Une périphrase (substantif féminin), du grec peri (« autour ») et phrazein (« parler ») periphrazein : « exprimer par circonlocution », est une figure de style de substitution qui consiste à remplacer un mot par sa définition ou par une expression plus longue, mais équivalente.
La périphrase est la figure de style dans laquelle on dit en plusieurs mots ce que l'on pourrait dire en peu de mots. Généralement, on remplace le mot par un groupe de mots qui le définit de façon imagée.
Figure de rhétorique qui substitue au terme propre et unique une suite de mots qui le définit ou le paraphrase de manière imagée (par exemple la Ville Lumière pour désigner « Paris »).
La périphrase est une figure de style qui consiste à exprimer en plusieurs mots ce qu'on aurait pu dire en un seul terme. L'utilisation de cette figure permet d'éviter les répétitions.
Une périphrase verbale est composée de deux segments que l'on ne peut séparer (sauf dans de rares exceptions). Le premier segment est un verbe conjugué, et le second est un verbe à un mode impersonnel (le plus souvent l'infinitif).
Définition de l'antiphrase. L'antiphrase est une figure de style par laquelle on dit quelque chose dans le but d'exprimer le contraire de ce que l'on pense réellement, afin de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose.
On définit généralement sept verbes comme étant des semi-auxiliaires. Il s'agit des verbes aller, venir, devoir, pouvoir, savoir, vouloir et faire.
« Périphrase » est, à l'origine, un terme de rhétorique. Dans ce domaine, la périphrase fait partie des figures de style et désigne un groupe de mots qui remplace un mot unique, dans divers buts. L'un de ceux-ci est d'obtenir plus d'expressivité.
Il est courant d'utiliser des périphrases pour désigner : des lieux comme un pays (la « Terre des Dieux » pour la Grèce), une ville (la « Ville rose » pour Toulouse), un espace maritime (la « Grande Bleue » pour la Méditerranée), une montagne (le « Toit du Monde » pour l'Himalaya).
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Événement imprévu, incident qui intervient dans le déroulement d'une action, marquant un changement : Une œuvre fertile en péripéties.
1. Long voyage comportant beaucoup d'étapes touristiques : Faire un grand périple en Grèce. 2. Dans l'Antiquité, navigation autour d'une mer, d'un pays, d'une partie du monde ; ouvrage relatant un tel voyage.
Si on peut ajouter « comme » (mais qu'on n'ajoute pas « comme »), c'est une métaphore, et si l'expression joue avec de l'information supplémentaire, c'est une périphrase.
Une métaphore est une figure de style qui consiste à désigner une idée ou une chose en employant un autre mot que celui qui conviendrait. Ce mot est lié à la chose que l'on veut désigner par un rapport de ressemblance.
La litote consiste donc à dire moins pour suggérer plus. La plus connue est contenue dans Le Cid de Corneille. Dans l'acte III, scène IV, Chimène s'adresse à Rodrigue en ces termes : « Va, je ne te hais point ! », pour lui signifier qu'elle l'aime encore.
L'expression désigne l'Everest, mais également toute la chaîne de l'Himalaya ainsi que les territoires du Tibet, du Bhoutan, de l'Inde du Nord et du Népal. Ce territoire qui semble faire le lien entre ciel et terre est une zone prisée des randonneurs aguerris depuis des décennies.
La périphrase est une figure de style qui permet d'éviter les répétitions, notamment dans les articles de journalistes, en renvoyant à une culture commune. Elle donne aussi la possibilité de mettre l'accent sur certaines caractéristiques d'une notion pour les faire ressortir.
« C'est malin ! », pour signifier au contraire que c'est complètement idiot. « Cet honnête homme », pour exprimer que c'est un fripon. « C'est la vie de château, pourvu que cela dure ! », alors que les conditions de vie sont difficiles.
La métonymie exprime une réalité par le nom d'une autre réalité ayant un lien avec la première (par glissement de sens). Elle établit diverses relations : la partie et le tout (une bonne plume pour un bon écrivain) l'objet et sa matière (un fer pour un fer à repasser)
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Les verbes d'état sont être, paraître, sembler, devenir, rester, ... Le verbe d'état permet d'indiquer un état ou un changement d'état et introduit un attribut du sujet.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
Qui recouvre le fait de parler pour parler, souvent de parler pour ne rien dire. (En particulier) Qui a une fonction de pure civilité et ne veut rien dire en soi. « Je vous prie » est une phrase phatique : on ne « prie » pas vraiment l'interlocuteur auquel on s'adresse.