Conclusion : haut potentiel, zèbre, surdoué, etc. : pas de différence ! Vous l'aurez compris, toutes ces expressions désignent la même personne. C'est d'ailleurs pour ça que des fois vous pourrez trouver des « mix » entre elles : un zèbre surdoué, un surdoué atypique, un zèbre laminaire, etc.
L'une des principales différences entre les HPI et les HPE réside dans l'équilibre respectif de l'investissement des potentiels intellectuel et émotionnel pour ces deux types de haut potentiel : les personnes HPI ont toujours un quotient intellectuel très élevé (mesuré par le QI) et souvent un quotient émotionnel assez ...
En 1982, Annemarie Roeper avait déjà proposé une classification en cinq profils des enfants surdoués, basée sur les tactiques qu'ils utilisent pour faire face à leurs émotions. Elle a ainsi identifié l'enfant perfectionniste, l'enfant / adulte, le vainqueur de la compétition, l'autocritique, et l'enfant bien intégré.
En gros l'avantage des surdoués, c'est qu'ils réfléchissent vite et bien. Un zèbre est une personne visionnaire, capable de déceler des tendances et des besoins. Ce sont également des salariés qui cernent très vite leurs collègues et les aspirations qui guident les uns et les autres.
Auteur, philosophe, musicien, chanteur (les métiers artistiques en général) Acteur, scénariste. Consultant. Coach en développement personnel ou autre type de coaching.
La solitude intellectuelle chez le haut potentiel intellectuel. Autre raison de la solitude chez les surdoués c'est la solitude intellectuelle. En fait on n'est pas stimulés par les mêmes choses que les autres. On n'a pas les mêmes occupations, les mêmes envies, les mêmes besoins.
Les personnes HPI ont un cerveau plus volumineux et plus puissant, en moyenne, que le reste de la population. Mais le plus important pourrait résider dans la force de certaines connexions neuronales qui améliorent le « dialogue » entre différentes régions du cerveau.
Une personne à haut potentiel (HP) se distingue par un fonctionnement cognitif spécifique, dit neuro-atypique. Ce type de fonctionnement est à l'origine de différents traits caractéristiques sur le plan de la pensée, de la perception et de la sensibilité et permet une grande efficience intellectuelle.
C'est au regard de tout cela que les personnes HPI peuvent parfois paraître lointaines ou « dans leur monde ». Comme les personnes hypersensibles, elles sont facilement captivées et accaparées par ce qu'elles perçoivent de leur environnement et qui reste inaccessible à la plupart des gens.
En cas de crise, le docteur Foussier recommande aux surdoués "d'attendre sans rien dire ou d'énoncer des choses très neutres, de parler d'autre chose", et surtout de "ne pas intervenir sur l'origine de la charge émotionnelle".
Être zèbre est un autre terme pour Haut Potentiel, HP, surdoué ou précoce. Jeanne Siaud-Facchin a introduit ce terme car les zèbres sont difficilement apprivoisables, ils se fondent dans le décor tout en se distinguant de ce décor par des caractéristiques propres à chacun d'eux (leurs rayures)...
Ainsi, sont considérées comme surdouées ou HPI, les personnes dont le QI est supérieur à 130 : elles ne représentent que 2,3 % de la population. 50 % de la population obtient un score de QI situé entre 90 et 110. « Mais être surdoué, c'est quand même beaucoup plus qu'un QI.
Une personne à Haut Potentiel (HP) a un mode de fonctionnement singulier, un raisonnement qui lui est propre. A l'heure actuelle, le Haut Potentiel est scientifiquement définit par un Quotient Intellectuel (QI) supérieur à 130 (la moyenne étant de 100).
Elle explique qu'elle a choisi ce terme pour désigner les personnes surdouées ou les profils à Haut Potentiel parce que malgré leur ressemblance, leurs rayures noires et blanches, chaque zèbre possède une robe unique qui lui est propre.
En effet, un zèbre n'a pas des pensées foisonnantes qui partent dans n'importe quels sens, mais plutôt des pensées par associations d'idées, inspirées, guidées, sur différents plans, différents aspects, différents niveaux…et c'est en cela que son fonctionnement est très intéressant.
Hypersensible, anxieux, perfectionniste... Un surdoué adulte est souvent en décalage avec les autres malgré ses efforts pour se fondre dans la masse. Voici les conseils d'Yvane Wiart, chercheuse en psychologie, pour mieux le comprendre et l'aider dans un quotidien souvent compliqué à gérer.
A l'origine de ce mal-être présent chez bon nombre de surdoué, on retrouve en fait la difficulté à trouver sa place. Un surdoué, qu'il soit un homme, une femme ou un enfant, a tendance à rechercher dans ses relations une intensité, une profondeur de la relation que l'autre n'est pas toujours à même de donner.
Leur écriture est souvent mauvaise parce que la motricité de leur main ne suit pas la rapidité du développement intellectuel.
Est-ce que les surdoués s'attirent entre eux ? Dans le plus souvent des cas, les HP se reconnaissent entre eux. Il n'est pas rare de voir une personne HP rentrer plus facilement en contact, et ce, de façon intuitive, avec une personne qui est également un haut potentiel.
Un espace d'écoute et de sensibilisation pour aider un enfant à haut potentiel. En fonction de l'âge de l'enfant, il est possible de proposer au minimum de sensibilisation pour expliquer le fonctionnement atypique au principal intéressé et à son entourage.
Toutefois, pour détecter "officiellement" un HPE, on peut mesurer le quotient d'intelligence émotionnelle (QE) qui regroupe différentes questions divisées en plusieurs catégories (perception de soi, expression individuelle, gestion du stress, prise de décision, relations humaines...).