n.f. Repas, fête.
Difficultés. On écrit avec ou sans trait d'union : un opéra-bouffe, un opéra bouffe. - Plur. : des opéras-bouffes, des opéras bouffes.
Bouffer, ça veut tout simplement dire manger. Manger. C'est familier et il y a l'idée de manger beaucoup et de manger de la nourriture qui n'est pas spécialement fine. C'est-à-dire si tu vas manger plein de pizza, tu vas dire : « ouah, j'ai bouffé plein de pizza ».
Le mot “bouffe” vient du verbe familier bouffer, attesté en 1160 au départ mais avec pour sens le fait de gonfler les joues, d'abord de colère, puis, attesté en 1535, ce fut avoir les joues gonflées de nourriture... d'où le fait que bouffer fut assimilées à manger très gloutonnement.
Bouffer, c'est se gaver, bâfrer, s'empiffrer, se goinfrer ; c'est, selon son étymologie, se faire gonfler (bouffer) les joues tant on emplit sa bouche de nourriture. Manger, c'est se nourrir, déguster, apprécier, goûter.
Du moyen français manger , de l'ancien français mangier , issu du latin manducare (« mâcher » et « manger » en latin populaire »), lui-même issu de mandere (« manger »).
absorber, avaler, consommer, engloutir, engouffrer, ingérer, ingurgiter. – Argotique : briffer. – Familier : enfourner. – Populaire : bouffer, boulotter.
– Populaire : bâfrer, becqueter, becter, boulotter, croûter, s'en fourrer jusque-là, se goinfrer, grailler, gueuletonner, manger à s'en faire péter la sous-ventrière, manger comme un chancre, s'en mettre plein la gueule, s'en mettre plein la lampe, se mettre quelque chose dans le cornet, morfaler.
bouffer v.t. Manger. bouffer (se) v.pr. Se bouffer le nez, se quereller.
– Familier : gras à lard, gras comme un cochon, gras comme un moine, grassouillet, pansu, rond, rondelet, rondouillard, ventripotent.
Bouffer, c'est se gaver, bâfrer, s'empiffrer, se goinfrer ; c'est, selon son étymologie, se faire gonfler (bouffer) les joues tant on emplit sa bouche de nourriture. Manger, c'est se nourrir, déguster, apprécier, goûter.
1. Exhalaison ou inspiration soudaine et intermittente par la bouche : Aspirer une bouffée de tabac. 2. Souffle rapide et passager de l'air, d'une vapeur, etc. : Des bouffées d'air frais.
« Ça marche », ça veut dire « d'accord », ça veut dire « je suis d'accord », ça veut dire « OK ». Par exemple, si quelqu'un te demande : « On va au cinéma demain ? », tu peux répondre : « Ça marche ! ». Ça veut dire « je suis d'accord.
« Je m'affolamoure », « je t'extraime » ou encore « j'ai le boum boum ».
L'espression "T'es frais" ou "T'es fraîche" utilisée par nos ados vient d'un mot d'argot américain fresh qui se traduit par beau, joli.
(Surtout oral, argot des jeunes) Courtiser, draguer une jeune fille.
Bouffées de chaleur nocturnes : pourquoi ai-je si chaud la nuit? Alors que vous vous couchez dans votre lit pour vous préparer à dormir, votre corps passe par plusieurs changements, tels qu'une augmentation des hormones du sommeil comme la mélatonine, ainsi qu'une petite chute de la température corporelle.
Définition de jusqu'au-boutiste nom et adjectif
Personne qui va jusqu'au bout de ses idées, de son action (notamment en politique). ➙ extrémiste.
Se réveiller en sueur est le symptôme de ce trouble du sommeil qui touche les hommes et les femmes. Trouble souvent bénin, les causes des sueurs nocturnes sont généralement liées à un dérèglement hormonal. Cependant elles ne sont pas à négliger car elles peuvent également être le signe d'un problème de santé.
Un beau gosse, une belle gosse, beau garçon, belle fille.
Se dit d'un jeune homme lorsqu'il est beau et physiquement attirant ou qu'il est bien habillé. "Beau gosse" est un terme familier appartenant plutôt au vocabulaire des jeunes. Exemple : Son premier petit ami était magnifique. Un vrai beau gosse.
Les traits de la personne psychorigide
Elles ont aussi généralement un côté obsessionnel et perfectionniste à l'extrême, qui les pousse à vouloir tout gérer, tout contrôler (tout doit être organisé, planifié. Tout doit être rangé...). Elles ont toujours raison et ne se remettent en question que très rarement.
soliloquium (ives., St Augustin), « soliloque, monologue », de solus « seul » et loqui « parler ». Fréq. abs.