La revue Nature nous dévoile que l'Homo erectus a survécu jusqu'à il y a un peu plus de 100 000 ans. Ce qui est bien plus récent que ce qui était cru jusqu'alors. En effet, cette espèce ancêtre de l'homme moderne a évolué il y a 2 millions d'années et est la première connue à marcher debout.
Sahelanthropus tchadensis, nommé Toumai, découvert près du Lac Tchad, est considéré par certains comme une des premières espèces de la lignée humaine. Plus récents et plus nombreux sont les restes d' australopithèques découverts en Afrique du Sud et dans le système de Rift africain, en Ethiopie et au Kénya..
Homo sapiens est le seul hominidé sur la Terre depuis 25 000 ans environ. Nous nous sommes habitués à notre particularité, au point que, dans les années 1950 et 1960, certains anthropologues pensaient que les espèces d'hominidés s'étaient succédé, sans jamais coexister.
L'espèce humaine a 300 000 ans, et les paléontologues nous disent qu'une espèce de vertébré est morphologiquement stable dans le registre fossile durant un million d'années maximum. Par conséquent, même si l'humain se croit exceptionnel, deux destins peuvent s'offrir à lui.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
plus généralement, changement climatique ; forte géoingénierie du Soleil ; explosion d'une supernova à faible distance du système solaire ; sursaut gamma orienté vers notre région de la galaxie.
Cela repousse de 100 000 ans les origines de cette espèce… 2019 En Asie, aux Philipines, un nouvel homininé est découvert sur l'ile de Luçon. Homo luzonensis vivait il y à 50 000 ans. C'est donc un contemporain de Néandertal et Sapiens.
Une chose est sûre : il y a environ 10 millions d'années, les premiers hominidés sont apparus en Afrique, et il a fallu attendre au moins 4 millions d'années pour qu'ils se dressent sur leurs jambes.
Le cœlacanthe est l'espèce animale vivante la plus ancienne : ce poisson primitif existait il y a 400 millions d'années, bien avant les dinosaures ! Avec ses grosses nageoires et ses écailles épineuses bleues ou brunes, il ressemble fort à ses ancêtres, dont on a retrouvé de nombreux fossiles.
Âge estimé de l'animal : 507 ans. Ming est un bivalve de l'espèce Arctica islandica (praire d'Islande ou cyprine), cousine de la palourde. Le spécimen a été récolté il y a une dizaine d'années dans les eaux côtières islandaises par des chercheurs britanniques de l'université de Bangor (pays de Galle).
Le sphénodon : on l'appelle aussi tuatara ou hattéria. Le sphénodon est un reptile apparu il y a plus de 220 millions d'années. Il s'agit de ce qu'on appelle un animal panchronique, ou fossile vivant, c'est à dire que sa forme actuelle est très proche de celle d'espèces que l'on connaît sous la forme de fossiles.
Selon Kasun Ratnayake de l'Université de Tolède cité par le DailyMail, les humains du futur pourraient développer une paupière interne plus grande pour se protéger de l'exposition excessive à la lumière, ou avoir un cristallin, à l'intérieur de l'oeil, adapté à la lumière bleue.
7 000 000 d'années : apparition des premiers ancêtres de la lignée des « hommes ». 3 500 000 ans : début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli (Afrique, Tanzanie).
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
Le plus vieux “français” connu, qui vivait il y a 450 000 ans ! Le préhistorien Henry de Lumley a découvert son crâne dans une grotte de Tautavel (Pyrénées-Orientales) en 1971. Doté de gros bourrelets orbitaux et d'une mâchoire proéminente, Homo heidelbergensis (son nom scientifique) ne maîtrisait pas encore le feu.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
Il s'appelle Toumaï ! Du haut de ses 7 millions d'années, c'est lui qui détient aujourd'hui le titre de doyen de l'humanité. Son crâne a été mis au jour lors de fouilles, en 2001, au Tchad, un pays situé au centre de l'Afrique.
De nombreuses hypothèses découlant de cette question
D'après certains spécialistes, la vie sur Terre aurait pour origine des molécules et des micro-organismes venant de notre système solaire, voire même d'autres galaxies. Ils seraient arrivés sur Terre avec les météorites, les comètes et les astéroïdes.
L'origine de l'Homme a été ainsi promenée d'un continent à l'autre jusqu'à sa fixation en Afrique tropicale. Soixante années de recherches internationales dans cette région ont permis de dessiner un arbre phylogénétique de l'Homme depuis environ 10 millions d'années, avec un grand nombre de ses branches.
La population mondiale compte 7,7 milliards d'habitants en 2019. Elle n'en comptait qu'un milliard en 1800 et a donc été multipliée par plus de sept depuis (voir la figure ci-dessous). Elle devrait continuer à croître et pourrait atteindre près de 10 milliards en 2050.
Elle peut tout d'abord découler de l'activité humaine (pollution, épuisement des ressources naturelles, effet de serre). Le réchauffement climatique est susceptible d'entraîner une diminution de l'oxygène dans l'air par mort du plancton et une libération de sulfure d'hydrogène mortel pour la majorité des organismes.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].