On peut, par souci de précision et d'élégance, réserver l'emploi de second aux énoncés où l'on ne considère que deux éléments, et n'employer deuxième que lorsque l'énumération va au-delà de deux. Cette distinction n'est pas obligatoire.
La tradition veut qu'on emploie « deuxième » lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux, et « second » lorsque l'énumération s'arrête à deux. Cette distinction n'est pas toujours observée et certains écrivent indifféremment « deuxième » ou « second ».
Deuxième s'emploie lorsque l'énumération peut aller au-delà de deux ; alors que second s'emploie lorsqu'il n'y a pas de troisième. C'est donc le dernier. C'est pour cela qu'on parle de la Seconde Guerre mondiale parce qu'on espère qu il n'y en aura pas de troisième !
Second et tous ses dérivés (seconde, secondaire, seconder…)
Les adjectifs numéraux ordinaux (qui expriment un ordre, un classement) s'abrègent de la façon suivante : premier = 1er, première = 1re, premiers = 1ers, premières = 1res ; second = 2d, seconde = 2de, seconds = 2ds, secondes = 2des ; deuxième = 2e, deuxièmes = 2es, etc.
Ces abréviations sont parfois allongées, sans doute par volonté de bien faire et par souci de lisibilité, plus qu'il n'est nécessaire. Rappelons donc que premier et première s'abrègent en 1er et 1re, que second et seconde s'abrègent en 2d et 2de, et que toutes les autres formes s'abrègent en e : 3e, 5e, 100e, etc.
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
On a appelé les secondes, des « secondes », car en latin du Moyen Age on disait « minutum secunda » ce qui voulait dire « minute de second rang ». On dit donc une « seconde » car une seconde est précisément la seconde division d'une heure, après la minute.
Nom commun
(Figuré) Durée d'une moitié d'une seconde.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche. Chute de l'empire du Japon et occupation du pays par les États-Unis.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
Quelques jours après la signature de la paix, le 28 juin, la cérémonie est à la fois un hommage aux 1 400 000 hommes tombés en quatre ans et une célébration de la victoire, celle de la France. L'armée française a joué un rôle capital dans la victoire sur l'Allemagne durant la Première Guerre mondiale.
Pendant longtemps, cette appellation a été décriée, certains argüant que le mot deuxième laissait entendre qu'il y en aurait une troisième. Ils préféraient donc le terme Seconde Guerre mondiale. Certains rédacteurs, traducteurs et grammairiens débattent encore de la question.
Exemple: «3e», «4e», «5e», «100e», etc. Il en est de même pour les régimes politiques. L'usage est d'écrire:la «Ire»et la «IIde» République, et non «Ière» «IInde».
En physique, il est possible de chronométrer avec précision d'infimes périodes de temps avec une unité de mesure méconnue du grand public : la zeptoseconde. Elle équivaut à un billionième de milliardième de seconde, soit 0,000000000000000000001 seconde.
Un chercheur anglais, Louis Essen, a proposé de définir la seconde bien plus précisément en se basant sur les vibrations d'un atome de césium, qu'il savait pouvoir mesurer très exactement: la seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de vibration de cet atome.
Une fois que l'on a le degré, il ne reste plus qu'à inventer sa subdivision : le 60ème de degré qu'on appelle minute et le 60ème de minute qu'on appelle la seconde.
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Mais pourquoi ? Le mot femme provient du latin femina , qui était prononcé en accentuant la première syllabe fe . Des siècles d'évolution de la langue entre le latin et le français ont conduit à ce que, il y a mille ans environ, il se soit prononcé [ fe:m ] (« féém » avec un é long), qu'on écrivait feme ou femme .
Comment faire un petit e en haut d'un chiffre ? Dans les outils Microsoft (Word, Powerpoint, Outlook, etc) : Le plus simple est de sélectionner le chiffre à mettre en exposant puis d'utiliser le raccourci clavier suivant : Ctrl + Maj ⇧ + = (soit la touche "+ =" à gauche de la touche Retour).
(Vieilli) Septième (fraction). Note : Utilisé avec un numérateur et une barre oblique. Aujourd'hui on écrit simplement 7.