglycémie prolongée aura dans les deux cas des effets délétères sur les artères, avec des atteintes rénales, cardiovasculaires ou encore visuelles.
Quelles sont les conséquences du diabète de type 2 ? Après plusieurs années d'évolution, le diabète entraîne des complications graves, pouvant survenir après 10 à 20 ans de déséquilibre glycémique. La maladie peut provoquer une cécité et des atteintes aux pieds pouvant aller jusqu'à des amputations.
Un diabétique de type 1 qui ne prend pas son insuline peut mourir à tout moment. Sachant cela, les diabétiques de type 1 ont tendance à bien gérer leur glycémie.
On distingue principalement deux types de diabète : le diabète de type 1 qui touche environ 6% des diabétiques et le diabète de type 2 qui en touche 92 %. Les autres types de diabète concernent les 2 % restants (MODY, LADA ou diabète secondaire à certaines maladies ou prises de médicaments).
L'appellation "diabète de type 3" est très controversée. Il s'agit en fait du surnom donné à la maladie d'Alzheimer, considérée par certains chercheurs comme une nouvelle forme de diabète, localisé au niveau du cerveau. Le point avec le Dr Maï Panchal, directrice scientifique de la Fondation Vaincre Alzheimer.
Groupe 4 : ce diabète est observé chez des personnes obèses, mais dont le métabolisme est beaucoup plus proche de la normale que chez celles du groupe 3. Groupe 5 : il apparaît chez des personnes d'âge moyen, plus vieilles que dans les autres groupes, et il a tendance à être moins grave.
Le diabète de type 2 est de loin le plus fréquent. Il est lié à l'interaction de plusieurs gènes de prédisposition et de facteurs environnementaux (alimentation, sédentarité, tabac). Ainsi, le diabète de type 2 est favorisé par le mode de vie « occidental », plus sédentaire qu'avant, par l'obésité et l'âge.
Causes et facteurs favorisants du diabète. Le diabète est favorisé par une prédisposition génétique. Le diabète de type 1 survient suite à une réaction anormale du système immunitaire. La survenue du diabète de type 2 est essentiellement liée au mode de vie : surpoids, sédentarité, hypertension artérielle, etc.
Quel taux de glycémie dangereux ? Quel taux pour être diabétique ? Un taux de glycémie trop bas (hypoglycémie) c'est à dire qui est inférieur à 0,70g par litre à jeun peut être dangereux pour la santé; tout comme un taux de sucre trop élevé (hyperglycémie), c'est à dire supérieur à 1,26g par litre à jeun.
et une qualité de vie altérée, l'impact sur l'espérance de vie est mineur. En revanche, le diabète de type 2 diagnostiqué avant 40 ans “coûte” six à huit ans de vie. Mais ce n'est pas tout.
L'amélioration de la condition physique, la perte de poids et une alimentation contenant peu de graisse ainsi que des mesures comme la diminution du stress, des excès d'alcool et de la consommation (voire l'arrêt) de tabac permettent en effet de retraverser dans l'autre sens la limite arbitraire entre diabète et non- ...
Diabète et articulations. Ces complications du diabète concernent les membres supérieurs (doigts, main, poignet, coude ou épaule) mais aussi les pieds. Elles peuvent se traduire par une gêne ou un blocage des mouvements, des fourmillements, une sensation d'engourdissement ou des douleurs.
Une simple analyse de sang suffit en effet à poser le diagnostic. Un diabète de type 1 est avéré lorsque la glycémie (taux de sucre dans le sang) dépasse les 2 g/l à n'importe quelle heure de la journée, ou lorsqu'elle est supérieure à 1,26 g/l à jeun, et à deux reprises.
une perte d'appétit ; une somnolence ; des troubles de la vue plus importants ; un parfum fruité de l'haleine et une odeur anormale des urines dus à la production de corps cétoniques (substances issues de la dégradation des graisses dans l'organisme).
On distingue 2 principaux types de diabète : le diabète dit « de type 1 », dû à une absence de sécrétion d' insuline par le pancréas ; le diabète dit « de type 2 », dû à une mauvaise utilisation de l' insuline par les cellules de l'organisme.
Le diabète se soigne, mais ne se guérit pas.
Diabète : aliments à éviter
Le riz rapide, la purée de pomme de terre, les frites (à consommer une fois par semaine au maximum), les chips, les plats cuisinés du commerce, les viennoiseries, pâtisseries et les céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées.
Elle consiste à privilégier les fruits, légumes, féculents, poissons… et à limiter la consommation de produits sucrés, salés et gras ; qui couvre vos besoins, en quantité adaptée à chacun pour apporter l'énergie nécessaire au fonctionnement de l'organisme.
Les kiwis. Les kiwis sont excellents pour réguler la digestion et réduire le taux de cholestérol grâce à leur richesse en fibres et en vitamine C. Leur taux de sucre est similaire à celui des fraises (7-8 %), ils sont donc recommandés dans le cadre d'un régime diabétique.
Certains fruits font partie des aliments interdits pour le diabète, comme la cerise, la mangue ou la banane (ce sont les fruits les plus sucrés). En effet, le fructose des fruits peut augmenter la glycémie.
La phase pendant laquelle la glycémie est au-dessus des valeurs considérées comme normales (> 1,10 g/l ou 6,0 mmol/l) mais au-deçà du seuil défini pour le diabète de type 2 (1,26 g/l ou 7,0 mmol/l) est décrite comme une phase de troubles de la glycorégulation ou état de prédiabète.
L'acidocétose diabétique est une complication aiguë du diabète qui consiste en une élévation de l'acidité du sang liée à l'accumulation de substances toxiques pour l'organisme, les corps cétoniques.
Une équipe de médecins explique qu'« une bonne hydratation semble réduire la glycémie en diminuant la résistance à l'insuline tout en réduisant le besoin d'une personne de prendre plus de boissons ou de nourriture pendant la journée.
Le diabète de type 1 (autrefois appelé diabète insulino-dépendant) est purement héréditaire. Il est dû à l'insuffisance voire l'absence de sécrétion d'insuline par le pancréas, une hormone indispensable au contrôle du taux de sucre dans le sang.